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L’entrisme islamique

Publié par Guy Jovelin le 21 mai 2025

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Il fallait des décennies de silence, de lâcheté, de collaboration intellectuelle pour qu’enfin, nos dirigeants découvrent — avec des trémolos dans la voix et un ton faussement grave — que l’entrisme islamique gangrène les institutions, les écoles, les hôpitaux, les associations, les partis politiques eux-mêmes. Quelle révélation ! Quelle audace ! Ils tombent des nues comme des enfants stupéfaits de trouver de l’eau… dans la mer.
Ce que certains appelaient « théorie du complot » hier devient brusquement une « urgence républicaine ». Les lanceurs d’alerte, eux, n’ont pas changé de discours : ils sont simplement passés du statut de Cassandre à celui de visionnaires. Mais à quel prix ? Méprisés, diffamés, traînés dans la boue comme des « fachos », des « identitaires », des « racistes ». Pourtant, ils disaient la vérité. Une vérité simple : sans immigration massive, il n’y a pas d’islamisation de la France. C’est une évidence que seuls les aveugles volontaires, les juges rouges et les éditorialistes subventionnés refusaient de voir.
Car oui, l’islamisme ne pousse pas dans les champs de blé. Il arrive par bateaux, par avions, par regroupement familial, par l’asile détourné. Il infiltre parce qu’on a ouvert. Il conquiert parce qu’on a capitulé. La submersion démographique précède toujours la subversion idéologique. Ce ne sont pas les mosquées qui précèdent les prières, ce sont les fidèles.
Et maintenant que les Frères musulmans ont placé leurs pions partout, nos élites se découvrent une passion soudaine pour la laïcité. Fort bien. Mais alors allons jusqu’au bout. Si l’on dénonce l’entrisme islamique, qu’on ait le courage aussi de regarder du côté des autres réseaux d’influence. Ceux qui, sous couvert de philosophie, de morale républicaine, de « valeurs humanistes » ou de victimisation éternelle, tiennent les rênes du pouvoir profond. La République est peut-être en danger, à laquelle nous préférons d'ailleurs la Nation, mais elle ne l’est pas que d’une seule manière.
 
Thomas Joly - Président du Parti de la France

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