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peur

  • Qui a peur de l’Intelligence artificielle ?

    Publié par Guy de Laferrière le 13 avril 2024

    synthesenationale

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    La chronique de Philippe Randa

    Il y a ceux que l’intelligence artificielle fascine et ceux qu’elle terrorise, mais aussi ceux qu’elle indiffère, soit la grande masse de nos compatriotes qui a bien d’autres préoccupations, de fins de mois en particulier.

    Et justement, l’IA aura à l’évidence, et c’est déjà le cas d’ailleurs, un impact d’importance (euphémisme !) sur le marché de l’emploi dans les années futures. Il y aura donc ceux qui en profiteront et ceux… qui en pâtiront !

    Les profiteurs, comme toujours, seront ceux qui détiendront les manettes de l’IA, soit la possession des logiciels et de l’infrastructure nécessaire à son développement et à sa prise de contrôle aussi progressive que rapide des secteurs économiques, industriels, informatiques, intellectuels… et finalement de tous les secteurs, quels qu’ils soient, comme on commence à le découvrir chaque jour.

    Ses premières victimes sont déjà connues : les cadres d’entreprise qui grossissent chaque jour le nombre des « demandeurs d’emploi », eux qui croyaient encore voici quelques années avoir choisi une « filière d’avenir », entre autres celle de l’informatique et qui se retrouvent, la trentaine tout juste atteinte, peinant à rester « au niveau », et comprenant, mais un peu tard malheureusement, qu’ils sont déjà en voie d’ « obsolescence ». Une obsolescence programmée, qui plus est. Comme un vulgaire réfrigérateur ou ordinateur qui apparaissait pourtant tellement pérenne sur l’offre d’achat.

    Ceux-là se croyaient (encore) au top de leur compétence voilà peu, et n’ont pas vu le coup venir – et qui l’aurait su, vu, cru, il y a encore dix ans ?

    Autrefois, certes, « aux âmes bien nées, la valeur n’attend (ait) point le nombre des années », comme écrivait Corneille, mais c’était le monde d’avant… Un monde auquel beaucoup n’auront même pas eu le temps de se frotter, l’IA leur aura claqué la porte au nez à peine auront-ils mis un pied dans ce qu’ils croyaient être le hall d’accueil d’une carrière prometteuse et qui se révéle finalement n’être qu’une sortie de service !

    Mais le règne à venir d’une IA balayant impitoyablement cadres et autres « moyens génies » de l’informatique, tel une moderne sœur d’Ulysse nettoyant le marché de l’emploi d’un Augias contemporain, ne va-t-il pas s’avérer finalement une sorte de revanche pour les « manuels », si méprisés, si ricanés, si oubliés, sinon inconnus de la « France d’en haut » ? Eux n’auraient-ils rien à craindre de l’annonce de ces temps futurs où l’IA régnera ?

    Plombiers, peintres, jardiniers, électriciens, terrassiers, aides au ménage ou à la personne, etc., etc. seront-ils les nouveaux enviés du monde du travail, eux qui seraient… irremplaçables ?

    Irremplaçables, vraiment ?

    C’est oublier robots, smartphones et autres drones qui, déjà, ont envahi notre quotidien. Et en fascinant, comme il se doit, nombre de nos contemporains.

    Prenons comme seul exemple le dernier cri en guise d’opérations chirurgicales : c’est déjà avec un clavier d’ordinateur que des chirurgiens fameux opèrent leurs patients en téléguidant des bras articulés. Et ce, de façon magistrale, c’est incontestable.

    Alors demain, des aides à la personne ne pourront-elles pas de même diriger des robots chargés d’apporter aux personnes vulnérables (malades et/ou âgées) les soins quotidiens les plus nécessaires, comme les plus intimes ?

    Des drones, pilotés depuis l’autre bout de la planète, surgiront-ils du ciel pour arrêter une fuite de lavabo à Paris intra-muros ou de baignoire à Trifouillis-les-oies au fin fond du Berry ?

    Des robots traqueront-ils les mauvaises herbes dans les cours et tailleront-ils les haies au millimètre grâce à une programmation effectuée depuis le Pakistan ou la Corée du Sud ?

    Voire depuis la Lune ou Mars si les « idées » d’un Elon Musk ne s’avéraient pas si folles que ça…

    Gageons qu’il y aura certes de nouveaux emplois pour un petit nombre de nos compatriotes, mais qu’adviendra-t-il de l’immense majorité de ceux devenus alors inutiles ? Si implacablement programmés inutiles.

    À moins que l’IA trouve la solution ! Allez savoir…

    Pour en savoir plus, on pourra lire Le défi de l’Intelligence Artificielle de Richard Raczynski, éditions Dualpha, 206 pages, 25 euros (cliquez ici).

  • Avec le Parti de la France, la peur changera de camps !

