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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 522

  • Les hommes meurent sur la route… sauf s’ils portent du vernis à ongles : la Sécurité routière vous informe !

    Publié par Guy de Laferrière le 10 février 2023

    La nouvelle campagne de publicité de la Sécurité routière a de quoi laisser pantois. Forte d'incontestables statistiques selon lesquelles 80 % des victimes d'accidents de la route sont des hommes, l'officine gouvernementale a logiquement dû en déduire que la « masculinité toxique » était à l'origine des comportements dangereux. Ce ne sont donc pas les comportements au volant qu'il faut éduquer, ce sont les hommes qu'il faut déconstruire. Limpide. Le choix du tout dernier spot télévisuel de prévention s'est donc attelé à ce symbole d'un patriarcat fantasmé : la voiture, ou plutôt à ce symbole d'un « voituriarcat » fantasmé : le patriarche.

    La scène est dans une maternité. Une femme donne naissance à un bébé qui est, la voix off nous l'apprend, un garçon. Son père le prend dans les bras, et c'est évidemment un très beau spectacle, comme tous les accouchements qui se passent bien. Bon, le papa barbu a des boucles d'oreille et il est tatoué comme un mur de WC sur une aire d'autoroute, mais franchement, ce n'est pas si important, se dit-on. Un slam gnangnan, avec des rimes de mirliton et une musique minimale, nous fait partager ce qui passe par la tête du père. Au début, c'est bien. Le père parle à son fils. On voit à peine le visage de la mère. Rapidement, un plan de coupe montre le même nourrisson, dans la même salle, dans les bras d'un autre homme (un autre papa ?), barbu lui aussi mais plus âgé, et portant des lunettes. Doit-on en déduire que ce bébé est né par GPA au profit d'un couple d'hommes ? C'est interdit en France, au passage, mais poursuivons.

    Parmi les nombreux conseils que le papa (appelons-le n° 1) donne à son fils, il y a « Peins-toi les ongles, dessine-toi sur le corps »... pourvu que tu sois heureux, ou à peu de chose près. Le spot s'achève sur le papa n° 1 s'éloignant dans le couloir de la maternité, son fils dans les bras, et la « chanson » qui s'achève sur ces mots : « Deux hommes meilleurs sont nés aujourd'hui. » S'il n'y avait pas le message de la Sécurité routière, on ne saurait pas trop ce qui est promu, dans ce spot publicitaire. Heureusement, ainsi, on comprend mieux. Explication de texte : si les hommes ont plus d'accidents, c'est à cause de l'injonction à la masculinité toxique, qui leur dit de rouler vite pour être de vrais hommes. Quand on se « peint les ongles », bref, quand on déconstruit les stéréotypes sociaux de genre, pour parler la langue woke, on a moins de risques d'avoir un accident. Deux hommes meilleurs sont nés, car papa n° 1 va faire attention sur la route, puisque son dernier enfant (achat ?) est né aujourd'hui, tandis que le bébé, qui a la chance de naître dans un monde moderne (et dans un couple homosexuel ?), sera prudent parce qu'il n'aura pas à prouver sa virilité sur la route.

    Où la Sécurité routière a-t-elle pris que, dans l'opinion commune, il fallait faire n'importe quoi au volant pour être considéré comme un homme, un vrai ? Un bon père de famille ne fait-il pas plutôt attention - parfois exagérément - à la route et à la sécurité ? Un homme qui, même sans enfants, aime sa femme ou sa petite amie tient-il absolument à multiplier les freins à main et les dépassements abusifs pour lui montrer qu'il est solide ? On voit bien que c'est, en fait, du camp wokiste, dont on se désole au passage qu'il soit subventionné par le contribuable, que viennent les véritables stéréotypes. De plus - mais ce débat nous emmènerait loin -, ce ne sont peut-être pas, statistiquement, les mâles blancs qui ont le plus de comportements à risque au volant (cannabis, go fast, excès de vitesse, rodéos, mariage, course-poursuite...). Demandez à votre agent de police le plus proche. Enfin, statistiquement toujours, si les femmes ont moins d'accidents, ne serait-ce pas parce qu'elles prennent moins le volant ? Ou alors y aurait-il des vertus de prudence, de vigilance et de modération systématiquement présentes chez les femmes ? Ce serait sexiste ? Non, pas quand on essentialise les femmes pour leur attribuer toutes les qualités, apparemment.

