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libération

  • Un tabou brisé : les viols de Françaises par des G.I. américains en 1944 lors de la “libération”…

    Publié par Guy de Laferrière le 13 mai 2024

    80 ans après la Libération, la parole se

    libère dans les campagnes bretonnes.

    Pendant 80 ans, Aimée Dupré a préféré garder le silence sur le viol de sa mère en 1944.

    A l’approche des célébrations du Débarquement des troupes alliées en France, elle ne veut plus se taire et raconte le viol dont elle a été victime, commis par deux soldats américains, un “fait de guerre”.

    Le 6 juin 1944, 156 000 soldats américains, britanniques et français débarquent sur les plages de Normandie. Dans son petit village breton, à Montours (Ille-et-Vilaine), Aimée a 19 ans et comme tous ses voisins, elle se réjouit de l’arrivée de ces “libérateurs”, qui annonce la fin de l’occupation allemande.

    Mais très vite, elle déchante.

    Le soir du 10 août, deux G.I. – le surnom donné aux soldats américains – entrent dans la ferme familiale. “Ils étaient ivres et il leur fallait une femme”.

    La fermière raconte d’abord comment les soldats ont tiré sur son mari, les balles trouant son béret, puis se sont dirigés, menaçants, vers sa fille : “Je suis sortie pour la protéger et ils m’ont emmenée dans les champs. Ils m’ont violée quatre fois chacun, en tournant”.

    En octobre 1944, à la fin de la décisive Bataille de Normandie, les autorités militaires américaines ont jugé 152 soldats pour le viol de femmes françaises.

    Un nombre “largement sous-estimé”, affirme Mary Louise Roberts, l’une des rares historiennes à s’être penchée sur ce “grand tabou de la Seconde guerre mondiale”.

    “Beaucoup de femmes ont préféré se taire: en plus de la honte liée au viol, l’atmosphère était à la joie, à la célébration des libérateurs”, explique-t-elle.

    “Personne ne veut perdre ce héros américain qui nous rend fiers : le brave et intègre G.I. américain, protecteur des femmes”, note-t-elle.

    “Quitte à perpétuer le mensonge.”

    Le voile se lève enfin sur certains de nos “libérateurs” sur lesquels il était interdit d’émettre le moindre doute sous peine d’être taxé de tenir des propos “nauséabonds”…

    Paul DEROGIS

     

    Source : medias-presse.info

  • Le grand déballage se poursuit

    Publié par Guy Jovelin le 08 février 2021

    Le grand déballage se poursuit

    Après l’acteur gauchiste Richard Berry accusé d’inceste par sa fille, c’est le père de la journaliste et adjointe à la mairie de Paris Audrey Pulvar, décédé en 2008, qui est accusé de pédocriminalité.

    Dans un article, Libération défend Audrey Pulvar : l’ex-journaliste, candidate à l’élection régionale de juin en Ile-de-France, « n’a pourtant aucune responsabilité à porter. » Elle savait depuis vingt ans (donc bien avant que son père décède), mais ce n’était pas à elle de se substituer à la parole des victimes.

    Plusieurs internautes ne se sont pas privés de rappeler à Libération que c‘est pourtant ce que ce même quotidien a reproché au cardinal Barbarin

     

    Source : lesalonbeige

  • Avec l'accord de la France, le Mali céde aux islamistes.

    Publié par Guy Jovelin le 07 octobre 2020

    Avec l'accord de la France, le Mali céde aux islamistes.

    Entre 100 et 250 djihadistes viennent d'être remis en liberté par les autorités maliennes.

    En échange de ces libérations, la junte militaire qui a pris le pouvoir à Bamako espère obtenir celles de Soumaïla Cissé, politicien enlevé par les islamistes et, accessoirement pour les nouveaux maîtres du Mali, de Sophie Pétronin, otage française détenue depuis 2016 par un groupe armé proche d'Al-Quaïda.

    Contrairement à celui de monsieur Cissé qui ne nous concerne en rien, nous ne saurions être indifférents au sort de notre compatriote même si nous regrettons que son sens de la compassion l'ai menée à se pencher sur la condition des démunis de Gao plutôt que sur la détresse des Français miséreux.

    Pour autant, rien, jamais, sous aucune condition, ne peut justifier que des négociations soient entamées avec des terroristes. Rien! Pas même la vie d'un otage.

    On ne discute pas avec les djihadistes, on n'entame pas avec eux des pourparlers, on ne cède pas à leur chantage. On les extermine. Et dans une guerre, on ne les enferme pas. On les exécute.

    Dans ces conditions, la libération des tueurs islamistes emprisonnés au Mali qui n'a pu se faire sans le feu vert de Paris, est non seulement une faute politique et une lâcheté. Elle est une insulte à tous nos soldats tués au Sahel.

    Jean-François Touzé
    Délégué général du Parti de la France.

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  • Manque de diversité

    Publié par Guy Jovelin le 15 juillet 2020

     le 

    Manque de diversité

    Libération a publié un torchon, comme d’habitude, pour se plaindre du manque de diversité parmi les officiers français.

    On attend le papier sur l’homogénéité de la rédaction de Libération…

    Et dans les prisons, ça manque aussi de diversité, mais ce n’est pas la même…

     

    Source :lesalonbeige