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talibans

  • Coupe du monde 2022 : les talibans auraient investi dans les chantiers du Qatar

    Publié par Guy de Laferrière le 28 novembre 2022

    Coupe du monde 2022 : les talibans auraient investi dans les chantiers du Qatar

    Certains dignitaires se faisaient l’équivalent de 11 000 euros par machine par mois, et pouvaient en posséder une dizaine.

    Derrière les stades du Qatar, l’ombre des talibans. Selon le journal britannique The Daily Telegraph, certains responsables talibans auraient gagné des millions grâce à la Coupe du monde. Profitant de confortables salaires touchés pour être présents sur le territoire qatarien et participer à des négociations de cessez-le-feu concernant la guerre en Afghanistan, ces hauts dignitaires auraient acheté des engins qu’ils auraient ensuite loués aux constructeurs des stades. « Certains membres talibans avaient chacun entre six et dix pièces de machinerie lourde à Doha et gagnaient jusqu’à 10 000 £ (l’équivalent de plus de 11 000 €, NDLR) par machine et par mois », affirme la source de nos confrères

    Parmi ces dignitaires figurerait notamment Haji Ahmad Jan, ministre du Pétrole et des Mines en Afghanistan entre 1996 et 2001. Un ancien diplomate afghan confie : « C’était un secret de Polichinelle à l’ambassade d’Afghanistan à Doha que l’équipe de négociation et le bureau politique des talibans étaient bien payés par le régime qatari et ils ont investi ces salaires dans des équipements de construction pour la Coupe du monde. » Interrogés, les Qataris ont affirmé que les paiements mensuels, qui ont permis donc l’achat de machinerie, étaient « contrôlés en coordination » avec les États-Unis, « y compris les montants totaux et comment et où ils ont été dépensés ».

    www.lepoint.fr via fdesouche

  •  Les talibans forment leur gouvernement

    Publié par Guy Jovelin le 08 septembre 2021

    Auteur : 
    Ignace - Les talibans forment leur gouvernement
    Ignace – Les talibans forment leur gouvernement

    Source : medias-presse.info
  • Afghanistan : une délégation française a rencontré des représentants talibans au Qatar selon leur porte-parole

    Publié par Guy Jovelin le 27 août 2021

    Une rencontre entre une délégation française et des représentants talibans a eu lieu ce jeudi 26 août 2021 à Doha, au Qatar, a annoncé le porte-parole Suhail Shaheen sur Twitter. C’est la première fois qu’une telle rencontre se produit, depuis la prise de pouvoir du mouvement islamiste en Afghanistan, il y a bientôt deux semaines.

    L’envoyé français François Richier et sa délégation ont « discuté en détail » de la situation de l’aéroport de Kaboul avec une délégation menée par le directeur adjoint du bureau politique des talibans, Sher Abbas Stanikzai, a précisé le porte-parole. Contacté, le Quai d’Orsay n’a pas encore réagi. « Chaque Afghan en possession de documents légaux pourra voyager à l’étranger et des installations appropriées seront fournies à tous les Afghans pour leurs déplacements après l’ouverture de la partie civile de l’aéroport », a insisté Suhail Shaheen, répétant une promesse déjà faite à plusieurs pays. « La paix est établie dans tout le pays, filles et garçons sont retournés à l’école et les médias fonctionnent », a-t-il encore déclaré.

    Les talibans se sont efforcés depuis leur retour d’afficher une image ouverte et modérée. Mais beaucoup d’Afghans, souvent urbains et éduqués, craignent que les islamistes n’instaurent le même type de régime fondamentaliste et brutal que lorsqu’ils étaient au pouvoir entre 1996 et 2001. Depuis leur prise de Kaboul, des milliers de personnes se massent quotidiennement devant les portes de l’aéroport afin de leur échapper. […]

    Le Point via fdesouche

  • Nazar Mohammad, un humoriste afghan, abattu et égorgé par les Talibans fin juillet, il faisait encore des blagues sur eux au moment de sa capture

    Publié par Guy Jovelin le 25 août 2021

    Voici le moment où un comédien afghan a continué à se moquer des talibans alors que des combattants du groupe insurgé l’ont traîné hors de chez lui avant de l’exécuter par peloton d’exécution.