    Tous les moyens sont décidément bons pour promouvoir, fût-ce d'une manière presque parodique, l'anti-morale et l'anti-culture. Ce ne sont donc pas les gens qui doivent se comporter correctement en général : ce sont les hommes, et eux seuls, parce que tout le mal vient d'eux, qui doivent désapprendre à être des hommes, puisqu'il est bien connu que vitesse au volant et masculinité sont indissociables l'une de l'autre. Les Français, branchés H24 sur le téléviseur qui leur vomit à la face, savent-ils encore faire la part des choses ? Rien n'est moins sûr.

    Il serait par ailleurs intéressant de demander aux femmes si ce sont des hommes aux ongles peints, élevés par deux papas, qu'elles cherchent à rencontrer pour fonder une famille. Comment ? Que dites-vous ? Elles ne veulent plus de famille ? Ah, dans ce cas, le problème est réglé. Hommes déconstruits et femmes sans désir pourront donc, demain, continuer à tourner en rond, en dessous des limites de vitesse, sur le morne carrousel de leur vie en deux dimensions. Pour la France qui fume des clopes et roule au diesel, pour reprendre l'une des nombreuses punchlines du sympathique et honnête Olivier Véran, ce n'est plus seulement une question de carburant, c'est carrément une question de conduite. Merci à la Sécurité routière de creuser un peu plus le sillon de notre sécession mentale d'avec ce pouvoir central absurde et cette propagande.

    Arnaud Florac

    Source : http://bvoltaire.fr

  • Utiliser les personnes en état de mort cérébrale comme usine à bébé : la nouvelle idée folle des mondialistes

    Publié par Guy de Laferrière le 10 février 2023

    Une idée sorti tout droit d’un film d’horreur ? Non, une étude scientifique fait par une Professeur de l’université d’Oslo en Norvège propose d’utiliser le corps des femmes en état de « mort cérébrale » comme mères porteuses!

    Notre mère est sans aucun doute la personne humaine à qui nous sommes le plus attaché, en particulier dans l’enfance, et charnellement avant la naissance.

    Rien n’est plus naturel qu’une mère qui s’occupe de son enfant. Cette idée si évidente ne fait cependant plus l’unanimité. Déjà depuis plusieurs années, sous la pression de coteries, la loi de la république maçonnique permet à des invertis d’avoir des enfants. Faisant face à une impossibilité biologique, la raison ne les pousse pas à renoncer à leur projet absurde, mais à s’approprier le ventre de femmes pauvres vivant dans d’autres pays comme l’Inde ou l’Ukraine. Le « couple » récupère ensuite l’enfant, la femme recommence — jusqu’à l’épuisement, pour nourrir les siens. Cet esclavage moderne est malheureusement de plus en plus répandu, et promu sous le nom atroce de « Gestation pour autrui ». Quand leurs concepts sont monstrueux, la créativité ne leur manque pas pour les maquiller derrière un jargon technique…

    Visiblement cette situation déjà inquiétante n’émeut pas les autorités. Cela pousse au contraire des docteurs Frankenstein à imaginer des choses encore plus monstrueuses: utiliser le corps de femmes en état de « mort cérébrale » comme usine à bébé. Leur matérialisme est sans limites…

    Qu’est-ce que la « mort cérébrale » ?

