Publié par Guy Jovelin le 03 mars 2025

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Publié par Guy Jovelin le 03 mars 2025
Publié par Guy de Laferrière le 13 avril 2024
La chronique de Philippe Randa
Il y a ceux que l’intelligence artificielle fascine et ceux qu’elle terrorise, mais aussi ceux qu’elle indiffère, soit la grande masse de nos compatriotes qui a bien d’autres préoccupations, de fins de mois en particulier.
Et justement, l’IA aura à l’évidence, et c’est déjà le cas d’ailleurs, un impact d’importance (euphémisme !) sur le marché de l’emploi dans les années futures. Il y aura donc ceux qui en profiteront et ceux… qui en pâtiront !
Les profiteurs, comme toujours, seront ceux qui détiendront les manettes de l’IA, soit la possession des logiciels et de l’infrastructure nécessaire à son développement et à sa prise de contrôle aussi progressive que rapide des secteurs économiques, industriels, informatiques, intellectuels… et finalement de tous les secteurs, quels qu’ils soient, comme on commence à le découvrir chaque jour.
Ses premières victimes sont déjà connues : les cadres d’entreprise qui grossissent chaque jour le nombre des « demandeurs d’emploi », eux qui croyaient encore voici quelques années avoir choisi une « filière d’avenir », entre autres celle de l’informatique et qui se retrouvent, la trentaine tout juste atteinte, peinant à rester « au niveau », et comprenant, mais un peu tard malheureusement, qu’ils sont déjà en voie d’ « obsolescence ». Une obsolescence programmée, qui plus est. Comme un vulgaire réfrigérateur ou ordinateur qui apparaissait pourtant tellement pérenne sur l’offre d’achat.
Ceux-là se croyaient (encore) au top de leur compétence voilà peu, et n’ont pas vu le coup venir – et qui l’aurait su, vu, cru, il y a encore dix ans ?
Autrefois, certes, « aux âmes bien nées, la valeur n’attend (ait) point le nombre des années », comme écrivait Corneille, mais c’était le monde d’avant… Un monde auquel beaucoup n’auront même pas eu le temps de se frotter, l’IA leur aura claqué la porte au nez à peine auront-ils mis un pied dans ce qu’ils croyaient être le hall d’accueil d’une carrière prometteuse et qui se révéle finalement n’être qu’une sortie de service !
Mais le règne à venir d’une IA balayant impitoyablement cadres et autres « moyens génies » de l’informatique, tel une moderne sœur d’Ulysse nettoyant le marché de l’emploi d’un Augias contemporain, ne va-t-il pas s’avérer finalement une sorte de revanche pour les « manuels », si méprisés, si ricanés, si oubliés, sinon inconnus de la « France d’en haut » ? Eux n’auraient-ils rien à craindre de l’annonce de ces temps futurs où l’IA régnera ?
Plombiers, peintres, jardiniers, électriciens, terrassiers, aides au ménage ou à la personne, etc., etc. seront-ils les nouveaux enviés du monde du travail, eux qui seraient… irremplaçables ?
Irremplaçables, vraiment ?
C’est oublier robots, smartphones et autres drones qui, déjà, ont envahi notre quotidien. Et en fascinant, comme il se doit, nombre de nos contemporains.
Prenons comme seul exemple le dernier cri en guise d’opérations chirurgicales : c’est déjà avec un clavier d’ordinateur que des chirurgiens fameux opèrent leurs patients en téléguidant des bras articulés. Et ce, de façon magistrale, c’est incontestable.
Alors demain, des aides à la personne ne pourront-elles pas de même diriger des robots chargés d’apporter aux personnes vulnérables (malades et/ou âgées) les soins quotidiens les plus nécessaires, comme les plus intimes ?
Des drones, pilotés depuis l’autre bout de la planète, surgiront-ils du ciel pour arrêter une fuite de lavabo à Paris intra-muros ou de baignoire à Trifouillis-les-oies au fin fond du Berry ?
Des robots traqueront-ils les mauvaises herbes dans les cours et tailleront-ils les haies au millimètre grâce à une programmation effectuée depuis le Pakistan ou la Corée du Sud ?
Voire depuis la Lune ou Mars si les « idées » d’un Elon Musk ne s’avéraient pas si folles que ça…
Gageons qu’il y aura certes de nouveaux emplois pour un petit nombre de nos compatriotes, mais qu’adviendra-t-il de l’immense majorité de ceux devenus alors inutiles ? Si implacablement programmés inutiles.
À moins que l’IA trouve la solution ! Allez savoir…
Pour en savoir plus, on pourra lire Le défi de l’Intelligence Artificielle de Richard Raczynski, éditions Dualpha, 206 pages, 25 euros (cliquez ici).
Publié par Guy de Laferrière le 02 février 2023
Parce que la sécurité est la première des libertés, le Parti de la France s'engage à la rétablir sur tout le territoire. Pour cela, consignes et moyens supplémentaires seront donnés aux forces de l'ordre pour neutraliser la racaille qui pourrit la vie des Français. La peur changera de camp !
Publié par Guy Jovelin le 18 mai 2021
Publié par Guy Jovelin le 17 avril 2021
A ceux qui veulent faire peur avec les 100 000 morts du Covid, le professeur Didier Raoult a estimé que ce chiffre est à relativiser.
« Toutes les morts ne sont pas équivalentes », « 88 % des gens qui sont morts du Covid-19 au CHU de Marseille avaient une espérance de vie qui était inférieure à un an ». « Je suis médecin, j’ai de la compassion pour tout le monde. Mais il n’empêche que la perte de chance, ou la perte de vie ou d’espérance, n’est pas de même nature chez les uns et les autres. »
Didier Raoult affirme en outre qu’il y a eu « moins de morts parmi les moins de 65 ans qu’en 2019 ou en 2018 »
Néanmoins, tout le monde se croit malade. Même une personne en bonne santé est soupçonnée d’être “asymptomatique”… Alors tout le monde va se faire vacciner… Et cela fait les affaires de BigPharma. Une troisième dose du vaccin Pfizer devrait probablement être administrée entre six à 12 mois après les premières, avant une vaccination chaque année. C’est ce qu’a annoncé jeudi Albert Bourla, le PDG du laboratoire américain, qui espère ainsi toucher le jackpot.
Le Dr Knock a gagné :
Comme l’écrit Yves Daoudal
on a convaincu des gens qui n’avaient rien qu’ils étaient malades, des centaines de milliers de personnes, et cela continue. On est plus fort que le Dr Knock, qui avait inventé la chose mais pas le mot : « asymptomatique » : le malade qui n’a rien.
Mais cela s’aggrave. Aux « informations » (sic) de 13h sur la 2, il n’était question que des « patients » qui vont se faire vacciner. Des patients qui ne souffrent de rien. Qui ne sont même pas « positifs ». Qui ne sont même pas « asymptomatiques ». Des gens parfaitement normaux sur le plan biologique. Mais qui sont des « patients » pour les piqueurs et les journalistes. Tout Français est désormais un « patient ».
Et le PDG de Pfizer nous « informe » qu’il faudra se faire injecter une troisième dose au bout de six mois, puis se faire vacciner tous les ans.
Non seulement chacun est un « patient », mais il est désormais « patient » à vie. Jusqu’à ce que le vaccin ou un effet secondaire le fasse mourir.
A propos de vaccin qui fait mourir, on m’envoie cette vidéo un peu effrayante dont je ne sais que penser, n’étant pas spécialiste. Je laisse aux spécialistes le soin de contester (ou de confirmer) :