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condamnés pour viol

  • Toulouse : Adil Maache, Zeghloul Ouadah, Mohamed El-Hady et Mafhoud Nafi condamnés pour avoir violé collectivement Manon (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 05 mars 2021

    4 mars 2021

    (…) Cheveux bruns, taillés courts, les yeux baissés, Adil Maache, 27 ans, a été condamné à dix ans de prison ferme pour ce viol en réunion. (…)

    « Peines équilibrées » pour la défense

    Les deux plus jeunes accusés, Zeghloul Ouadah, 24 ans, et Mohamed El-Hady, 21 ans écopent tous les deux de neuf ans de prison. « Il n’y a pas de doute sur votre culpabilité », précise le président Noël Picco, avant de prononcer la condamnation.

    (…) Le client de Me Marie-Ange Cochard, Mafhoud Nafi, 28 ans, est condamné à sept ans de prison. Une peine moins lourde que les autres notamment du fait d’une « moindre implication et d’une prise de conscience sincère et profonde de la gravité des faits », note le président. « Il est dans cette attitude depuis le départ et il accepte sa peine », confirme son avocate.

    (…) La Dépêche


    […]

    David Senat, avocat général, a requis neuf, onze et treize ans de prison contre les quatre hommes jugés depuis ce lundi 1er mars pour le viol collectif d’une jeune femme en 2018 sur le parking de la boîte de nuit “Le Carpe Diem” à Balma. Ce procès se tient devant la cour criminelle départementale de Haute-Garonne à Toulouse. 

    […]

    L’article dans son intégralité sur La Dépêche


    1 mars 2021

    Toulouse : Quatre hommes jugés après le viol collectif d’une femme, filmé et diffusé sur les réseaux sociaux

    […]

    Ses quatre violeurs présumés sont jugés à partir de ce lundi par la Cour criminelle de la Haute-Garonne. Immédiatement après les faits, ces jeunes des banlieues de la Ville rose, âgés de 19 à 25 ans, avaient fui en Espagne ou au Maroc

    […]

    « Elle a du mal à se souvenir comment elle se retrouve sur le parking. Ensuite, son refus est clair, on voit sur les images qu’elle est tirée par les cheveux, portée à bout de bras, maintenue pendant l’acte », poursuit son avocate.

    De leur côté, les accusés minimisent leur participation à l’agression, nient l’avoir violée ou affirment que les relations sexuelles étaient consenties.

    […]

    L’article dans son intégralité sur 20 Minutes