    La mort cérébrale est définie comme « l’état d’absence totale et définitive d’activité cérébrale chez un patient. » Donc le cœur bat encore, les cellules continuent de faire du métabolisme, le sang circule… le corps fonctionne parfaitement. Si le corps fonctionne, il est évident que l’âme y est toujours présente, le terme de mort cérébrale est donc un concept absurde voire mensonger… aux conséquences très dangereuses.

    Cette idée d’utiliser le corps des femmes en état de « mort cérébrale » met d’ailleurs un terme définitif au débat : ces personnes sont bien vivantes!

    Comment alors peut-on considérer une personne vivante comme morte ? Il s’agit là d’un prétexte pour faire de l’esclavage, légitimer des homicides pour des prétextes utilitaristes…

    Du point de vue moral, cette idée est absolument indéfendable. En effet, l’Église ne permet la procréation que dans le cadre du mariage. Or le mariage est un accord entre l’homme et la femme souhaitant se marier. Donc une personne en état de « mort cérébrale » ne peut pas consentir à quoi que ce soit vu qu’elle n’a pas l’usage de la raison. C’est évident, mais visiblement pas pour tout le monde…

    De plus cela va contre la vertu de prudence. Quelle est l’espérance de vie d’une personne en état de « mort cérébrale » ? Comment pourrait-on être sûr que la grossesse arrive à son terme et que le bébé ne se retrouvent pas emporté dans cette horrible expérience ? Visiblement nos « scientifiques » sont plus préoccupés par la « théorie du genre » que par la vie de l’enfant.

    Enfin, cette idée diabolique met en avant un paradoxe :

    Dans la loi, est considéré comme morte une personne en « mort cérébrale ». Cela permet de légitimer le don d’organe : la personne étant morte on peut prélever ses organes.

    Sauf que, si un bébé peut se développer (dans quelles conditions… ?) dans le corps d’une femme en état de « mort cérébrale », cela signifie qu’elle n’est pas morte. En effet, si la maman meurt, le bébé dans son ventre ne peut plus se développer…

    Donc les personnes en « mort cérébrale » ne sont pas mortes matériellement, leur corps fonctionne, et si le corps fonctionne, l’âme y est encore présente (sinon il ne fonctionnerait pas…). Donc prélever un organe vital sur une personne en « mort cérébrale » est un homicide.

    Comment peuvent-ils défendre le don d’organe sur les personnes en « mort cérébrale » et en même temps vouloir utiliser ces corps pour élever des bébés ?

    Léon Bossdraft

     

    Source : medias-presse.info

  • Préparez-vous à vivre sans internet : la Russie est déjà prête

    Publié par Guy de Laferrière le 10 février 2023

    Très intéressante analyse du Grenier de l’éco. La Chine se prépare à entrer en scène, comme en témoigne son ballon au-dessus du ciel américain. En formant un axe avec la Russie, la situation pourrait rapidement basculer. Si la Russie s’est exercée à vivre sans l’internet occidental, ce n’est sans doute pas un hasard. Le black-out énergétique pourrait bien arriver.

     

     

  • Darmanin montre ses petits muscles en interdisant une soirée au siège de l’ultra droite lilloise

    Publié par Guy de Laferrière le 10 février 2023

    Comment cela, Moussa Darmanin, un laxiste ? Mais vous plaisantez ! La preuve : il vient d’interdire une soirée intitulée « Qu’ils retournent en Afrique », organisée par « La Citadelle », siège de la mouvance ultra droite à Lille.

    Sa chère Martine, Aubry-la-picole, ci-devant maire de Lille, sabre le champagne, elle qui lui a demandé à plusieurs reprises la fermeture de La Citadelle ces dernières années et qui a réagi avec angoisse à l’annonce de cette soirée « spéciale » par ce cercle privé, qui se présente comme un « bar patriote » et une « maison de l’identité ».

    Malheur à ces identitaires, blancs en plus et même, peut-être, catholiques, allez savoir, on ne sait jamais avec ces extrémistes qui ostracisent ses chers petits clandestins dont on a tant besoin en France pour faire le sale boulot que ces fainéants de Français ne veulent pas faire !

