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faim

  • Taillis (35). “La faim me réveille la nuit” : le cri de détresse d’une maman

    Publié par Guy de Laferrière le 07 décembre 2022

    Sandrine Moulin vit avec sa fille de 6 ans, à Taillis. En difficulté financière, elle a du mal à remplir son frigo. Elle espère obtenir de l’aide pour sortir la tête de l’eau.

    Sandrine Moulin, 41 ans, ne pensait pas vivre un jour une telle descente aux enfers. Aujourd’hui, cette mère de famille vit seule avec sa fille de 6 ans, à Taillis, près de Vitré. Elle ne parvient pas à payer ses factures et ne pourra pas offrir de cadeaux de Noël à ses enfants.

    Submergée par les larmes au moment de raconter son histoire, elle espère obtenir de l’aide pour sortir la tête de l’eau. Voici son témoignage :

    actu.fr via fdesouche

  • EN FRANCE, AUJOURD’HUI, DES ENFANTS ONT FAIM

    Publié par Guy Jovelin le 02 juin 2020

    POSTÉ LE JUIN 02, 2020, 3:23

    Une dame vient de me raconter une petite histoire que je trouve triste et belle. La voici. On peut en tirer des conclusions sur l’actuelle situation de notre pays.

    Cette dame qui « fait le catéchisme », comme on dit, à de jeunes enfants a remarqué que, parmi ses jeunes auditeurs, certains, garçons et filles, se tenaient dans un coin, calmes, silencieux, un peu amorphes, comme s’ils cherchaient à ne pas exister. Elle finit par leur demander s’ils se sentaient bien et les enfants, intimidés, osant à peine répondre, confièrent à cette dame qu’ils avaient faim. Ils étaient un peu honteux de l’avouer. Le matin, ils n’avaient pas de petit-déjeuner. Ils partaient au catéchisme le ventre creux. Par négligence des parents ou indigence. La dame, bien sûr, fit aussitôt en sorte que ces enfants n’aient plus faim et il lui arrive souvent de recommencer. Ces petits, sortant alors de leur mutisme, lui dirent tout simplement : « Merci, Madame », avec un charmant sourire. Cette dame en fut tout heureuse, m’a-t-elle dit. Qu’y a-t-il de plus beau, en effet, que le sourire d’un enfant reconnaissant ?

    Cette anecdote bien simple pose des questions qui vont bien au-delà du catéchisme et de l’anecdote elle-même.

    La France compte maintenant un grand nombre d’enfants, mais aussi d’adultes, qui ont faim, alors que la France officielle et généreuse dépense chaque année, assure-t-on, 750 milliards d’euros dans le social, pour l’essentiel à destination des défavorisés venus d’ailleurs qui désormais se comptent par millions sur notre sol. Ce sont ces migrants que nos responsables politiques ont fait venir par idéologie mondialiste ou socialiste et par démagogie, provoquant de ce fait une fiscalité écrasante. Mais comment cette manne est-elle distribuée ? C’est une question difficile. Pour s’y reconnaître dans cette étonnante complexité, il faut être inspecteur des finances et être en mesure de faire l’inventaire de l’aide au « tiers monde intérieur », à ne pas confondre avec le « tiers monde extérieur » qui, de son côté, absorbe un certain nombre de milliards d’euros – de votre poche.

    On apprend d’abord qu’une partie de cette aide va au distributeur, des fonctionnaires payés qui font penser beaucoup plus à Kafka qu’à saint François d’Assise. L’étude fait apparaître également qu’en France, maintenant, pratiquement la polygamie existe et que le prénom le plus donné dans les mairies est celui de Mohamed. Migrations et naissances expliquent que désormais, les migrants, toutes générations confondues, représentent quelque 25 % de la population dite française.

    Dans certains quartiers des villes allemandes, on est en Turquie. En France, on est au Maghreb. Ces populations font la loi. C’est l’anarchie. Boulangeries, pharmacies, épiceries françaises ont déménagé. Là, les Français n’ont plus leur place en France.

    Le hasard a fait qu’il y a quelques jours, j’ai rencontré à Paris un Paraguayen d’Asuncion, flanqué d’un Colombien qui servait d’interprète : « Que venez-vous faire en France ? lui ai-je demandé. Vous n’avez pas de travail chez vous ? – Il y a du travail, m’a-t-il répondu, mais il y en a peu et il est mal payé. En France, pas de besoin de travailler et on est bien payé. Les amis et les organisations nous disent ce qu’il faut faire pour obtenir des “allocations”. Pas de problème ! » Cet aimable Paraguayen était un Indien guarani. Il manquait à ma collection, qui est déjà fort belle. La rue en France, en effet, c’est le musée de l’Homme ! Inutile d’acheter un billet pour le musée du Trocadéro. Ainsi ai-je croisé des Danakils d’origine hamitique venant d’Abyssinie, à ne pas confondre avec les Hamaras qui sont chrétiens et qui donc sont combattus par les précédents, musulmans. De la sorte, s’ajoutant aux autres, nous pourrions avoir des combats entre coptes et musulmans. L’Afrique, on le voit, se reconstitue chez nous. Mais la collection étant très variée y figurent également des Chinois. À toutes fins utiles, je précise que les prostituées chinoises viennent plutôt de la province du Liao-ning et aussi du Hei Lung Kiang, au nord de la Chine, mais le million de Chinois en France vient d’un peu toutes les provinces, du Kuan Tong, du Kuan Ksi, du Yunan, etc. – plus les nombreux Coréens qu’il ne faut pas oublier.

    Vous pouvez demander à ces Chinois dans leur langue leur origine. Ils vous répondront volontiers en chinois. Il faut noter que ces Chinois ne sont pas à la charge du contribuable. Ils se débrouillent très bien tous seuls, surtout dans l’alimentation. J’en connais un qui était assujetti à l’ISF et j’en connais autre qui tient un grand et excellent restaurant.

    Oui, la France est devenue un musée ethnique et l’idée fait son chemin d’imposer une taxe à ceux qui le visitent. On sait en effet qu’il n’y a pas un seul problème en France qui ne soit résolu par une taxe. Des fonctionnaires, postés à chaque coin de rue, seraient chargés de la percevoir, éventuellement en donnant des explications ethniques : « Vous voyez sur votre gauche : vous avez un Bambara de Sikasso, brachycéphale, c’est-à-dire que le diamètre transverse est presque égal au diamètre antéro-postérieur du crâne. Et, sur votre droite, un Amérindien du Nebraska, également brachycéphale. Un peu plus loin, vous trouvez un groupe de Néo-Papous. » Tout cela me remet en mémoire un souvenir ancien. Débarquant en Amérique latine, je fus accueilli par un groupe d’Indiens patagons qui, habillés en costume local, tapaient sur des calebasses pour soutirer quelques sous aux touristes de passage. Ainsi avaient-ils chaque jour leur bol de riz. C’était pitoyable.

    Un jour viendra, je le crains, où les derniers Français seront regroupés à Roissy pour jouer de la flûte et obtenir des touristes de quoi acheter leur pain. Leur pain ! Que dis-je ? L’assiette de couscous devenue le plat national !

     

    Source : les4verites