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gouvernement

  • La France «gouvernée par des pervers»: Un haut-responsable russe s’en prend à Gabriel Attal

    Publié par Guy de Laferrière le 22 mars 2024

     

    Cette déclaration intervient dans un contexte où Gabriel Attal, connu pour être le premier chef du gouvernement français à déclarer ouvertement son homosexualité, a adopté une position ferme contre les politiques de Moscou.

    Est-ce qu’on peut vraiment, au 21e siècle, penser que ce n’est pas décadent d’avoir des gens si spéciaux au sein d’un gouvernement? (…) Je fais référence au fait que la France est gouvernée en partie par des pervers… Pour nous, être homosexuel c’est être spécial, voire pervers

  • Les agriculteurs, cœur nourricier de la nation

    Publié par Guy de Laferrière le 27 février 2024

    Les agriculteurs, cœur nourricier de la nation, représentaient autrefois plus de la moitié de la population Française. Désormais, ils sont une petite minorité, au nombre d’à peine 496.000 en 2020. Ignorés, méprisés, trahis par les gouvernants successifs, leur rôle est pourtant toujours aussi vital dans la survie de notre civilisation. Un gigantisme agricole forcené, des traités de libre échange iniques, du lobbyisme au niveau européen et une charge fiscale toujours plus grande ont mis à genoux ceux qui mettent de la nourriture dans nos assiettes, sacrifiés sur l’autel de la compétition sans protection, et de la productivité comme seule fin.
    Cette ingratitude étatique a de lourdes conséquences : près d’un suicide tout les deux jours au sein de la profession, 200 exploitations qui disparaissent chaque semaine, et 20 % des agriculteurs vivant sous le seuil de pauvreté.
    Au Parti de la France, nous voulons sortir de cette paupérisation sans fin et créer des conditions favorables pour redynamiser un secteur moribond, en préservant nos acquis et nos standards de
    qualité.
    Nous voulons :
    Instaurer une préférence nationale dans le domaine agricole
    - Mettre fin à l’ensemble des traités de libre-échange impliquant des pays ne respectant pas les mêmes normes que la France, pour sortir de la concurrence déloyale.
    - Étendre la loi EGAlim, avec pour but final d’atteindre 100 % de produits français dans la restauration collective publique.
    - Imposer des quotas minimums de produits français dans la restauration privée.
    Faciliter le travail des agriculteurs
    - Lever l’ensemble des restrictions sur la commercialisation des semences paysannes libres.
    - Faciliter autant que possible la vente de denrées agricoles directement par les exploitants eux-mêmes aux consommateurs, en limitant le nombre d’intermédiaires.
    - Lever les interdictions sur les produits phytosanitaires non-substituables.
    - Supprimer les droits de succession pour les exploitations agricoles afin de favoriser la transmission au sein des familles.
    - Instituer un moratoire sur toute nouvelle taxe ou règlementation sur cette profession, jusqu’à ce que la situation économique du secteur soit jugée suffisamment saine.
    - L’instauration d’un office national à l’agriculture ayant pour objectif de suivre et d’accompagner les agriculteurs dans leurs projets, investissements et démarches administratives afin de leur permettre de se focaliser sur leur cœur de métier.
    - Exonération totale d’impôts pour les exploitations agricoles nouvellement créés ou reprises, sur les 2 premières années d’activité.
    Préserver la qualité de nos produits
    - Affirmer l’interdiction des OGM et semences non-reproductibles.
    - Faciliter les démarches de certification bio pour encourager la transition des petites exploitations.
     
    Victor Jan de Lagillardaie - Membre du Bureau politique du Parti de la France
     
    Peut être une image de moissonneuse et herbe
     
     
     
     
     
     
  • Retraites complémentaires Agirc-Arrco

    Publié par Guy de Laferrière le 26 octobre 2023

    lafautearousseau

    Important recul du semble-gouvernenent, sur un sujet très important : le "pouvoir" (?) renonce à ponctionner les retraites complémentaires Agirc-Arrco. Une motion de censure de toutes les oppositions risquait de l'emporter, et de faire tomber le gouvernement...

    https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-decryptage-eco/info-franceinfo-budget-de-la-securite-sociale-pas-de-ponction-des-retraites-complementaires-agirc-arrco-ni-d-augmentation-des-franchises-medicales_6111984.html

     

  • Harcèlement scolaire : et si le gouvernement libérait l’instruction ?

    Publié par Guy de Laferrière le 28 septembre 2023

     le Harcèlement scolaire : et si le gouvernement libérait l’instruction ?

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    Le ministère de l’éducation nationale n’a rien vu venir : alors que depuis quelques années le gouvernement restreint la liberté scolaire et durcissant les conditions d’ouverture d’écoles libres et en interdisant l’instruction à domicile, on apprend aujourd’hui que, dans l’enseignement public que le monde nous envie, le harcèlement touche un élève sur dix.

    Le ministre de l’Education nationale, Gabriel Attal, a révélé

    “Nous assistons ces derniers jours et ces dernières semaines à un tsunami de témoignages”. “Les témoignages de harcèlement, les alertes venant du terrain (…) ont été multipliés par trois ces dernières semaines par rapport à ce que nous connaissions en septembre 2022”.