    Publié par Guy de Laferrière le 02 février 2023

    Parce que la sécurité est la première des libertés, le Parti de la France s'engage à la rétablir sur tout le territoire. Pour cela, consignes et moyens supplémentaires seront donnés aux forces de l'ordre pour neutraliser la racaille qui pourrit la vie des Français. La peur changera de camp !

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  • Crise du covid : les scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la peur pour aider leur gouvernement à contrôler la population

    Publié par Guy Jovelin le 18 mai 2021

    Le très politiquement correct The Telegraph n’a pas peur de lancer le pavé dans la marre. Dans son édition du 14 mai dernier, il donne la parole aux membres du groupe scientifique du comportement en temps de covid afin qu’ils puissent « exprimer leurs regrets » concernant « les méthodes contraires à l’éthique » et « totalitaires » utilisées par le gouvernement de Boris Johnson.

    Dans un long article The Telegraph révèle que des « scientifiques du comité ( SPI-B ) qui a encouragé l’utilisation de la peur pour contrôler le comportement des gens pendant la pandémie de covid ont admis que leur travail était ‘’contraire à l’éthique‘’ et ‘’totalitaire‘’ ».

    Le SPI-B est l’un des sous-comités qui conseille le Groupe consultatif scientifique pour les urgences (Sage), dirigé par Sir Patrick Vallance, le conseiller scientifique en chef de Boris Johnson.

    C’est dans un livre de Laura Dodsworth qui a passé un an à enquêter sur les tactiques gouvernementales intitulé A State of Fear (Un état de peur), traitant du rôle de la psychologie dans la réponse du gouvernement britannique au covid-19, que ces scientifiques ont fait part de leurs regrets.

    «Le SPI-B, relate The Telegraph, a averti en mars de l’année dernière que les ministres devaient augmenter ‘’le niveau perçu de menace personnelle‘’ de Covid-19 car ‘’un nombre substantiel de personnes ne se sentent toujours pas suffisamment menacées personnellement‘’. Gavin Morgan, un psychologue de l’équipe, a déclaré : ‘’De toute évidence, utiliser la peur comme moyen de contrôle n’est pas éthique. Utiliser la peur sent le totalitarisme. Ce n’est pas une position éthique pour aucun gouvernement moderne. Par nature, je suis une personne optimiste, mais tout cela m’a donné une vision plus pessimiste des gens.‘’ »

    Et The Telegraph de continuer ces révélations qui décrivent un régime en marche vers le totalitarisme :

    « Un autre scientifique du SPI-B a également rapporté à madame Dodworth : ‘’En mars [2020], le gouvernement était très préoccupé par le consentement et il pensait que les gens ne voudraient pas être enfermés. Il y a eu des discussions sur la nécessité de la peur pour encourager le consentement, et des décisions ont été prises sur la manière d’augmenter la peur. La façon dont nous avons utilisé la peur est dystopique. L’utilisation de la peur a été définitivement discutable sur le plan éthique. Cela a été comme une expérience étrange. En fin de compte, cela s’est retourné contre eux parce que les gens sont devenus trop effrayés.‘’

    Un autre membre du SPI-B a déclaré : ‘’On pourrait appeler cette psychologie ‘le contrôle de l’esprit’. C’est ce que nous faisons… il est clair que nous essayons de le faire de manière positive, mais cela a été utilisé de manière néfaste dans le passé.‘’

    L’un d’eux a averti que ‘’les gens utilisent la pandémie pour s’emparer du pouvoir et imposer des choses qui autrement ne se passeraient pas … Nous devons faire très attention à l’autoritarisme qui s’installe.‘’

    (…)

    Outre les avertissements manifestes sur le danger du virus, le gouvernement a été accusé de nourrir le public avec un régime continu de mauvaises nouvelles, telles que les décès et les hospitalisations, sans jamais remettre les chiffres en contexte avec les informations sur le nombre de personnes rétablies, ou si le nombre quotidien de morts est supérieur ou inférieur aux moyennes saisonnières.

    Un autre membre du SPI-B a déclaré avoir été ‘’abasourdi par la militarisation de la psychologie comportementale‘’ pendant la pandémie, et que ‘’les psychologues n’ont pas semblé remarquer quand cela a cessé d’être altruiste et est devenu manipulateur. Ils ont trop de pouvoir et cela les enivre.‘’

    Steve Baker, vice-président du Covid Recovery Group of Tory MPs, (membre des députés travailliste, ndlr de MPI) a déclaré : ‘’S’il est vrai que l’État a pris la décision de terrifier le public pour qu’il se conforme aux règles, cela soulève des questions extrêmement sérieuses sur le type de société que nous voulons devenir.‘’ ‘’Si nous sommes vraiment honnêtes, est-ce que je crains que la politique gouvernementale d’aujourd’hui ne joue dans les racines du totalitarisme ? Oui, bien sûr que c’est ça.‘’ »

