Publié par Guy Jovelin le 24 décembre 2024
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La France «gouvernée par des pervers»: Un haut-responsable russe s’en prend à Gabriel Attal
Publié par Guy de Laferrière le 22 mars 2024
Cette déclaration intervient dans un contexte où Gabriel Attal, connu pour être le premier chef du gouvernement français à déclarer ouvertement son homosexualité, a adopté une position ferme contre les politiques de Moscou.
Est-ce qu’on peut vraiment, au 21e siècle, penser que ce n’est pas décadent d’avoir des gens si spéciaux au sein d’un gouvernement? (…) Je fais référence au fait que la France est gouvernée en partie par des pervers… Pour nous, être homosexuel c’est être spécial, voire pervers
Source : lesmoutonsrebelles -
Les agriculteurs, cœur nourricier de la nation
Publié par Guy de Laferrière le 27 février 2024
Les agriculteurs, cœur nourricier de la nation, représentaient autrefois plus de la moitié de la population Française. Désormais, ils sont une petite minorité, au nombre d’à peine 496.000 en 2020. Ignorés, méprisés, trahis par les gouvernants successifs, leur rôle est pourtant toujours aussi vital dans la survie de notre civilisation. Un gigantisme agricole forcené, des traités de libre échange iniques, du lobbyisme au niveau européen et une charge fiscale toujours plus grande ont mis à genoux ceux qui mettent de la nourriture dans nos assiettes, sacrifiés sur l’autel de la compétition sans protection, et de la productivité comme seule fin.Cette ingratitude étatique a de lourdes conséquences : près d’un suicide tout les deux jours au sein de la profession, 200 exploitations qui disparaissent chaque semaine, et 20 % des agriculteurs vivant sous le seuil de pauvreté.Au Parti de la France, nous voulons sortir de cette paupérisation sans fin et créer des conditions favorables pour redynamiser un secteur moribond, en préservant nos acquis et nos standards dequalité.Nous voulons :Instaurer une préférence nationale dans le domaine agricole- Mettre fin à l’ensemble des traités de libre-échange impliquant des pays ne respectant pas les mêmes normes que la France, pour sortir de la concurrence déloyale.- Étendre la loi EGAlim, avec pour but final d’atteindre 100 % de produits français dans la restauration collective publique.- Imposer des quotas minimums de produits français dans la restauration privée.Faciliter le travail des agriculteurs- Lever l’ensemble des restrictions sur la commercialisation des semences paysannes libres.- Faciliter autant que possible la vente de denrées agricoles directement par les exploitants eux-mêmes aux consommateurs, en limitant le nombre d’intermédiaires.- Lever les interdictions sur les produits phytosanitaires non-substituables.- Supprimer les droits de succession pour les exploitations agricoles afin de favoriser la transmission au sein des familles.- Instituer un moratoire sur toute nouvelle taxe ou règlementation sur cette profession, jusqu’à ce que la situation économique du secteur soit jugée suffisamment saine.- L’instauration d’un office national à l’agriculture ayant pour objectif de suivre et d’accompagner les agriculteurs dans leurs projets, investissements et démarches administratives afin de leur permettre de se focaliser sur leur cœur de métier.- Exonération totale d’impôts pour les exploitations agricoles nouvellement créés ou reprises, sur les 2 premières années d’activité.Préserver la qualité de nos produits- Affirmer l’interdiction des OGM et semences non-reproductibles.- Faciliter les démarches de certification bio pour encourager la transition des petites exploitations.Victor Jan de Lagillardaie - Membre du Bureau politique du Parti de la France -
Retraites complémentaires Agirc-Arrco
Publié par Guy de Laferrière le 26 octobre 2023
Important recul du semble-gouvernenent, sur un sujet très important : le "pouvoir" (?) renonce à ponctionner les retraites complémentaires Agirc-Arrco. Une motion de censure de toutes les oppositions risquait de l'emporter, et de faire tomber le gouvernement...
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Harcèlement scolaire : et si le gouvernement libérait l’instruction ?
Publié par Guy de Laferrière le 28 septembre 2023
leLe ministère de l’éducation nationale n’a rien vu venir : alors que depuis quelques années le gouvernement restreint la liberté scolaire et durcissant les conditions d’ouverture d’écoles libres et en interdisant l’instruction à domicile, on apprend aujourd’hui que, dans l’enseignement public que le monde nous envie, le harcèlement touche un élève sur dix.
Le ministre de l’Education nationale, Gabriel Attal, a révélé
“Nous assistons ces derniers jours et ces dernières semaines à un tsunami de témoignages”. “Les témoignages de harcèlement, les alertes venant du terrain (…) ont été multipliés par trois ces dernières semaines par rapport à ce que nous connaissions en septembre 2022”.
Plusieurs mesures ont déjà été mises en place ces derniers mois, dont la possibilité de changer d’établissements les élèves harceleurs, évitant ainsi d’imposer ce changement à celui qui en est victime, ou de pouvoir sanctionner un auteur de cyberharcèlement contre un élève d’un autre établissement. Et si on permettait aux parents de choisir l’école de leur enfant, voire l’instruction à domicile ?
Non, le ministre annoncé la mise en place de “cours d’empathie inscrits dans le cursus” scolaire, “à l’image de ce qui existe dans d’autres pays, notamment au Danemark”, qui seront généralisés à l’école à partir de la rentrée 2024.
Ces cours d’empathie (après les cours sur la différence, l’éducation sexuelle…) sont sans doute une mauvaise idée : aux Etats-Unis, les questions de santé mentale à l’école ont été des chevaux de Troie pour les délires gauchistes (de type “wokisme”). Le harcèlement scolaire a été un angle d’attaque pour augmenter l’influence gauchiste dans les écoles sous la présidence d’Obama.
Source : lesalonbeige