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gouvernement - Page 3

  • Retraites : le gouvernement veut repousser l’âge légal de départ à 64 ans en 2030

    Publié par Guy de Laferrière le 11 janvier 2023

    Le gouvernement a présenté sa réforme de retraites. Il faudra avoir cotisé 43 ans dès 2027 au lieu de 2035 pour une retraite à taux plein. L’âge de départ légal sera de 64 ans à partir de 2030.

    Le Premier ministre Elisabeth Borne a présenté le 10 janvier lors d’un point presse la controversée réforme des retraites.

    L’âge légal de départ à la retraite atteindra ainsi 64 ans en 2030, contre 62 ans aujourd’hui. L’âge légal sera progressivement relevé au rythme de trois mois par an à partir du 1er septembre prochain. Il sera donc fixé à 63 ans et 3 mois en 2027 à la fin du quinquennat. La réforme des retraites prévoit donc d’accélérer l’allongement de durée de cotisations, avançant à 2027 l’exigence de 43 années de cotisations pour une pension à taux plein au lieu de 2035.

    Dès 2030, l’âge de départ légal atteindra la cible de 64 ans en 2030.

    «Nous voulons préserver notre système de retraites par répartition», a avancé Elisabeth Borne.

    Egalement, la réforme actera la fin des principaux régimes spéciaux. «Les nouveaux embauchés à la RATP, dans la branche industries électriques et gazières et à la Banque de France» seront notamment affiliés au régime général pour la retraite, a précisé le chef du gouvernement.

    «Nous voulons répondre aux craintes et convaincre» a assuré Elisabeth Borne.

    «Nous rendrons le dispositif « carrières longues » plus juste, notamment pour les femmes», a-t-elle expliqué, soulignant qu’«avant ce projet, les périodes de congé parental n’étaient pas prises en compte dans la durée pour en bénéficier. Cela sera désormais le cas». «Le dispositif de carrières longues sera adapté pour qu’aucune personne ayant commencé à travailler tôt ne soit obligée de travailler plus de 44 ans», a détaillé Elisabeth Borne.

    Les retraités actuels verront leur pension minimum revalorisée

    «Laisser s’accumuler [les] déficits serait irresponsable», a-t-elle estimé, assurant proposer un «projet de justice et un projet porteur de progrès social». Elle a aussi affirmé que ce projet était à ses yeux «meilleur qu’il était il y a six mois» avant la concertation avec les partenaires sociaux et les forces politiques.

    Appuyant une idée de la droite Les Républicains, Elisabeth Borne a confirmé que la pension minimum sera revalorisée pour tous les retraités, futurs et actuels.

    Elisabeth Borne s’est néanmoins dite prête à «faire encore évoluer» la réforme, «grâce à un débat parlementaire loyal et constructif». Cette présentation ne serait donc pas «un point final» selon elle.

     

    SOURCE RT

  • Le gouvernement compte plus que jamais sur les étrangers pour répondre aux problèmes de pénuries de médecins

    Publié par Guy de Laferrière le 22 décembre 2022

    La création de cette carte de séjour « talent-professions médicales et de la pharmacie » est prévue dans le projet de loi immigration. Le gouvernement veut faciliter les démarches des étrangers désireux de travailler à l’hôpital à l’heure où les établissements peinent à recruter.

    L’exécutif compte plus que jamais sur les étrangers pour répondre aux problèmes de pénuries de médecins. Le projet de loi « pour contrôler l’immigration et améliorer l’intégration », en cours de préparation, prévoit la création d’une carte de séjour pluriannuelle « talent-professions médicales et de la pharmacie » censée faciliter l’exercice des médecins, sages-femmes, chirurgiens-dentistes ou encore pharmaciens étrangers en France.

    « Vous avez des médecins […] qui viennent de pays pour lesquels il n’y a pas forcément d’accord de reconnaissance des diplômes et qui sont là à vous dire : ‘Mais nous on voudrait bien aller travailler à l’hôpital.’ A chaque fois, on est obligés de faire des procédures et de demander une dérogation au préfet », ou encore de solliciter des ordres médicaux, a justifié le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran (lui-même médecin hospitalier d’origine), sur France Inter ce mercredi.

    Une forme d’automaticité

    « On va avoir une forme d’automaticité, de reconnaissance plus rapide qui va nous permettre de bénéficier des compétences de ces soignants étrangers sans délai et pour ces soignants étrangers, de pouvoir subvenir à leurs besoins sans délai », a poursuivi l’ex-ministre de la Santé, évoquant notamment le cas des médecins et dentistes libanais.

