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  • Le malaise en direct sur LCI : flagrant délit de mensonges au sujet de la Russie

    Publié par Guy de Laferrière le 15 août 2023

    Cependant, durant son commentaire en direct, une gêne surgit : elle présente des drapeaux français fabriqués par des artisans nigériens au lieu des drapeaux russes, remettant en question son propos initial. Avec un sourire contraint, elle reconnaît la confusion et enchaîne avec humour : « Ça n’a rien à voir, alors je n’ai rien dit. Revenons aux fausses informations d’hier. » Cette réaction habile lui permet de rétablir la situation tout en gardant le professionnalisme.

    Lecteur vidéo
     
     
     
     
     
     
  • Malaise sur LCI : Un ancien officier des commandos marine, doute de la vidéo des Ukrainiens

    Publié par Guy Jovelin le 06 octobre 2022

    Malaise sur le plateau de LCI : Louis Saillans, ancien officier des commandos marine émet en direct des doutes quant à la vidéo mettant en scène des militaires ukrainiens

    LCI à la découverte de ce qu’est la propagande de guerre. Une arme clef de tous les conflits.

    L’ancien militaire français sous-entend par son analyse qu’il s’agit d’une propagande.

     
  • LCI a utilisé des images du jeu vidéo Fallout pour illustrer des missiles nucléaires russes

    Publié par Guy Jovelin le 22 septembre 2022

    La Russie, comme à son habitude depuis le début de l’invasion de l’Ukraine, brandit des menaces nucléaires cette semaine. La population s’en inquiète et les médias sont bien obligés d’apporter des d’éclaircissements à tous ces événements. LCI, comme d’autres chaînes de télé, a voulu détailler les types d’armes possédés par les Russes ce 19 septembre et démanteler les mythes autour d’une potentielle attaque.

    Le seul souci est que les journalistes ont utilisé des images d’une arme tirée… du jeu vidéo Fallout 4 pour illustrer les missiles russes.

     

    Un missile plus long et plus aérodynamique

    Le mini-nuke, qui ressemble à une caricature de bombe, peut être porté par un super-mutant kamikaze dans le jeu vidéo — il se trouve être très utile si le joueur parvient à la récupérer, puisqu’il inflige d’énormes dégâts.

    Les armes nucléaires tactiques sont bien plus destructrices dans le monde réel, sont destinées à avoir un impact précis sur un territoire et sont généralement des ogives placées dans des missiles d’une longueur de 6 mètres.

    Un missile OTR-21 Totchka de l’armée russe pouvant être doté d’une ogive nucléaire. // Source : Wikimedia Commons
     
    Dans la hâte propre aux chaînes d’infos en continu, LCI a malencontreusement illustré ces dernières par les mini-bombes de Fallout pour décrire les armes en possession des Russes. En tapant « mini-nuke » sur Google Images, on tombe en effet uniquement sur les missiles rondouillards du jeu-vidéo.
     
    La raison est simple : ce n’est qu’un surnom. Une ogive nucléaire n’est qu’une « tête » contenant la charge explosive d’un missile. On peut placer cette pointe sur différentes catégories d’arme. On espère en revanche que le scénario dystopique de Fallout avec un monde plongé dans une guerre nucléaire ne se produise pas.
     
    Source: Numerama
  • SUR LCi, LA PROPAGANDE ANTI-RUSSE A LA VIE DURE !

    Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2022

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Chaque jour que Dieu fait, en soirée, l’équipe d’Éric Brunet y va de sa ritournelle anti-Russe sur la chaine d’info en continu LCi. C’est un déluge d’obus verbaux qui s’abat sur le Kremlin et son maître, coupable de tous les maux de la planète. Le chef d’orchestre distribue les bonnes et mauvaises notes, et chacun des participants, depuis son pupitre, vocifère à sa façon. Les plus bellicistes étant les deux pétroleuses de service, une journaliste ukrainienne à la toison blonde comme les blés de son pays, et une lobbyiste britannique du genre « plus OTAN que moi, tu meurs » ! Cette émission vespérale est d’un insupportable parti-pris que n’aurait pas renié la propagandastaffel d’un Goebbels ! 

    Un petit rappel nécessaire

    Non, la Russie, contrairement aux affirmations de ce petit cénacle, ne va pas perdre la guerre ! Oui, dans ce conflit, la Fédération est l’agresseur. Mais quand on affirme ça, on n’a pas tout dit. Posons-nous alors la question, que ces messieurs-dames eux, ne se posent pas : pourquoi  le 24 février 2022, Moscou est passé à l’offensive ?