    Plusieurs mesures ont déjà été mises en place ces derniers mois, dont la possibilité de changer d’établissements les élèves harceleurs, évitant ainsi d’imposer ce changement à celui qui en est victime, ou de pouvoir sanctionner un auteur de cyberharcèlement contre un élève d’un autre établissement. Et si on permettait aux parents de choisir l’école de leur enfant, voire l’instruction à domicile ?

    Non, le ministre annoncé la mise en place de “cours d’empathie inscrits dans le cursus” scolaire, “à l’image de ce qui existe dans d’autres pays, notamment au Danemark”, qui seront généralisés à l’école à partir de la rentrée 2024.

    Ces cours d’empathie (après les cours sur la différence, l’éducation sexuelle…) sont sans doute une mauvaise idée : aux Etats-Unis, les questions de santé mentale à l’école ont été des chevaux de Troie pour les délires gauchistes (de type “wokisme”). Le harcèlement scolaire a été un angle d’attaque pour augmenter l’influence gauchiste dans les écoles sous la présidence d’Obama.

     

    Source : lesalonbeige

  • Retraites : le gouvernement veut piquer dans les caisses du privé

    Publié par Guy de Laferrière le 26 septembre 2023

    C’est la dernière idée de génie du gouvernement : pour honorer ses promesses sans bourse délier, il suffit de piocher dans la poche d’autrui. En l’occurrence, dans les caisses du régime de retraite complémentaire des salariés du secteur privé, l’Agirc-Arrco.

    Tu veux ou tu veux pas, mais tu raques de toute manière !

    Après la mise en place de la réforme Borne, le recul de l’âge légal de départ à la retraite (qui passera, progressivement, de 62 à 64 ans) aura pour conséquence bénéfique une rentrée supplémentaire de cotisations, tout en retardant le moment de payer leur pension aux futurs retraités. Il en résultera une meilleure santé financière du régime Agirc-Arrco, qui pourrait engranger environ 22 milliards d’euros sur quinze ans : un véritable pactole qui viendra s’ajouter aux 68 milliards d’euros de réserves actuelles. Le gouvernement, endetté jusqu’au cou et qui cherche de l’argent partout, lorgne ce bas de laine avec l’appétit d’un loup famélique devant un mouton gras. Le ministre du Travail, Olivier Dussopt, a donc annoncé aux partenaires sociaux gestionnaires des caisses que la « solidarité » leur impose de partager le magot – qualifié d’« excédents » – afin de contribuer à tenir la promesse du gouvernement de revaloriser les petites pensions, inscrite dans la réforme des retraites. Le montant de cette participation serait compris entre un milliard d’euros, pour commencer, et trois milliards, fin 2026. Comme les syndicats se font tirer l’oreille, le ministre les a aimablement avertis : soit ils s’exécutent de bon cœur en inscrivant gentiment le siphonnage dans le nouvel accord-cadre courant sur la période 2023-2026, soit le gouvernement l’inscrira autoritairement dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2024. Autrement dit, tu veux ou tu veux pas, mais tu raques de toute manière.

    La « solidarité » a bon dos

    La protestation des syndicats est largement fondée. En effet, d’une part, parce que l’énormité des réserves de l’Agirc-Arrco est illusoire au regard de l’importance des pensions servies : 87 milliards d’euros en 2022. Les 68 milliards de réserves actuelles ne couvrent donc que neuf mois de paiement. C’est une sécurité, pas un magot.

    Et, d’autre part, parce qu’en l’occurrence, la « solidarité » a bon dos. Comme l’a montré une étude réalisée par l’actuaire Jacques Algarron pour l’association Sauvegarde Retraite, les taux de remplacement (montant de la retraite par rapport au dernier salaire) ne cessent de baisser depuis 1993 dans les régimes de retraite complémentaire des salariés du privé, en particulier pour les cadres. En outre, pour maintenir le régime à l’équilibre, les partenaires sociaux ont mis en place un malus, dit « coefficient de solidarité » (la solidarité a, décidément, bon dos), qui contraint, depuis 2019, les salariés à différer leur départ à la retraite au moins un an après avoir rempli les conditions du taux plein et atteint ou dépassé l’âge légal de départ – c’est-à-dire à cesser de travailler à 63 ans au minimum. En bonne logique, l’argent tiré des cotisations versées à l’Agirc-Arrco, qui est prélevé sur le fruit du travail des salariés, doit donc profiter à ces derniers en restaurant les taux de remplacement et le rendement du régime, en supprimant le malus, dont le maintien ne s’impose plus si l’équilibre budgétaire du régime est assuré, et en permettant de constituer davantage de réserves pour faire face à l’avenir.

    En revanche, cet argent n’appartient pas à l’État, qui n’a aucune légitimité pour taper dans la caisse sous prétexte d’honorer des promesses qu’il ne sait visiblement pas comment financer autrement qu’en recourant à une escroquerie aussi manifeste.

    Éric Letty

    Journaliste
     
    Source : bvoltaire