Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Saint-Gervais-sur-Mare (34) : victime d’un vol, un paysan poursuit les bandits et percute leur voiture. Ils portent plainte, il est condamné pour violence avec arme.

    Publié par Guy de Laferrière le 08 novembre 2024


    Un agriculteur de Saint-Gervais-sur-Mare a été condamné ce mardi matin à 1 000 € d’amende avec sursis lors pour des faits de violence avec arme. Au mois de mai dernier, las d’avoir été une nouvelle fois victime d’un vol sur son exploitation, il avait poursuivi ses voleurs avec sa voiture. À l’arrivée d’un virage, il avait percuté ceux qui venaient de le voler et ceux-ci avaient terminé leur route dans le fossé. Les voleurs avaient alors déposé plainte contre l’agriculteur, qui, malgré l’ensemble des preuves amenées contre les voleurs, a été poursuivi devant la justice et donc condamné.

    midilibre.fr via fdesouche

  • Retailleau et le CRIF pètent un plomb à cause d’un message pour… la paix !

    Publié par Guy de Laferrière le 08 novembre 2024

     

    Hier soir pour le match de champions league contre l’Atlético Madrid, les supporters parisiens (ou ce qu’il en reste depuis la scandaleuse interdiction du Kop Of Boulogne) ont déployé un tifo avec deux messages : “Free Palestine” et “La guerre sur le terrain mais la paix dans le monde”. Ces messages de bon sens, la liberté et la paix étant les objectifs naturels de tout homme civilisé, ont malgré leur relative platitude déclenché l’ire du président du CRIF et du ministère de l’Intérieur, deux entités dont il est assez difficile de savoir qui est qui.

    Le président du CRIF a vu dans ce message un “appel à la haine” et souhaite que les supporters soient “sanctionnés”, quant au ministre de l’Intérieur il a carrément demandé au PSG d’interdire les tifos qui “abîment le sport” avec la “politique”.

    Bien évidemment, l’UEFA a contredit notre ministre qui prétendait que “Free Palestine” contrevenait à ses règles.

    Mais au-delà de cette anecdote, il est amusant de constater que Bruno Retailleau refuse que la politique entre dans les stades quand il s’agit de défendre un peuple qu’Israël déteste, alors qu’il ne trouve rien à redire lorsque l’antiracisme et le lobbyisme LGBT s’incrustent à chaque match, sans parler de la ridicule pantomime de ces équipes dont les joueurs mettent un genou à terre avant chaque coup d’envoi.

    Liberté pour les supporters, liberté pour les ultras, liberté pour les Palestiniens, et à bas l’antiracisme à sens unique !