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pétition

  • Les Sables d’Olonne : plus de 40.000 signatures contre le déboulonnage de la statue de Saint Michel

    Publié par Guy Jovelin le 08 janvier 2022

    Condamnée par le tribunal administratif de Nantes, suite à un recours de la Libre Pensée de Vendée, à déboulonner dans les six mois la statue de l’Archange Saint Michel, située sur la place du même nom devant l’église du même nom, la Ville des Sables d’Olonne a fait appel « au nom du bon sens » et contre « les laïcistes radicaux complices de la cancel culture« . Cette volonté municipale de protéger l’archange semble soutenue puisqu’une pétition lancée par l’UNI en Vendée a récolté plus de 40.000 signatures contre le déboulonnage de la statue.

    Dans le texte qui accompagne ladite pétition, le syndicat étudiant s’élève contre les déboulonneurs :

    « Le Tribunal déboulonne Saint-Michel Archange : l’UNI Vendée refuse cette décision ! »

     »L’association de la libre pensée » avait récemment saisi le tribunal administratif de Nantes, accusant la statue de Saint-Michel Archange d’enfreindre la loi de 1905 sur la laïcité. Dans un jugement du jeudi 16 décembre 2021, le tribunal a voulu que la statue soit déboulonnée sous six mois.

    Une fois de plus, les laïcistes radicaux, complices de la cancel culture, se sont emparés de notre patrimoine et ont renié les racines et la culture chrétiennes de la France. Après les sculptures de Victor Schoelcher en Martinique, Charles de Gaulle à Hautmont, Jean-Baptiste Colbert à Paris et Napoléon Bonaparte Ier à Rouen, un autre monument est victime de la déconstruction, témoin direct de la décadence de notre Nation !« 

    A ce sujet, le média breton Breizh Info remarquait : « en revanche, lorsqu’une procession catholique est attaquée « au nom d’Allah » [à Nanterre le 8 décembre dernier] et que l’on traite les fidèles de « kouffars » que l’on menace d’égorger, les laïcistes de la Libre Pensée sont frappés d’une subite extinction de voix« .

     

    Source : medias-presse.info

  • La Marche pour la vie lance une pétition contre la loi Gaillot

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2021

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    Il y a tout juste un an, en octobre 2020, le député Albane Gaillot présentait à l’Assemblée nationale une proposition de loi visant, au lendemain de la crise sanitaire, à allonger le délai de l’avortement de 12 à 14 semaines.

    « J’ai été alertée par de nombreuses femmes ainsi que par le Planning familial sur les difficiles conditions d’accès à l’IVG pendant l’épidémie de Covid-19 expliquait-elle à l’époque, nous nous sommes rendues compte que le problème n’était pas conjoncturel mais structurel ».

    Validée par l’Assemblée, cette proposition de loi avait ensuite été présentée par la socialiste Laurence Rossignol au Sénat avant d’être rejetée.

    Comme un train peut en cacher un autre, il en est de même pour les génies ou les barbares. L’ancien Ministre de l’intérieur, Christophe Castaner, désormais chef de file de la majorité LREM à l’Assemblée nationale, encouragé par le Ministre de la Santé, Olivier Véran, vient d’annoncer l’inscription à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale dans le cadre d’une niche parlementaire, d’une nouvelle proposition de loi pour allonger le délai de l’IVG.

    « En France, l’avortement n’est pas menacé en droit, mais il l’est dans la pratique », affirme t-il. Pourtant 222.000 avortements ont été réalisés en France en 2020 soit plus de 600 par jour ! Faut-il encore et toujours ajouter de la souffrance à la souffrance, de la mort à la mort ? N’y a-t-il pas meilleure idée pour protéger les femmes que les encourager à avorter de plus en en plus tard, quitte à ressentir dans leurs chairs la dissection d’un petit être vivant ?

    Nous rappelons que l’avortement à 14 semaines implique une dissection afin de faire sortir le bébé du ventre. L’enfant a un cœur qui bat dès six semaines ; à 14 semaines son visage est déjà bien dessiné, il a ses empreintes digitales… Il commence même à sucer son pouce !

    Le Syndicat national des gynécologues-obstrétriciens de France (Syngof), affirme pour justifier son opposition à cette proposition, que l’ossification de l’embryon à ce stade de la grossesse impose une dilacération des chairs.

    Ne les laissons pas faire ! 

    Signez, diffusez, faites tourner cette pétition pour ordonner le retrait (sans délai) de cette proposition de loi.

     

    Source : lesalonbeige