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islamisme - Page 2

  • Roubaix : coup d’œil chez une famille française… islamiste (video)

    Publié par Guy Jovelin le 14 février 2020

    Auteur : Rédaction

    À Roubaix, où la population est majoritairement immigrée, ce sont les Français qui s’assimilent.

  • Islamisme, djihadisme : le déni des autorités politiques et religieuses

    Publié par Guy Jovelin le 08 février 2020

    Par  le 08/02/2020

    Il y a un vrai déni français du danger djihadiste en France, aussi bien des autorités politiques que religieuses, dénonce l’historien Pierre Vermeren, spécialiste du Maghreb.

    […]
    Vous dénoncez le déni des élites françaises. Est-ce un déni ou un aveuglement ?

    Il y a les deux. L’aveuglement, c’est le refus de voir. On met la tête dans le sable. Chez les responsables politiques, c’est très présent. On ne comprend pas, ou on ne cherche pas à comprendre. Ce qui touche au religieux est un point aveugle de la réflexion des politiques. Mais il y a aussi du déni, notamment chez les politiques, car les services de l’État sont très bien informés : on sait et on ne veut pas en tirer les conséquences. Parce que cela entraînerait des décisions qui fâchent. Les islamistes ont réussi à instaurer un rapport d’intimidation. On s’autocensure. Quant à une grande partie des Français, je crois qu’elle est aveugle par défaut d’information.

    L’Église a joué dans le déni un rôle important, dites-vous. En quoi ?

    Je pense qu’elle est dans une logique de repentance, liée notamment à la colonisation algérienne. Avec le concile Vatican II, elle est passée d’une position où Mahomet était une sorte d’Antéchrist et l’islam une hérésie, à l’idée selon laquelle l’islam serait une des voies d’accès à Dieu. On est passé d’une intolérance à une tolérance. L’idée s’est installée que les deux religions auraient les mêmes valeurs. Ce qui est faux. Notre civilisation repose sur trois piliers : l’habeas corpus – le refus de l’arbitraire judiciaire –, la liberté de conscience, donc de se convertir, et l’égalité hommes/femmes. Or, ces trois notions ne sont pas respectées par l’islam littéral. Les chrétiens d’Orient en souffrent, de même que certains musulmans.

    L’Église le sait et s’interdit d’intervenir, elle s’abstient de toute critique de l’islam. Une parole manque. Non pas de condamnation, mais de constat. C’est vrai des ordres religieux, c’est vrai de l’épiscopat. […]

    Famille chrétienne via fdesouche

  • Les priorités de l’Europe : engagement sur le climat et laxisme sur l’islamisme

    Publié par Guy Jovelin le 04 décembre 2019

    Énonçant les priorités de la Commission européenne, la présidente Ursula von der Leyen a mis en premier la lutte contre les changements climatiques. Quant à la sécurité et la nécessité de combattre le terrorisme islamique, elles ont été expédiées. Une omission révélatrice de l’état d’esprit de l’ex-ministre de la Défense de l’Allemagne où des centaines de djihadistes ont embrassé la cause du Califat en réalisant massacres et attentats en son nom.

    A la lumière du dernier attentat islamiste survenu à Londres vendredi dernier, cette omission révèle la grave responsabilité et la profonde inconscience de nombreux politiciens européens qui par leur politique immigrationniste ont favorisé l’inflation des actes terroristes au sein du Vieux Continent.

    Usman Khan, l’assassin du London Bridge, libre malgré une condamnation à 16 ans de prison pour avoir planifié un attentat à la Bourse de Londres, est l’illustration de la mollesse doublée d’un laxisme idéologique avec lesquels l’Europe affronte la lutte contre le terrorisme islamique.

    Les pays européens, malgré les nombreux attentats au nom d’Allah sur son sol, n’ont pas encore été capables de se doter d’une législation et de tribunaux spéciaux capables de garantir des détentions plus longues et la suspension des libérations conditionnelles pour les terroristes mahométans. Ces lacunes empêchent entre autres le rapatriement, la condamnation à des peines adéquates et le maintien en prison des quelques 1 200 combattants européens de Daesh détenus dans les prisons kurdes en Syrie.