     

    Dans une vidéo virale filmée fin juillet, on peut voir Nazar Mohammad, plus connu sous le nom de Khasha Zwan, à l’arrière d’une voiture avec un insurgé de chaque côté de lui – l’un d’eux brandissant une mitraillette Kalachnikov, il tente même de faire rire ses bourreaux, comme il l’a toujours fait

    Selon Human Rights Watch, Zwan a été tué par les talibans fin juillet à Kandahar, après que cette ville soit tombée aux mains des djihadistes.

    Khasha Zwan est connu pour ses vidéos postées sur Internet dans lesquelles il se moque des talibans. Dans ces vidéos postées sur Tik Tok, son réseau social de prédilection, l’humour est souvent potache, spontané. 

    Mon père essayait d’apporter un sourire sur le visage des gens“, a témoigné un de ses enfants sur l’une des chaines de télé les plus populaires du pays.

    Dans la voiture dans laquelle des talibans l’emmènent, Khasha Zwan est giflé. Un autre homme en arme le menace. Le début du calvaire de l’humoriste commence. Il est ensuite sorti de la voiture, jeté au sol. Lynché. 

    Une autre vidéo, que l’on parvient à trouver après quelques recherches sur un site indien d’informations, est encore plus cruelle. Elle montre les fanatiques jouer avec la dépouille du comédien, comme s’il s’agissait d’un jouet. 

    […]

     

    Le meurtre de Kashsa Zwan, et ceux qui ne manqueront pas de se produire à l’avenir, rappellent la sinistre réalité : les talibans sont des fanatiques capables d’une violence inouïe pour faire disparaitre ceux qui ne se soumettent pas à leurs règles de vie lugubres.

    France Inter via fdesouche

  • La réglementation des talibans pour les femmes vous fera froid dans le dos

    Publié par Guy Jovelin le 24 août 2021

    lesobservateurs

    Les médias conventionnels ont mis toute leur énergie à camoufler les brutalités des talibans et à redorer leur image afin de les rendre acceptables pour le monde moderne et peut-être de donner à ces sauvages des montagnes un siège aux Nations Unies.

    Ils nous disent que les talibans 2.0 sont une tout autre entité, sans comparaison avec ceux qui ont sévi en Afghanistan de 1996 à 2001.
    Après tout, les talibans ont promis de respecter les droits des femmes et de leur permettre de continuer à travailler comme d'habitude. Les petites filles pourront également recevoir une éducation.

    Nous restons perplexes face à l'engagement des talibans à permettre aux filles d'aller à l'école, car tout récemment, les djihadistes talibans faisaient du porte-à-porte pour traquer des filles aussi jeunes que douze ans , afin de les prendre comme esclaves sexuelles.

    Nous avons appris qu'une femme avait été fouettée pour avoir porté des pantoufles montrant ses pieds et qu'une autre femme vêtue d'unee burqa avait été abattue pour ne pas avoir suffisamment couvert son visage.
    Et ces atrocités se sont produites sous le règne des talibans 2.0 modérés, reconnaissant les droits des femmes.

    Les dirigeants talibans ont clarifié leur point de vue sur les droits des femmes dans le pays :

    « Les droits des femmes seront régis par la charia »,

    affirmé  leur porte-parole Zabihullah Mujahid, lors de leur première conférence de presse depuis la conquête de Kaboul.

    Et quels sont les droits accordés aux femmes par cette loi islamique vénérée ? Voyons donc les « droits » dont jouissaient les femmes afghanes sous les talibans 1.0 de 1996 à 2001.

    Les femmes n'étaient pas autorisées à sortir de chez elles sans une burqa couvrant chaque centimètre de leur peau, y compris leurs pieds, leurs mains et leur visage.

