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gouvernement - Page 2

  • Harcèlement scolaire : et si le gouvernement libérait l’instruction ?

    Publié par Guy de Laferrière le 28 septembre 2023

     le Harcèlement scolaire : et si le gouvernement libérait l’instruction ?

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    Le ministère de l’éducation nationale n’a rien vu venir : alors que depuis quelques années le gouvernement restreint la liberté scolaire et durcissant les conditions d’ouverture d’écoles libres et en interdisant l’instruction à domicile, on apprend aujourd’hui que, dans l’enseignement public que le monde nous envie, le harcèlement touche un élève sur dix.

    Le ministre de l’Education nationale, Gabriel Attal, a révélé

    “Nous assistons ces derniers jours et ces dernières semaines à un tsunami de témoignages”. “Les témoignages de harcèlement, les alertes venant du terrain (…) ont été multipliés par trois ces dernières semaines par rapport à ce que nous connaissions en septembre 2022”.

    Plusieurs mesures ont déjà été mises en place ces derniers mois, dont la possibilité de changer d’établissements les élèves harceleurs, évitant ainsi d’imposer ce changement à celui qui en est victime, ou de pouvoir sanctionner un auteur de cyberharcèlement contre un élève d’un autre établissement. Et si on permettait aux parents de choisir l’école de leur enfant, voire l’instruction à domicile ?

    Non, le ministre annoncé la mise en place de “cours d’empathie inscrits dans le cursus” scolaire, “à l’image de ce qui existe dans d’autres pays, notamment au Danemark”, qui seront généralisés à l’école à partir de la rentrée 2024.

    Ces cours d’empathie (après les cours sur la différence, l’éducation sexuelle…) sont sans doute une mauvaise idée : aux Etats-Unis, les questions de santé mentale à l’école ont été des chevaux de Troie pour les délires gauchistes (de type “wokisme”). Le harcèlement scolaire a été un angle d’attaque pour augmenter l’influence gauchiste dans les écoles sous la présidence d’Obama.

     

    Source : lesalonbeige

  • Retraites : le gouvernement veut piquer dans les caisses du privé

    Publié par Guy de Laferrière le 26 septembre 2023

    C’est la dernière idée de génie du gouvernement : pour honorer ses promesses sans bourse délier, il suffit de piocher dans la poche d’autrui. En l’occurrence, dans les caisses du régime de retraite complémentaire des salariés du secteur privé, l’Agirc-Arrco.

    Tu veux ou tu veux pas, mais tu raques de toute manière !

    Après la mise en place de la réforme Borne, le recul de l’âge légal de départ à la retraite (qui passera, progressivement, de 62 à 64 ans) aura pour conséquence bénéfique une rentrée supplémentaire de cotisations, tout en retardant le moment de payer leur pension aux futurs retraités. Il en résultera une meilleure santé financière du régime Agirc-Arrco, qui pourrait engranger environ 22 milliards d’euros sur quinze ans : un véritable pactole qui viendra s’ajouter aux 68 milliards d’euros de réserves actuelles. Le gouvernement, endetté jusqu’au cou et qui cherche de l’argent partout, lorgne ce bas de laine avec l’appétit d’un loup famélique devant un mouton gras. Le ministre du Travail, Olivier Dussopt, a donc annoncé aux partenaires sociaux gestionnaires des caisses que la « solidarité » leur impose de partager le magot – qualifié d’« excédents » – afin de contribuer à tenir la promesse du gouvernement de revaloriser les petites pensions, inscrite dans la réforme des retraites. Le montant de cette participation serait compris entre un milliard d’euros, pour commencer, et trois milliards, fin 2026. Comme les syndicats se font tirer l’oreille, le ministre les a aimablement avertis : soit ils s’exécutent de bon cœur en inscrivant gentiment le siphonnage dans le nouvel accord-cadre courant sur la période 2023-2026, soit le gouvernement l’inscrira autoritairement dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2024. Autrement dit, tu veux ou tu veux pas, mais tu raques de toute manière.

    La « solidarité » a bon dos

    La protestation des syndicats est largement fondée. En effet, d’une part, parce que l’énormité des réserves de l’Agirc-Arrco est illusoire au regard de l’importance des pensions servies : 87 milliards d’euros en 2022. Les 68 milliards de réserves actuelles ne couvrent donc que neuf mois de paiement. C’est une sécurité, pas un magot.

    Et, d’autre part, parce qu’en l’occurrence, la « solidarité » a bon dos. Comme l’a montré une étude réalisée par l’actuaire Jacques Algarron pour l’association Sauvegarde Retraite, les taux de remplacement (montant de la retraite par rapport au dernier salaire) ne cessent de baisser depuis 1993 dans les régimes de retraite complémentaire des salariés du privé, en particulier pour les cadres. En outre, pour maintenir le régime à l’équilibre, les partenaires sociaux ont mis en place un malus, dit « coefficient de solidarité » (la solidarité a, décidément, bon dos), qui contraint, depuis 2019, les salariés à différer leur départ à la retraite au moins un an après avoir rempli les conditions du taux plein et atteint ou dépassé l’âge légal de départ – c’est-à-dire à cesser de travailler à 63 ans au minimum. En bonne logique, l’argent tiré des cotisations versées à l’Agirc-Arrco, qui est prélevé sur le fruit du travail des salariés, doit donc profiter à ces derniers en restaurant les taux de remplacement et le rendement du régime, en supprimant le malus, dont le maintien ne s’impose plus si l’équilibre budgétaire du régime est assuré, et en permettant de constituer davantage de réserves pour faire face à l’avenir.

