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  • Nouvelle-Zélande : des parents refusent du «sang de vacciné» pour l’opération de leur bébé malade

    Publié par Guy de Laferrière le 06 décembre 2022

    Auteur : 

    N’importe quel sang contaminé peut être refusé pour une

    transfusion, sauf le sang contaminé par le « vaccin » covid19 ?

    L’affaire fait grand bruit en Nouvelle-Zélande. L’opération cardiaque d’un bébé a été repoussée, faute d’autorisation accordée par les parents, rapporte le journal néo-zélandais NZHérald. 

    « Nous ne voulons pas de sang contaminé par la vaccination, a déclaré le père. Nous sommes d’accord avec tout ce que veulent faire les médecins, sauf ça. »

    Les autorités néo-zélandaises ont demandé mardi 6 décembre à la justice de leur confier la garde d’un bébé dont les parents, craignant qu’il ne reçoive du sang provenant de donneurs vaccinés contre le Covid-19, s’opposent à une opération chirurgicale destinée à lui sauver la vie. Les autorités sanitaires ont indiqué avoir déposé cette demande ce mardi en urgence devant la Haute-Cour d’Auckland, principale ville de Nouvelle-Zélande.

    Le nourrisson de quatre mois, dont l’identité est tenue secrète sur ordre de la Cour, souffre selon sa mère de sténose valvulaire pulmonaire, un problème cardiaque nécessitant une intervention chirurgicale. Mais cette intervention a été retardée car les parents exigent que le sang qui pourrait être transfusé à l’enfant au bloc opératoire provienne de donneurs n’ayant reçu aucun vaccin à ARN messager contre le Covid-19.

    Leur demande a été rejetée, les hôpitaux de Nouvelle-Zélande ne séparant pas le sang donné par des personnes vaccinées de celui des non-vaccinés : or, pourquoi le font-elles pour les autres sangs contaminés : sida, etc., etc. ?

    Les services de santé ont affirmé qu’ils ont saisi la justice «en tenant compte du meilleur intérêt de l’enfant» et après de «longues conversations» avec la famille.

    Environ 150 manifestants anti-vaccination se sont rassemblés devant le tribunal d’Auckland mardi, pour exprimer leur soutien aux parents.

    La dictature sanitaire continue afin que le great reset aille à son terme.

    Sources : NZHérald / AFP / Ousest-France

  • Nouvelle-Zélande : euthanasie pour les patients covid

    Publié par Guy Jovelin le 21 juillet 2022

    Les colonies anglo-saxonnes avancent dans la mise en œuvre de la feuille de route du Great Reset.

    Les patients admis à l’hôpital avec le covid-19 peuvent mourir par euthanasie si les médecins pensent qu’ils pourraient ne pas survivre, a déclaré le gouvernement néo-zélandais dirigé par la groupie de Klaus Schawb, l’enfermiste et passionaria de la vaccination covid pour tous, Jacinta Arden.

    Le ministère de la Santé a confirmé que le droit à l’injection létale en vertu d’une nouvelle loi sur l’euthanasie pourrait s’étendre aux patients « qui meurent du coronavirus ou qui souffrent insupportablement de ses conséquences ». Mais le coronavirus est une grippe…

    En réponse à une demande de clarification sur une loi sur l’euthanasie entrée en vigueur le mois dernier, le gouvernement a déclaré que « dans certaines circonstances, une personne atteinte de COVID-19 peut être éligible à l’aide médicale à mourir ».

    Henoch Kloosterboer, rédacteur en chef du site Web anti-euthanasie The Defender, a déposé la demande en vertu de la loi sur l’information officielle qui oblige les administrations à rendre publiques sur demande ses dispositions « confidentielles ». Ainsi il a été dévoilé que l’État autorise en fait l’euthanasie non seulement pour les cancers en phase terminale, mais pour le covid et les « souffrances insupportables » qu’il provoque.

    La loi sur le choix de fin de vie de 2019 est considérée comme l’une des lois sur l’euthanasie les plus extrêmes au monde, et les critiques disent que les garanties sont si fragiles qu’elles sont facilement contournées. Elle permet à la fois l’euthanasie et le suicide assisté pour les adultes atteints d’une maladie considérée comme terminale dans les six mois, ou pour les patients dans un état avancé de déclin physique irréversible ou souffrant de manière intolérable.

    La loi, ratifiée à la suite d’un référendum en 2020, garantit à tous les résidents le droit d’accéder à un médecin qui met fin à leurs jours dans les quatre jours suivant la réception de la demande.

    Les médecins reçoivent un paiement gouvernemental de 1 000 $ plus les dépenses pour chaque décès par euthanasie qu’ils pratiquent.

    Kloosterboer a déclaré :

    « Il n’est pas difficile d’imaginer une situation dans laquelle une augmentation rapide et considérable des hospitalisations pour covid-19 pourrait conduire à une pression pour utiliser l’euthanasie et le suicide assisté comme outils pour résoudre une crise aussi grave. »

    Au Royaume-Uni, la baronne Finlay de Llandaff, professeur de médecine palliative, a déclaré que la loi néo-zélandaise sur l’euthanasie contredit l’objectif fondamental de la médecine et des services de santé de guérir les malades. Elle a souligné la contradiction de ce gouvernement : « Il est bizarre qu’un pays qui a essayé de protéger ses citoyens en les protégeant littéralement d’un virus dont les gens peuvent se remettre complètement… suggère maintenant que ces patients peuvent être tués par leurs médecins. Cela renverse l’éthique de la médecine », a-t-elle conclu.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Chronique des cinglés

    Publié par Guy Jovelin le 10 juin 2022

    Chronique des cinglés

    La Nouvelle-Zélande deviendra à l’horizon 2025 le premier pays au monde à taxer les éleveurs pour les émissions de méthane (CH4), comprendre les rots, que leurs animaux produisent.