    (…) Les Echos via fdesouche

  • Surpopulation carcérale : la contrôleure des prisons exhorte le gouvernement à « affronter la réalité »

    Publié par Guy de Laferrière le 12 novembre 2022

    Cellules qui débordent, cafards qui pullulent… Alors que la France est en passe d’établir un nouveau record du nombre de détenus, la contrôleure des prisons, Dominique Simonnot, exhorte le gouvernement à “affronter la réalité” carcérale et “agir” contre la surpopulation, dans un entretien accordé à l’AFP. “J’ai vu des gens à trois par cellule avec 0,8 m2 d’espace vital par être humain“, raconte Dominique Simonnot, qui demande au gouvernement d'”agir” contre la surpopulation.

    Nommée contrôleure générale des lieux de privation de liberté (CGLPL) il y a deux ans, l’ancienne journaliste du Canard enchaîné a, au gré de visites de contrôle, pu constater le “cauchemar” de la situation actuelle.

    À son arrivée à la tête de l’autorité indépendante, vigie des droits fondamentaux, les prisons étaient occupées à 100,7%, avec quelque 61.100 détenus pour 60.650 places. Elles comptent désormais, selon les derniers chiffres officiels, 72.350 détenus, 2053 matelas posés à même le sol, et le taux d’occupation atteint 119,2% en moyenne.

    À la maison d’arrêt de Bordeaux-Gradignan, occupée à plus de 200%, “j’ai vu des gens à trois par cellule avec 0,8 m2 d’espace vital par être humain“, décrit Dominique Simonnot à l’AFP. La nuit, le troisième détenu dort par terre et se sert d’une porte pour y poser son matelas afin de ne “pas respirer des petits cafards au milieu de la poussière“, explique-t-elle.

    Gradignan, c’est quand même une prison où les surveillants nous ont dit ‘moi (si j’étais) détenu, je ne rentrerais pas dans les cellules’, nous ont parlé de leur détresse. Et où les détenus répondent ‘il faut les comprendre, ils sont à bout, on est trop’“, souligne encore la contrôleure générale.

    Après cette visite, le CGLPL a adressé en juillet des recommandations en urgence dénonçant des conditions “inhumaines” de détention, mais son avis n’est pas contraignant.  […]

    msn via fdesouche

  • Parcs éoliens : le gouvernement demande aux préfets d’aller plus vite

    Publié par Guy Jovelin le 20 septembre 2022

    Parcs éoliens : le gouvernement demande aux préfets d’aller plus vite

    Le gouvernement a demandé aux préfets de « mettre en place toutes les actions requises » pour accélérer les projets d’énergies renouvelables en cours, y compris de parcs éoliens, sources de controverses régulières dans l’opinion, selon une circulaire datée de vendredi et obtenue par le site Contexte.

    Face à la crise énergétique, quatre ministres dont ceux de l’Intérieur, de la Transition écologique et de la Transition énergétique demandent aux services déconcentrés de l’État de « mettre en place toutes les actions requises afin de faciliter et d’accélérer le traitement des dossiers […] en cours et à venir ».

    Pour le gouvernement, il s’agit de « faire en sorte qu’aucune instruction n’excède 24 mois, sauf situation très exceptionnelle », selon cette circulaire.

    Les services déconcentrés de l’État sont également invités à observer « un objectif de 18 mois entre la date de dépôt d’un projet de renouvellement ou d’augmentation de puissance de parcs éoliens existants, et sa mise en œuvre ».

    Au total, ces dossiers en cours d’instruction représentent « près de 10 GW de projets photovoltaïque et éolien et environ 5 TWh de capacités de gaz renouvelables ».

    Un projet de loi à l’automne

    Alors que le développement de projets éoliens suscite de plus en plus d’opposition, freinant leur déploiement, le gouvernement veut faire adopter un projet de loi à l’automne pour accélérer les procédures et rattraper le grand retard de la France dans l’éolien et le solaire.

    (…)

    www.ouest-france.fr via fdesouche

  • L’extrême droite suédoise aux portes du pouvoir : Les Démocrates de Suède pourrait devenir ce soir le premier parti de la droite, et participer au futur gouvernement

    Publié par Guy Jovelin le 11 septembre 2022

    Le JDD – 11 septembre 2022
    Source : fdesouche