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  • L’islamo-gauchiste Saïd Bouamama, sociologue à Lille

    Publié par Guy Jovelin le 24 février 2021

    L’islamo-gauchiste Saïd Bouamama, sociologue à Lille

    De Bernard Antony :

    islamo-gauchisme,saïd bouamama,sociologue à lilleA notre connaissance, ni Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Education Nationale, ni Frédérique Vidal, ministre de l’enseignement supérieur n’ont encore réagi à propos de l’islamo-gauchisme dans la « recherche », sur le cas très emblématique de Saïd Bouamama mentor d’Houria Bouteldja qu’avec l’Agrif nous n’avons cessé de mettre en évidence.

    Alors voici les questions que les enquêteurs d’un organisme sans doute autre que le CNRS pourraient poser:

    – Mr Saïd Bouamama, le principal rédacteur de l’ouvrage « Nique la France », présenté comme « l’expression d’un Devoir d’insolence », est-il toujours ce « sociologue, docteur en socio-économie, militant engagé depuis de nombreuses années dans les luttes de l’immigration pour l’égalité réelle des droits en France; directeur de recherche à l’IFAR (Institut de Formation d’Animateurs de Recherche) à Villeneuve-d’Ascq (université de Lille) » ?

    -Par quel organisme Mr Bouamama est-il payé ?

    -Sur la couverture est la photo d’Houria Bouteldja faisant un « doigt d’honneur » illustrant l’appel « Nique la France ». Au long du texte sont de même celles de plusieurs dizaines de personnages dans la même posture. En pages centrales, l’un d’eux est revêtu d’une chemise portant l’inscription «Solidarité avec les militants d’Action Directe » or ces « militants » sont des terroristes emprisonnés pour assassinats.

    L’ouvrage est édité par Z.E.P (Zone d’Expression Populaire) et par « Darna édition ».

    De quel organisme dépend Z.E.P ? Darna Edition ?

    D’où Z.E.P tire t-elle son budget ?

    Quels sont les liens entre Z.E.P, Darna et l’IFAR ?

    -Le service de contrôle de gestion du ministère de l’enseignement supérieur a-t-il vérifié sur quelle ligne budgétaire a été payé « Nique la France » ?

    Bref, le brulot islamo-gauchiste « Nique la France » du « chercheur » Saïd Bouamama, comportant en outre un CD du rappeur Saïdou a-t-il été financé par les ventes au prix indiqué de 12 euros ?

    Si oui, sur quelle comptabilité cela figure t-il ?

    Celle de Z.E.P, celle de Darna édition, celle de l’IFAR ?

    -Enfin, à combien d’ « animateurs de recherche », le sociologue militant engagé Bouamama a-t-il dispensé son enseignement ?

     

    Source : lesalonbeige

  • L’islamo-gauchisme : mais oui, ça existe dans la « recherche », et pas que dans la « recherche

    Publié par Guy Jovelin le 19 février 2021

    L’islamo-gauchisme : mais oui, ça existe dans la « recherche », et pas que dans la « recherche

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    De Bernard Antony :

    Frédérique Vidal, ministre de l’enseignement supérieur, a eu simultanément la bonne idée de s’inquiéter de la progression de l’islamo-gauchisme universitaire et la mauvaise de ne vouloir l’identifier que dans la « recherche ». Elle a ainsi absurdement demandé au CNRS d’enquêter sur ce phénomène.

    En effet, d’une part, ce n’est pas que dans la « recherche » que l’université est gangrénée, de l’autre le CNRS n’est vraiment pas l’institution la plus épargnée par la subversion de sa finalité à des fins révolutionnaires.

    C’est l’AGRIF qui, la première, il y a maintenant 14 ans, a mesuré l’importance des propos objectivement racistes sous couvert d’antiracisme de l’égérie du PIR (Parti des Indigènes de la République), Houria Bouteldja, et l’a combattue judiciairement.

    Le PIR a été ainsi comme un vecteur central de diffusion des idéologies convergentes « indigénistes », « racialistes » et « décoloniales » se croisant plus ou moins ensuite avec les courants de révolution culturelle venus des campus américains et avec l’impérialisme LGBT.

    Avec un condescendant mépris, Houria Bouteldja, ultra-nationaliste algérienne vivant en France et grâce à la France, a campé sans vergogne son mouvement comme la dernière chance de salut des « Blancs », à la condition que ces derniers, repentants et soumis, le rejoignent sans tarder.

    Elle répondait ainsi à Christine Delphy sur le discours des Indigènes de la République :

    « Le discours ne vous plaît pas…mais prenez-le quand même !

    Ce n’est pas grave, il faut que vous le preniez tel quel ! Ne discutez pas ! Là, on ne cherche plus à vous plaire ; vous le prenez tel quel et on se bat ensemble, sur nos bases à nous ; et si vous ne le prenez pas, demain, la société tout entière devra assumer pleinement le racisme anti-Blanc.

    Et ce sera toi, ce seront tes enfants qui subiront ça. Celui qui n’aura rien à se reprocher devra quand même assumer toute son histoire depuis 1830. N’importe quel Blanc, le plus antiraciste des antiracistes, le moins paternaliste des moins paternalistes, le plus sympa des sympas, devra subir comme les autres.

    Parce que, lorsqu’il n’y a plus de politique, il n’y a plus de détail, il n’y a plus que la haine. Et qui paiera pour tous ? Ce sera n’importe lequel, n’importe laquelle d’entre vous. C’est pour cela que c’est grave et que c’est dangereux ; si vous voulez sauver vos eaux, c’est maintenant.

    Les Indigènes de la République, c’est un projet pour vous ; cette société que vous aimez tant, sauvez-la… maintenant !  Bientôt, il sera trop tard : les Blancs ne pourront plus entrer dans un quartier comme c’est déjà le cas des organisations de gauche. Ils devront faire leurs preuves et seront toujours suspects de paternalisme. Aujourd’hui, il y a encore des gens comme nous qui vous parlons encore. Mais demain, il n’est pas dit que la génération qui suit acceptera la présence des Blancs. »

    Ultérieurement, elle déclara : « Aujourd’hui, le PIR rayonne dans toutes les universités ».

    « Nique la France » du chercheur Saïd Bouamam

    Aux côtés d’Houria Bouteldja s’est illustré l’auteur du livre « Nique la France », le « chercheur » Saïd Bouamama. Sous-titré « Devoir d’insolence », ce bouquin est préfacé par le rappeur « Saïdou » annonçant sa « première bombe artisanale », « en voiles, keffiehs et casquettes à l’envers », sa bombe d’appel aux « anticolonialistes, antisionistes, anticapitalistes »…

    En dos de couverture, Bouamama est présenté ainsi : « un sociologue, docteur en socio-économie, militant engagé dans les luttes de l’immigration pour l’égalité réelle des droits en France. Il est directeur de recherche à l’IFAR (Institut de Formation des Agents de Recherche), située à Villeneuve d’Ascq (59) ».

    En couverture, Houria Bouteldja tend un doigt d’honneur significatif. Tout au long du texte, sur pleines pages, sont plusieurs dizaines de photos de personnages faisant le même geste. En page centrale, l’un d’eux porte un « tee-shirt » : « Solidarité avec les militants d’Action Directe ».

    Le chercheur Bouamama est payé pour ce « travail » de haine antifrançaise par son institut de formation des agents de recherche. Mais on entend ce matin sur France-Inter proférer que l’islamo-gauchisme, ça n’existe pas et surtout pas dans la recherche !

     

    Source : lesalonbeige