    Mais l’incapacité d’imposer des peines sans rémission aux coupables de terrorisme est aussi le symptôme des contradictions d’un Vieux continent sans plus aucune colonne vertébrale. Nous combattons le terrorisme en Irak, en Syrie, en Libye, en Afghanistan mais nous oublions que ses mandataires et ses instigateurs sont dans nos villes depuis longtemps. Dans ces mosquées européennes transformées en terminaux bancaires d’importants flux monétaires, provenant de cette Arabie saoudite, filière de l’islam wahhabite fondement de Daesh, ou de la proche Turquie ou du Qatar, deux pays protecteurs et financiers de ces Frères musulmans toujours prêts à proclamer la supériorité de la charia sur les lois des États occidentaux.

    Et viennent amplifier cette tolérance dangereuse les politiques de cette gauche bien-pensante toujours prête au nom du politiquement correct et de la lutte contre l’islamophobie à empêcher une surveillance adéquate et, où cela est nécessaire, la répression et la mise hors-la-loi des groupes islamistes qui prétendent être accueillis en Europe mais refusent de respecter les ordonnances des nations qui les reçoivent. Autant dangereuses sont les tentatives politiques, sociétales et intellectualistes pour imposer aux européens le « vivre-ensemble », le ius culturae, le ius soli et toutes des idéologies de l’accueil sans limites, destinées à élargir la consistance des communautés islamistes déjà difficilement intégrables, et encore moins assimilables dans le contexte social et culturel européen.

    Un laxisme coupable qui finit par pousser les jeunes musulmans de la deuxième et troisième génération à l’intégration manquée vers la redécouverte de leur religion dans toute sa dimension intolérante. Un laxisme coupable et collaborateur du terrorisme islamiste.

    Elle leur va comme un gant, à tous ces bien-pensants, politiciens et technocrates européens, ces Ursula van der Leyen, Merkel, Macron et autres François, qui préfèrent détourner les yeux du problème islamiste pour se focaliser sur des changements climatiques douteux, cette condamnation proférée par Gunther, le chef des services secrets allemands dans le roman d’espionnage de John Le Carré, Un homme très recherché, à l’encontre de la jeune avocate gauchiste, bien-pensante, spécialisée dans l’aide aux « réfugiés », « assistante sociale pour terroristes »  comme il la surnomme :

    « On est dans le vrai monde Annabelle. On est en guerre contre la frange extrémiste d’une nation appelée Islam. Vous avez franchi les limites, vous êtes dans leur camp maintenant. »

    Francesca de Villasmundo

    Source : medias-presse.info

  • Carnage de la préfecture : l'islamisme au cœur de l'Etat.

    Publié par Guy Jovelin le 05 octobre 2019

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    L'avis de Jean-François Touzé membre du Bureau Politique du Parti de la France
     
    Le Parquet anti terroriste vient donc de se saisir de l'enquête sur le carnage de la Préfecture de police.
     
    En dépit des déclarations lénifiantes des autorités, complaisamment relayées par les médias, les conditions de la tuerie, le profil de son auteur et le mode opératoire ne laissaient que peu de doutes quant au caractère islamique de ce qui est aujourd'hui qualifié par le Parquet d'assassinat en relation avec une entreprise terroriste.
     
    Les responsables de la Préfecture de police, et plus généralement des services de sécurité devront maintenant répondre à cette question : comment un converti en voie de "radicalisation" dont le comportement prosélythe et son refus de serrer les mains des femmes avaient été remarqués au sein du service, a-t-il pu conserver un poste aussi sensible que celui qu'il occupait et continuer de disposer de l'habilitation "secret défense" ?
     
    Quatre policiers ont payé de leur vie cet aveuglement.
     
    Le terrorisme islamique, cette fois, a frappé au cœur même du réacteur nucléaire de la sécurité publique et du renseignement.
     
    Nous sommes désormais non seulement devant une affaire de nature terroriste, mais clairement confronté à un scandale d'Etat.
     

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    Source : synthesenationale

    19:03 Publié dans Je

  • Islamisme dans les services publics : le noyautage.

    Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2019

    Islamisme dans les services publics : le noyautage.