    Les accords de Minsk I et II dont les parrains – inefficaces, étaient l’Allemagne et la France – n’ont JAMAIS été appliqués ! Rappelons que signés en 2014 à l’issue de négociations quadripartites auxquelles étaient associées les entités séparatistes russophones, l’Ukraine devait cesser le feu contre elles, organiser un référendum, et leur octroyer une « autonomie substantielle », termes exactes des dits accords. Les autorités de Kiev, sans doute discrètement conseillées par les États-Unis qui ont fait des promesses insensées, ont choisi la voie du refus. Que veulent, VRAIMENT, les Russophones du Donbass et du Sud de l’Ukraine ? Pour le savoir, encore aurait-il fallu les consulter ! Pour la Crimée, artificiellement arrachée à la Russie à l’époque de l’URSS par Kroutchev Premier secrétaire du PCUS, lui-même ukrainien, c’est plié, la messe est dite ! Elle est russe à 80 % et le restera.

    L’Occident ajoute la guerre à la guerre

    Livrer du matériel militaire comme le font Américains, Polonais et Français - dont une bonne partie, parait-il disparait… mais pas pour tout le monde ! - est ajouter  la guerre à la guerre, et faire durer un conflit qui, de toute façon, devra se terminer autour d’un tapis vert sauf - ce qu’à Dieu ne plaise – en guerre mondiale ! Déjà, les tracasseries managées par la Lituanie autour de l’enclave de l’ex-Königsberg, sont inquiétantes.

    L’Occident, à trop jouer avec les allumettes, pousse à l’embrasement. Il faut calmer l’ours russe en lui accordant ce qu’il peut légitimement réclamer : une réelle neutralité de l’Ukraine, et l’autonomie des citoyens ukrainiens russophones. Si cela avait été solennellement proclamé et octroyé, l’indépendance des oblats de Lougansk et Donetsk aurait-elle été justifiée ? Dans les conditions actuelles de l’avancée militaire russe sur le terrain, on peut redouter  un rattachement pur et simple de ces territoires à la Fédération de Russie, amorçant ainsi le démantèlement de l’Ukraine, nation artificielle s’il en est. (Ce qui ne serait peut-être pas pour déplaire à certains de ses voisins occidentaux qui, hypocritement, ne l’avoueront pas…)

    STOP à la guerre ! Aujourd’hui les bellicistes sont à l’Ouest…

    Dans le cadre d’un cessez-le-feu, sous supervision internationale impartiale, un référendum devrait clarifier cette situation et nous faire connaitre la volonté réelle des populations concernées. Zelenski, prêt à se battre jusqu’au dernier ukrainien, poussé à l’incandescence par les stratèges en chambre de l’OTAN, sortirait grandi de cette triste affaire où d’innocents civils sont morts sur l’autel de la bêtise, s’il acceptait de négocier avec Poutine sur la base de la neutralité de l’Ukraine et de sa fédéralisation. Ce que les accords de Minsk prévoyaient. Retour au point de départ. La Russie n’a pas tous les droits : certes, elle est, sur le terrain, de facto, l’agresseur. Mais il faut se demander, oui, POURQUOI ?

    La France défendrait-elle les siens ?

    Si, par exemple, les Wallons francophones étaient persécutés par les Flamands de Belgique, la France devrait-elle rester l’arme au pied ? On a vu ce qu’il en est advenu dans d’autres circonstances, en Algérie notamment en juillet 1962, où l’armée française à Oran, a laissé un bon millier des siens se faire massacrer par le FLN., sans bouger le petit doigt. Les Russes ne semblent pas être de ce calibre, c’est tout à leur honneur. 

    Je vais arrêter de regarder cette émission, trop unilatérale, sans nuances aucune, un instrument de propagande américano-otanesque. L’Alliance atlantique était nécessaire à l’époque de la guerre froide, lorsque l’URSS était une VRAIE menace sur tous les continents, et qu’il fallait  la contenir. À l’époque, De Gaulle avait tort de vouloir jouer la carte de la « troisième voie » entre les blocs. La solidarité occidentale était nécessaire, au Vietnam comme à Berlin. La situation n’est plus la même de nos  jours.

    La Russie actuelle, qui aspire à redevenir une puissance reconnue, n’est pas la Russie communiste d’hier, même si elle a encore des caractéristiques, disons « soviétoïdes ». Poutine passera, mais  la Russie restera. C’est une erreur de la pousser dans les bras de la Chine communiste, comme les Anglo-saxons propulsèrent hier Mussolini dans les bras d’Hitler, après avoir condamné son agression contre l’Ethiopie. À croire que les  erreurs du passé ne servent pas éclairer les conflits actuels. Pour nous, patriotes, souverainistes et autres identitaires, seuls devraient compter nos  intérêts : la France d’abord !

     

    Source : synthesenationale