Publié par Guy Jovelin le 27 août 2020
Bill Gates a admis sur une vidéo de sa chaîne YouTube que le vaccin expérimental auquel il travaille opérera par le biais d’une modification de notre ADN.
“L’invention la plus urgente au monde est aujourd’hui celle d’un vaccin pour empêcher les gens d’attraper le Covid-19,” déclare-t-il en introduction de sa vidéo.
Après un bref exposé du mode d’action des vaccins traditionnels, vient l’évocation du nouveau vaccin qu’il projette d’étendre à l’ensemble de l’humanité :
“Un moyen novateur et prometteur est appelé le vaccin à ARN. Avec l’ARN et l’ADN, au lieu d’introduire cette forme-là [à cet instant précis, Gates montre sur la vidéo une spirale d’ADN], vous introduisez dans le code génétique les instructions qui permettront de la reproduire.” (1min:37 – 1min:50 sec)
A la minute 2:00, Bill Gates conclut par un appel accompagné de force gesticulations de ses mains crochues, par lesquelles il espère sans doute galvaniser les bons petits soldats que nous sommes et les faire avancer vers le “meilleur des mondes” :
“ Il y a donc urgence et cela va demander un degré incroyable de collaboration. Car il faudra atteindre 7 milliards de personnes”.
Nous voilà prévenus : seuls 500.000 heureux élus échapperont à ce sort implacable.
Pour mieux comprendre ce qui va changer, il est utile de savoir comment fonctionne un vaccin traditionnel :
Lorsqu’un microbe (virus, bactérie, parasite…) pénètre dans l’organisme, le système immunitaire détecte la présence de composants qui lui sont étrangers : les antigènes. Notre système de défense reconnaît les antigènes comme intrus et cherche donc à les éliminer, en fabriquant des anticorps.
Le vaccin se comporte lui aussi comme un antigène et entraîne par conséquent la production d’anticorps qui vont persister pendant un certain temps dans notre corps et l’immuniser. Si le vrai microbe se présente alors, il sera détruit par ces anticorps produits au moment de la vaccination et la maladie sera évitée, comme avec l’immunité naturelle acquise suite à l’infection.
Il existe différentes variantes de la même approche. C’est ainsi que certains types de vaccins classiques utilisent un virus « tué » : ce sont les vaccins « inactivés ». Il y a également des vaccins à base de protéines qui déclenchent une réponse immunitaire, mais sans virus. D’autres vaccins, dits « à vecteur viral », utilisent comme support un autre virus, que l’on transforme au préalable et que l’on adapte pour combattre, par exemple, le Covid-19.
En revanche, le modus operandi diffère dans le cas des vaccins expérimentaux dits « à ADN » ou « à ARN » qui sont des produits utilisant, non des virus rendus inoffensifs, mais des morceaux de leur matériel génétique modifié. C’est le cas du vaccin de Moderna, l’un des labos financés par Bill Gates.
Selon Wikipedia, la vaccination par ADN est une technique récente de protection contre les maladies, par injection d’ADN génétiquement modifié. Ces vaccins présenteraient des avantages potentiels par rapport aux vaccins classiques, comme la capacité à induire une plus large gamme de réponses immunitaires.
Bill Gates, on le sait, est un adepte des OMG et sa fondation s’occupe entre autres de la promotion de cultures génétiquement modifiées, notamment en Afrique. Dans une scène kafkaesque, on le voit présider avec sa femme Melinda une conférence sur les cultures OMG et lui prendre soudainement la parole pour évoquer les OGM présents dans les vaccins pour enfants avec une expression de cruauté cynique qui fait froid dans le dos :
“Faut-il redouter les médicaments… les effets secondaires que certains d’entre eux pourraient avoir ? Avons-nous besoin de tests de sécurité ? Mais enfin, nous prenons bien des organismes génétiquement modifiés que nous injectons dans les bras des petits enfants, non ? Est-ce que nous ne les piquons pas en plein dans la veine pour les injecter ?”
Il faut également savoir que Bill Gates, en partenariat avec le MIT et avec le soutien des Nations Unies et de la Fondation Rockefeller, a conçu un système d’identification mondial destiné à s’appliquer à tous, hommes, femmes et enfants: c’est l’ID 2020, qui est à proprement parler un marquage numérique qui servira de “passeport d’immunité”.
Ce “système de vaccination par micro-aiguilles à points quantiques implantables chez l’homme” sera un tatouage sur la main, qui comprendra la marque d’identification et le carnet de vaccination.
Ce vaccin a besoin d’un enzyme appelé luciférase pour fonctionner. L’agent transhumaniste sur la main de chaque personne brillera de la bio-luminescence du Porteur de lumière. C’est ce qui rendra la vaccination lisible longtemps après que la victime ait été injectée.
Cette puce ne pourra pas être retirée à l’aide d’un couteau en raison de sa forme liquide ou gélifiée et son implantation sera donc irréversible.
Voici à quoi ressemblera ce marquage luminescent :
Et si ce marquage numérique n’était pas suffisamment sinistre, il faut savoir qu’une partie du dispositif injectable, implantable elle aussi, sera réservée à l’achat et la vente de monnaie cryptographique. Cette technologie existe déjà et elle a été brevetée en mars dernier sous le numéro #060606, peu après l’annonce de la pandémie. Preuve que le projet avait été mûri de longue date et que le Covid-19 , loin d’en être la cause, en était plutôt la justification, voire l’alibi. En anglais, on dirait que “ce n’est pas le chien qui remue la queue, mais la queue qui remue le chien”…
Ce numéro de brevet, 666 si l’on omet les zéros, et le nom de lucifer-ase donné à l’enzyme catalyseur, sont conformes à l’idéologie luciférienne des élites mondialistes, qui voient dans l’Ange rebelle le véritable principe créateur de l’univers, et dans la transgression son mode de fonctionnement.
Le Franc-maçon du 33ème degré et occultiste Manly P. Hall du 19ème siècle n’a-t-il pas écrit que “les énergies bouillonnantes de Lucifer sont entre ses mains”, en référence à l’“initié”?
Source : medias-presse.info