    Islamisme dans les services publics :  le noyautage.
    Le rapport parlementaire que viennent de publier les députés Éric Diard (LR) et Éric Pouillat (LREM) sur la « radicalisation » dans les services publics en dit déjà beaucoup par ce qui n’y figure pas : le mot « islamisme » n'est en effet pas une seule fois évoqué dans les quelque trois cents pages de ce dossier établi au terme d’une enquête de huit mois. Cacher ce mot effrayant qu’aucun honnête parlementaire républicain ne saurait prononcer sans trembler semble avoir été la préoccupation constante des auteurs.
    Pour autant, si le mot n'y est pas, la chose est partout. Certains commentateurs ont voulu minimiser la réalité de ce que confirme ce rapport, y voyant des chiffres « rassurants ». La présence communautaire musulmane radicale, de nature fondamentaliste, essentiellement salafiste, au sein des services publics et même des services publics régaliens apparaît pourtant tout entière dans sa vérité redoutable.
    En réalité les auteurs jouent sur les mots : le terme « radicalisation » étant juridiquement défini et ne concernant que les personnes en voie de commettre des actes de violences ou considérant que la violence contre l'État ou les personnes ne partageant pas les mêmes convictions est légitime, les chiffres retenus peuvent paraître faibles, quand ceux de l’appartenance à des courants religieux musulmans extrêmes – et donc politiques – ne sont pas pris en compte. Ce qui permet au ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, de se féliciter : « la radicalisation dans les services publics est extrêmement circonscrite ». « Extrêmement »… le diable est aussi dans le détail sémantique.
    En prenant seulement en compte la définition stricte et administrativement contrainte du terme radicalisation, les auteurs dressent pourtant un constat déjà accablant de la situation : RATP, SNCF, sociétés de transports par bus ou par cars sont impactés au plus haut point (plus d'une centaine de postulants à la RATP ont été refusés en 2018 par le Service de sécurité interne pour radicalité mais des centaines d'autres moins visibles sont passés entre les mailles du filet). Les professions de santé, dans les services hospitaliers en particulier, sont de plus en plus touchées. Si les services de police nationale font l’objet de contrôles appuyés (on relève néanmoins une trentaine de cas d'islamisme radical au sein de la police et de la gendarmerie) il n'en va pas de même pour les polices municipales où le recrutement est de plus en plus marqué par le phénomène islamiste. De même pour les sociétés de sécurité et de gardiennage.
    Si l’Armée est relativement peu concernée par la radicalisation (0,5 % des effectifs de l’armée de terre et 0,3 % de ceux de la Marine sont tout de même concernés), elle l'est en revanche de plus en plus par le communautarisme.
     
    La situation est particulièrement inquiétante dans deux secteurs. Les aéroports et les prisons.
    C'est ainsi qu'une centaine de personnes détentrices d'un badge rouge donnant accès aux tarmacs et aux zones sécurisées sont aujourd’hui sous surveillance au sein d’Aéroport de Paris en raison de l’évolution de leur dangerosité potentielle dans le cadre, là encore, de la seule prise en compte de leur radicalisation juridiquement définie. Si l'on élargit à la pratique rigoriste de l’islam, ils sont plusieurs milliers qui, eux ne sont pas surveillés.
    Quant aux prisons dont personne n'ignore le terreau qu’elles constituent au niveau des prisonniers dans la diffusion et l’expansion de l’islamisme militant, le rapport fait état d'une extension, par capillarité, aux surveillants. Une évolution en hausse constante.
    Le rapport pointe également une montée en puissance des cas de radicalisation dans l’éducation nationale, particulièrement dans le domaine du soutien scolaire, et la propagation exponentielle du salafisme par le biais des écoles et instituts coraniques.
    Le rapport souligne, enfin, la forte imprégnation islamique dans le monde du sport, au niveau des fédérations comme des associations, phénomène qui touche essentiellement l'encadrement et l'entraînement, plus particulièrement dans le football et plus encore les sports de combat. Situation si inquiétante que le rapport parle d’infiltration.
    Face à ces menaces, l’exécutif demeure passif et se contente de gérer, au cas par cas, ce qui peut l’être, sans plan d’ensemble ni stratégie globale.
    Dans un État digne de ce nom, les suspects ne seraient pas surveillés. Ils seraient purement et simplement limogés et interdits de fonction.
    Mais il est vrai que dans un État digne de ce nom, aucun de ceux-là ne serait en liberté sur le sol national. Pas plus que d'autres ne seraient en position de faire de certains de nos quartiers des zones de sécessions régies par la charia ou de nos cités des camps retranchés commandés par des caïds et infestés par la racaille.
    Seul un État national sera en mesure de faire face.