    L’article britannique précise en outre que « les ministres ont été accusés à plusieurs reprises d’avoir intensifié la menace de la pandémie pour justifier les verrouillages et contraindre le public à les respecter, une affirmation qui sera examinée par la prochaine enquête publique sur la réponse à la pandémie. »

    Ces informations proviennent du Royaume-Uni mais correspondent tout-à-fait à la manipulation psychologique par la peur qu’a acté le gouvernement de Macron, Veran and Co. La fabrique du consentement, du nom du livre magistral de Noam Chomsky, fabrique qui produit, au sens propre du terme, du consentement, de l’acceptation, de la soumission, ce « lavage de cerveaux en liberté », a trouvé des adeptes dans une majeure partie des élites politiques occidentales actuelles, petits tyrans en herbe.

    « N’oublions pas, met en garde Chomsky qui analyse ces mécanismes de domination, comment s’impose toujours une idéologie [aujourd’hui l’idéologie de l’hygiénisme forcené, ndlr]. Pour dominer, la violence ne suffit pas, il faut une justification d’une autre nature. Ainsi, lorsqu’une personne exerce son pouvoir sur une autre – que ce soit un dictateur, un colon, un bureaucrate, un mari ou un patron –, elle a besoin d’une idéologie justificatrice, toujours la même : cette domination est faite ‘’pour le bien’’ du dominé. En d’autres termes, le pouvoir se présente toujours comme altruiste, désintéressé, généreux. »

    Confinements, masques, vaccination, distanciations sociales, la manipulation par la peur est l’outil du consentement des peuples… 

    Francesca de Villasmundo 

     

    Source : medias-presse.info

  • Bienvenue dans le monde du Dr Knock

    Publié par Guy Jovelin le 17 avril 2021

    Bienvenue dans le monde du Dr Knock

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    A ceux qui veulent faire peur avec les 100 000 morts du Covid, le professeur Didier Raoult a estimé que ce chiffre est à relativiser.

    « Toutes les morts ne sont pas équivalentes », « 88 % des gens qui sont morts du Covid-19 au CHU de Marseille avaient une espérance de vie qui était inférieure à un an ». « Je suis médecin, j’ai de la compassion pour tout le monde. Mais il n’empêche que la perte de chance, ou la perte de vie ou d’espérance, n’est pas de même nature chez les uns et les autres. »

    Didier Raoult affirme en outre qu’il y a eu « moins de morts parmi les moins de 65 ans qu’en 2019 ou en 2018 »

    Néanmoins, tout le monde se croit malade. Même une personne en bonne santé est soupçonnée d’être “asymptomatique”… Alors tout le monde va se faire vacciner… Et cela fait les affaires de BigPharma. Une troisième dose du vaccin Pfizer devrait probablement être administrée entre six à 12 mois après les premières, avant une vaccination chaque année. C’est ce qu’a annoncé jeudi Albert Bourla, le PDG du laboratoire américain, qui espère ainsi toucher le jackpot.

    Le Dr Knock a gagné :

    Comme l’écrit Yves Daoudal

    on a convaincu des gens qui n’avaient rien qu’ils étaient malades, des centaines de milliers de personnes, et cela continue. On est plus fort que le Dr Knock, qui avait inventé la chose mais pas le mot : « asymptomatique » : le malade qui n’a rien.

    Mais cela s’aggrave. Aux « informations » (sic) de 13h sur la 2, il n’était question que des « patients » qui vont se faire vacciner. Des patients qui ne souffrent de rien. Qui ne sont même pas « positifs ». Qui ne sont même pas « asymptomatiques ». Des gens parfaitement normaux sur le plan biologique. Mais qui sont des « patients » pour les piqueurs et les journalistes. Tout Français est désormais un « patient ».

    Et le PDG de Pfizer nous « informe » qu’il faudra se faire injecter une troisième dose au bout de six mois, puis se faire vacciner tous les ans.

    Non seulement chacun est un « patient », mais il est désormais « patient » à vie. Jusqu’à ce que le vaccin ou un effet secondaire le fasse mourir.

    A propos de vaccin qui fait mourir, on m’envoie cette vidéo un peu effrayante dont je ne sais que penser, n’étant pas spécialiste. Je laisse aux spécialistes le soin de contester (ou de confirmer) :

    Vidéo : 
    https://odysee.com/@BobTremblay:6/2234:8

     
     
    Source : lesalonbeige
  • Vaccin : la fabrique du consentement par la peur

    Publié par Guy Jovelin le 25 novembre 2020

    Auteur : 

    Le piège mondial se referme tout doucement…
    Ci-joint un dessin sur la fabrique du consentement par la peur.
     
    Bonne journée
    Laurent / ProjetKO
     
    site internet PROJETKO.FR: