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réfugiés ukrainiens

  • Ukrainiens en France : quand les services d’immigration découvrent des réfugiés pressés de rentrer chez eux

    Publié par Guy de Laferrière le 28 février 2023

    Ukrainiens en France : quand les services d'immigration découvrent des réfugiés pressés de rentrer

     

    Depuis un an, près de 120 000 Ukrainiens ont bénéficié d’une protection de la France, dont 20 000 sont déjà repartis. Avec eux, l’Hexagone découvre des immigrants pressés de rentrer chez eux. De quoi perturber les institutions, habituées à des déplacés désireux d’établir leur vie dans le pays d’accueil.

     

    www.marianne.net via fdesouche

  • Des armes à la place du pain pour les réfugiés ukrainiens. La priorité d’Ursula va-t-en-guerre

    Publié par Guy Jovelin le 21 mai 2022

    L’Union européenne, c’est la paix, vraiment ? Pour Ursula von der Leyen, il est plus important d’envoyer des armes à l’Ukraine que d’aider les pays voisins à accueillir et nourrir les réfugiés ukrainiens.

    Monseigneur Krzysztof Zadarko, président du Conseil des évêques polonais pour la migration, le tourisme et les pèlerinages, a rappelé ces derniers jours :

    « L’ampleur de l’aide humanitaire fournie par l’Église catholique en Pologne est énorme. Il n’y a pas de paroisse qui ne veut pas participer… il y a un besoin d’assistance systémique à long terme ».

    Et les Polonais peuvent se demander : mais où est l’Europe ?

    Le sort des réfugiés pour les pays frontaliers avec l’Ukraine est, comme dans le cas de la Pologne, désormais insoutenable. Les données du HCR, l’agence des Nations Unies pour les réfugiés, sont claires : la Pologne accueille 3,4 millions de réfugiés sur un total de 6,2 millions qui ont fui la guerre. Composés de mères, d’enfants, de personnes âgées qui fuient les conflits dans des conditions de pauvreté, cette masse de réfugiés a besoin d’être nourrie, de travailler, d’étudier, de pouvoir avoir un lit sûr. « La Pologne a besoin de l’aide de l’UE pour faire face à la vague de réfugiés en provenance d’Ukraine », a répété dignement le vice-ministre polonais de l’Intérieur lundi 16 mai. Paweł Szefernaker a réitéré cette demande après une réunion à Varsovie avec les législateurs polonais, lituanien, letton et estonien, exprimant en même temps que le sommet européen très demandé, qui se tiendra plus tard ce mois-ci à Bruxelles sur les réfugiés et l’aide aux pays qui les accueillent, prenne les décisions « nécessaires » et urgentes.

    La semaine dernière, les représentants des pays confrontés à cette vague d’Ukrainiens fuyant le conflit, ont demandé d’une seule voix à l’Europe :

    « Nous avons besoin d’un fonds de milliards d’euros, non pas pour aider la Pologne, mais pour aider les réfugiés qui arrivent dans notre pays ».

    Ils étaient réunis le 9 mai à Varsovie où se tenait la 1ère conférence des pays européens qui font le plus d’efforts pour accueillir et intégrer les Ukrainiens : Roumanie (924 000 réfugiés), Hongrie (610 000 réfugiés), Slovaquie (424 000 réfugiés) et Moldavie (464 000 réfugiés), avec la participation de la Grande-Bretagne, de l’Allemagne, de l’Autriche, de la République tchèque et des trois Pays baltes.

    Malgré ces appels répétés à une aide financière plus conséquente, l’Union Européenne reste silencieuse. Seule concession faite : la possibilité d’utiliser les fonds des politiques de cohésion, relatifs au budget 2014-2020, ainsi qu’une partie des fonds React-EU pour le Covid (17 milliards au total), pour soutenir l’accueil des réfugiés. Cependant, l’argent peine à arriver et, comme le prétend le récent rapport du groupe de réflexion Bruegel 40 milliards d’euros seraient pourtant nécessaires pour les réfugiés ukrainiens.

    Au contraire, pour l’envoi d’armes et d’argent pour en financer l’achat, Ursula va-t-en-guerre est prolixe : lors de la réunion des ministres des affaires étrangères de l’UE du 17 mai dernier, 500 millions d’euros supplémentaires ont été alloués, ce qui porte à au moins deux milliards le total de l’engagement de dépenses actuel de l’UE en faveur de l’armement de l’Ukraine (achat et transport principalement depuis les États-Unis). Aux dépenses officielles et immédiatement disponibles de l’Union européenne pour la guerre, il faut également ajouter celle des dizaines de millions que chaque pays de l’OTAN peut et doit à son tour payer et envoyer pour obéir à l’OTAN elle-même et aux USA et poursuivre la devise de la UE :

    « La Russie doit perdre la guerre ! ».

    N’étions-nous pas un continent de paix et d’hospitalité ?

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Le flux des réfugiés ukrainiens en France commence à se tarir

    Publié par Guy Jovelin le 13 avril 2022

    Les entrants sont moins de 500 par jour désormais, tandis que 36.000 ont acquis la protection temporaire et 10.000 sont scolarisés.

    Où est en la migration des Ukrainiens en France? Un document de la Commission européenne, en date du vendredi 8 avril, fait état d’un mouvement de population de 39.283 personnes vers l’Hexagone (entre le 14 février et le 3 avril), soit une moyenne de près d’un millier de migrants par jour. Le total officiel des entrants comptabilisé par la Police aux frontières (PAF) est monté à 43.000 depuis. Mais il s’agit de chiffres planchers dans un pays où les frontières ont été abolies. La PAF ne voit pas tout.

    Le rapport du 8 avril évoque d’autres statistiques, comme celles de la société Meta (maison mère de Facebook), qui estime à 86.600 le nombre d’entrées en France de personnes déplacées de 16 ans et plus. L’écart se justifierait largement par le nombre d’Ukrainiens comptabilisés mais ayant simplement transité par l’Hexagone pour rejoindre l’Espagne ou le Portugal, par exemple.

    (…)

    Le Figaro via fdesouche

  • Bordeaux : la préfète souhaite la bienvenue aux réfugiés ukrainiens

    Publié par Guy Jovelin le 29 mars 2022