    En revanche, cet argent n’appartient pas à l’État, qui n’a aucune légitimité pour taper dans la caisse sous prétexte d’honorer des promesses qu’il ne sait visiblement pas comment financer autrement qu’en recourant à une escroquerie aussi manifeste.

    Éric Letty

    Journaliste
     
    Source : bvoltaire
  • Après les émeutes, le gouvernement répond par… un nouveau numéro vert

    Publié par Guy de Laferrière le 22 juillet 2023

    Après les émeutes, le gouvernement répond par… un nouveau numéro vert

    Les ministères de l’Economie et de la Justice ont tout prévu :

    Véhicules incendiés : le gouvernement lance un numéro vert pour les victimes des émeutes. Mais pour bénéficier de cette aide, qui est de 4.601 euros maximum, il ne faut pas dépasser un certain plafond de ressources (27.606 euros pour une personne seule).

    Ce numéro vert s’ajoute aux précédents :

    • Vous avez plus de 80 ans et souhaitez vous faire vacciner contre le Covid ? Pas de problème ! Il y a un numéro vert, le fameux : ” 0 800 730 957″
    • Un enseignant se fait décapiter par un islamiste ? Pas de problème ! Il y a un numéro vert, très connu : “0 805 500 005”
    • Il y a la canicule ? Pas de problème ! Il y a un numéro vert, qui rafraîchit et désaltère : ” 0 800 066 666″

    Source : lesalonbeige

  • L'objectif du Parti de la France : foutons dehors les représentants de l'anti-France !

    Publié par Guy de Laferrière le 21 juillet 2023

     

    En matière de non-événement politique, le mini-remaniement du gouvernement se pose là.
    Déjà, il y a de fortes chances pour qu'Elisabeth Borne soit restée en place faute de candidat qui aurait accepté de former un nouveau gouvernement. Quant aux nouveaux ministres, il s'agit de membres éminents de la Macronie, récompensés pour services rendus, remplaçant quelques tocards complétement grillés auprès de l'opinion (Schiappa, NDiaye, etc).
    En fait, pas grand monde ne veut plomber son avenir politique en intégrant un gouvernement au service d'un Président très impopulaire qui ne pourra se représenter en 2027. Ainsi va la vie démocratique et républicaine.
    Les nouveaux ministres ne seront, comme leurs prédécesseurs, que les dociles exécutants des directives élyséennes toujours plus nocives pour la France et les Français.
    C'est tout ce Système vermoulu qu'il faut balayer. C'est l'objectif du Parti de la France : foutons dehors les représentants de l'anti-France !
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
     
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  • Les syndicats de police montent au créneau et menacent le gouvernement Macron de passer en résistance

    Publié par Guy de Laferrière le 02 juillet 2023

    Riot police react to a petrol bomb burst, where an officer's gear caught fire, during May Day protests in Paris, France May 1, 2023 in this still image from social media video. QG media/Luc Auffret via REUTERS ATTENTION EDITORS - THIS IMAGE HAS BEEN SUPPLIED BY A THIRD PARTY. MANDATORY CREDIT

    Dans un communiqué conjoint, les deux organisations syndicales Alliance Police Nationale et l’UNSA Police dénoncent les « hordes sauvages » qui sèment le chaos et le « dictat de ces minorités violentes » qui mettent en péril la République. Elles réclament que l’ordre soit rétabli et que les interpellés soient mis hors d’état de nuire. Elles affirment également leur solidarité avec leurs collègues qui sont « au combat » contre ces « nuisibles ».

    Mais les syndicats de police ne se contentent pas de demander le calme, ils annoncent aussi qu’ils seront dans l’action une fois la situation apaisée. Ils exigent du gouvernement des mesures concrètes pour protéger juridiquement les policiers, renforcer la réponse pénale, et leur fournir des moyens conséquents. Sinon, ils menacent de passer “en résistance” et de faire valoir leur considération.

    Alliance et UNSA se disent conscients que les émeutes sont un phénomène récurrent qui reviendra si rien n’est fait. Ils appellent donc à une prise de conscience du gouvernement et à une mobilisation générale pour défendre l’Etat de droit.

     

    Le leader de la France insoumise n’a pas mâché ses mots pour critiquer les syndicats de police qui ont publié un communiqué virulent face aux émeutes. Il les accuse de vouloir provoquer une guerre civile et de tenir des propos meurtriers. Il appelle le gouvernement à reprendre le contrôle de la police et à apaiser la situation. Il met entre guillemets le mot “syndicats” pour remettre en cause leur légitimité.

     

    Le Média en 4-4-2.