    La plupart des femmes de cette période optaient pour la burqa traditionnelle dite shuttlecock (volant de badmiton) qui les couvrait de la tête aux pieds ; il y avait un petit espace pour les yeux, mais avec un filet ou des mailles couvrant l'espace pour que leurs yeux ne soient pas visibles.

    Aucune femme ne pouvait sortir dans la rue sans être accompagnée d'un homme de sa famille – un parent par le sang.

    Aucun homme ne devrait pouvoir entendre les pas d'une femme, c'est pourquoi les talons hauts ou tout type de chaussures qui produisent un son en marchant étaient interdits aux femmes.

    La voix d'une femme ne doit pas atteindre les oreilles d'un homme qui ne lui est pas apparenté.

    Par conséquent, elle doit toujours surveiller son niveau sonore en parlant. Serait-ce de l'« islamophobie » de dire que les talibans ont trouvé une nouvelle méthode pour faire taire une femme ?

    Comme il était interdit aux femmes d'être vues par des hommes qui ne lui étaient pas liés par le sang, il était obligatoire que les fenêtres de tous les rez-de-chaussée soient peintes d'une teinte sombre, couvertes ou fermées en tout temps, juste au cas où une femme aurait passé et serait devenue visible pour un homme au rez-de-chaussée.

    De même, il était interdit aux femmes de se tenir sur les balcons de leurs maisons, car des hommes dans la rue ou leurs voisins masculins auraient pu les apercevoir.

    Le mot « femme » a été supprimé de tous les lieux publics ou noms de lieux publics.

    Les femmes n'avaient pas le droit de se faire photographier ou filmer. Aucune image de femme ne pouvait être imprimée dans les livres ou les journaux, ni conservée dans les magasins ou les maisons.

    Il va sans dire que les femmes n'étaient pas autorisées à apparaître dans des films ou à la télévision, ni à travailler dans des stations de radio.

    Il leur était interdit de former des groupes à l'extérieur ou de tenir des rassemblements publics.

    Les femmes n'ont jamais été autorisées à travailler dans des bureaux sous les talibans.

    Elles ne pouvaient pas travailler comme journalistes, banquières, enseignantes, infirmières, médecins ou occuper des postes administratifs, car ces emplois les auraient placées au milieu de collègues masculins qui ne leur étaient pas apparentés.

    Les emplois de bureau occupés par des femmes ont été transmis à des membres masculins de leur famille.

    Les petites filles n'avaient plus le droit d'aller à l'école.

    De nombreuses écoles de filles ont été bombardées ou incendiées par les talibans, non seulement en Afghanistan, mais dans plusieurs pays où ils avaient pris pied si peu que ce soit.

    Aucune femme sous le régime des talibans en Afghanistan n'a jamais bénéficié du droit humain fondamental de dire ce qu'elle pense ou de s'habiller comme elle l'entend.
    Les femmes qui enfreignaient l'un des commandements ci-dessus étaient soumises par la police religieuse à des châtiments durs, impitoyables, inimaginables.

    Elles pouvaient être lapidées à mort, mutilées, défigurées, ou recevoir des centaines de coups d’un fouet en métal d'un mètre de long. Beaucoup de ces femmes ont péri pendant cette punition.

    Dans l'Afghanistan de 1996, le doigt d'une jeune femme a été sectionné par les talibans : elle avait osé se peindre les ongles.

    Une femme nommée Aisha Mohammadzai a été forcée de contracter un mariage cauchemardesque pour régler un différend familial.
    Lorsqu'elle a tenté d'échapper à ce mariage violent et abusif, les talibans, pour lui faire honte de sa désobéissance et pour faire un exemple, lui ont coupé le nez et les oreilles.

    Il faut être un ignare absolu et vivre dans le déni pour croire même une seconde que les talibans laisseront les femmes afghanes tranquilles cette fois.

    Source: https://www.jihadwatch.org/2021/08/talibans-regulations-for-women-will-send-chills-down-your-spine

    Traduction Cenator