    Selon Sciences et Avenir, les vaches françaises émettraient autant de gaz en un an que 15 millions de voitures.

     

    Source : lesalonbeige

  • Dictature arc-en-ciel en Nouvelle-Zélande: la mention du sexe supprimée des certificats de naissance

    Publié par Guy Jovelin le 23 novembre 2021

    De la dictature sanitaire à la dictature arc-en-ciel, et inversement, la Nouvelle-Zélande navigue de l’une à l’autre avec célérité.

    Tout en restreignant de manière tyrannique, au nom d’un hygiénisme absolutiste, et sous l’impulsion des injonctions mondialistes, les libertés fondamentales des citoyens néo-zélandais, et particulièrement de ceux qui s’opposent aux injections expérimentales anti-covid, le gouvernement du Premier ministre Jacinda Arden donne toute liberté aux folies des minorités lgbtqi+.

    Une loi est sur le point d’être votée qui permettra de n’indiquer aucun sexe dans les actes de naissance ou de le changer rétroactivement une fois l’âge de la majorité atteint ou même plus tôt.

    Le Comité spécial sur la gouvernance et l’administration du Parlement néo-zélandais a exprimé son soutien à cette loi. Dans son rapport, on peut lire :

    « Nous pensons que les gens devraient être autorisés à changer plus d’une fois leur sexe enregistré, cela refléterait le fait que le genre peut être fluide pour certaines personnes. »

    Pour les 16-17 ans, s’ils ne reçoivent pas le consentement du tuteur pour modifier l’acte de naissance, il est suggéré de trouver des alternatives.

    Que se passe-t-il si une personne née homme choisi, par exemple, de modifier l’acte de naissance pour qu’il apparaisse comme « femme née » et y réfléchit ensuite ? La Commission s’y oppose car elle favoriserait le sexe biologique :

    « Cela pourrait être perçu comme un choix idéal d’être cisgenre et de revenir au sexe de naissance, mais ce n’est pas notre intention ».

    Un trait commun des idéologies, y compris la théorie du genre, est qu’elles ne reconnaissent pas la réalité et veulent l’effacer. Cette loi néo-zélandaise exprime cette intention de manière pratique.

    Dictature sanitaire et tyrannie lgbtqi+, deux faces de la révolution arc-en-ciel, font bon ménage pour détruire le réel et créer l’homme nouveau du meilleur des mondes orwellien ! 

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • L’Autriche et la Nouvelle-Zélande jettent les bases d’une « société à deux classes »

    Publié par Guy Jovelin le 31 octobre 2021

    PAR  LE 

    L’Autriche et la Nouvelle-Zélande jettent les bases d’une « société à deux classes »

    Après l’annonce par l’Autriche, le week-end dernier, de mesures plus sévères à l’égard des personnes non vaccinées, la Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern admet désormais que la politique Covid créera une société à deux vitesses dans son pays, où les citoyens non vaccinés auront des droits différents de ceux qui ont été vaccinés.

    Lors d’une interview vidéo, la Première ministre a déclaré que les règles actuelles donnent plus de libertés aux citoyens vaccinés. Interrogée par un journaliste, Mme Ardern a confirmé que les personnes vaccinées ont plus de droits que celles qui ne le sont pas. Elle a déclaré que les nouvelles règles étaient destinées à renforcer la couverture vaccinale et la confiance du public.

     

    En Nouvelle-Zélande, pour contenir la pandémie, un « système de feux de circulation » est en cours d’introduction. Lorsque le feu est rouge, les personnes qui ont été vaccinées pourront se déplacer librement et utiliser les services. Les personnes non vaccinées, en revanche, devront faire face à des restrictions beaucoup plus strictes. Ils ne pourront se réunir qu’en groupes de dix personnes au maximum et ne pourront pas se rendre dans des lieux où il y a des « contacts étroits ». Les restaurants, les bars et les salles de sport, par exemple.

     

    La cheffe de l’opposition Judith Collins a condamné le plan comme étant « stupéfiant, confus et compliqué ». Elle a déclaré que les habitants d’Auckland finiraient par être « pris en otage par des personnes qui ne veulent pas se faire vacciner ».

    Mme Ardern a reçu de nombreux éloges pour sa réponse à la pandémie : la Nouvelle-Zélande a enregistré un nombre relativement faible de 28 décès et 5 638 cas de maladie. Pourtant, elle a dû admettre que le fait de maintenir le pays dans un état de verrouillage complet pendant des mois s’est avéré insoutenable.

    Mme Ardern a également annoncé vendredi que 90 % des Néo-Zélandais de chaque région devaient être entièrement vaccinés avant que le pays tout entier puisse commencer à assouplir les restrictions. Pour l’instant, seuls 58 % de la population sont entièrement vaccinés.

    Autriche : mesures de confinement pour les personnes non vaccinées

    Le gouvernement autrichien a également annoncé vendredi de nouvelles mesures Covid visant spécifiquement les personnes non vaccinées. « Nous sommes au bord d’une pandémie de coronavirus parmi les personnes non vaccinées et il faut l’empêcher », a déclaré le nouveau chancelier Alexander Schallenberg.

    Le plan prévoit la possibilité de mesures de confinement pour les personnes non vaccinées si le taux d’utilisation des unités de soins intensifs atteint un certain seuil. Si plus de 600 lits de soins intensifs sont occupés par des patients atteints du virus, les Autrichiens qui n’ont pas été entièrement vaccinés ne seront autorisés à quitter leur domicile que dans des cas exceptionnels. Cette restriction ne s’appliquera pas aux personnes vaccinées.