    Même si l’animateur de La Citadelle, Aurélien Verhassel, a fait part à l’AFP de son intention de déposer un référé liberté devant le tribunal administratif de Lille pour maintenir la soirée, qui, selon lui « ne tombe pas sous le coup de la loi », le sinistre de l’Intérieur fera tout ce qu’il faut pour l’empêcher.

    S’il le faut, ses amis Blacks Block et antifa seront appelés à la rescousse. Ce ne sera pas la première fois et les gilets jaunes s’en souviennent amèrement.

    Il a  aussi le soutien, et pour lui c’est très important, du député LFI du Nord, David Guiraud qui l’a assuré que « La soirée du 24 au bar raciste La Citadelle n’aura pas lieu, je m’y engage » ! Complices un jour, complices toujours !

    Les islamistes peuvent dormir tranquille ! Les délinquants n’ont pas à  s’inquiéter ni dans le banlieues, ni à l’Assemblée nationale, ni dans les territoires occupés : Darmanin est trop occupé à traquer la « bête immonde » de l’ultra droite.

    Dormez en paix, chers ennemis de la France « identitaire », Moussa montre ses petits muscles et veille pour vous.

     

    Source : medias-presse.info

  • C’était un 10 février… 1763 : fin du Canada français

    Publié par de Laferrière le 10 février 2023

    Ce jour-là est en effet signé le tragique Traité de Paris, qui met fin à la guerre de Sept ans entre les Français et les Anglais.
    Ne disposant pas du contrôle des voies maritimes en Atlantique, la France n’a jamais pu fournir la logistique et les renforts nécessaires aux colonies.
    Malgré les prouesses militaires du général de Montcalm, la mort de ce dernier et l’écrasante supériorité numérique des Anglais – qui avaient profité des guerres menées par Louis XV pour s’attaquer à la Nouvelle-France – contraignent la France à céder à l’Angleterre, un domaine de 4 millions de km² (Canada, Grenadines, bassin de l’Ohio et du Mississippi,…) et peuplé de 3,4 millions d’habitants.
    La France ne conserve que la Guadeloupe, la Martinique et Saint-Pierre et Miquelon.

    Ce traité marque un tournant dans l’Histoire de l’Europe et du monde : la France n’est plus la nation dominante et le Royaume-Uni va pouvoir étendre librement son influence et sa culture sur le globe. Il explique l’étendue de la langue anglaise en Amérique du Nord au détriment du français.

    Les Anglais se livreront à un véritable nettoyage ethnique dans les décennies qui suivront (le « Grand Dérangement »), déportant massivement les Canadiens-Français et les Acadiens, dans des conditions telles qu’une grande proportion meurt en route. Beaucoup de familles seront séparées, des hommes réduits en esclavage et des enfants volés pour être confiés à des familles anglaise pour leur « assimilation ».

    C’était aussi un 10 février… 1937 : mort du capitaine Henri Bonneville de Marsangy, à Llanes dans les Asturies, à la tête de la 2e compagnie du bataillon San Fernando de la 6e Brigade de Navarre.

    Emblème de la Bandera Jeanne d’Arc

    Il fut l’un des chefs de la Bandera Juana de Arco (Jeanne d’Arc) qui combattit aux côtés des troupes du général Franco contre les républicains. Elle avait été organisée par le général Lavigne-Delville et comprendra jusqu’à trois mille volontaires. Bonneville participa aux combats de Mérida, Badajoz, Madellin, Talavera, ainsi qu’à la libération de l’Alcazar de Tolède. Son fils, Roland Bonneville de Marsangy, officier parachutiste, tombera à 25 ans, à Dien Biên Phu. A propos des « volontaires étrangers de Franco », Sylvain Roussillon a signé un livre de référence, disponible ici.

     

    Source : contre-info