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études

  • Les Français paieront pour les études des étrangers à l’Université d’Orléans

    Publié par Guy Jovelin le 02 août 2020

    Le site Galilée de Polytech’Orléans

    De très nombreux étrangers viennent étudier en France.
    Nonobstant les problèmes de sécurité et d’identité que cela peut poser, on pourrait se dire « Pourquoi pas ? ». Mais ne serait-il pas pour autant aberrant et scandaleux que cela se fasse au détriment des Français et des étudiants français ?
    C’est pourtant bien le cas.
    Rien qu’à Orléans, sous la pression du syndicat gauchiste UNEF (« gauchiste »  ne signifie pas « qui combat pour le peuple » mais pour l’étranger par principe et pour la destruction de la civilisation) plus de 2000 (!) étudiants ne paieront pas leurs frais de scolarité…
    Cela représente dans ce cas plusieurs millions d’euros, qu’il faudra bien que quelqu’un paye…

    Si le coût peut être trop élevé pour un étudiant africain, est-ce notre faute ? L’UNEF se moque de créer une grave injustice au détriment des Français.
    Il n’y a qu’en Europe occidentale qu’on peut concevoir des situations aussi absurdes.
    Est-ce qu’il faudra aussi leur offrir logement et nourriture, parce que ce serait trop cher pour eux ?
    En fait, ça se passe déjà en bonne partie, via les CROUS notamment…

    « Comme Mohamed Bangoura, un Guinéen de 21 ans étudiant en L3 de biotechnologies, ils sont plus de 2000 étrangers à l’université d’Orléans (Loiret). Celle-ci vient d’adopter un moratoire sur les frais d’inscription supplémentaires pour l’année universitaire 2020-2021, qui pouvaient se monter à 3770 euros pour une année en école d’ingénieur ou en master.

    « Il faut comparer ça aux salaires dans nos pays. En Guinée par exemple, un fonctionnaire gagne l’équivalent de 200 euros, il lui devient impossible de financer des études pour un enfant dans une université française », explique Mohamed Bangoura, qui préside l’association Rivières du sud, qui rassemble les étudiants guinéens installés à Orléans.

    Sous l’égide du syndicat Unef, plusieurs associations d’étudiants africains ont saisi l’université d’Orléans […] » (source)