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  • Toulouse : une mère et son fils dealer jettent 14.000 euros et 3 kilos de cannabis par la fenêtre lors d’une perquisition ; une seule peine (du sursis pour le fils) et l’argent est… restitué en raison d’un vice de procédure

    Publié par Guy de Laferrière le 20 janvier 2024

    (…) Il est 16 heures lorsque les forces de l’ordre toquent à la porte d’un appartement duquel émane un fumet caractéristique. « Ça sentait l’herbe à plein nez », souffle une source policière à Actu Toulouse. Une femme de 44 ans finit par ouvrir la porte.

    Elle fait part de son incompréhension. Son fils se trouve dans sa chambre. Peut-être est-il au courant ? Quand soudain une voix crépite dans le talkie-walkie : des paquets remplis d’herbe de cannabis sont en train d’être jeté depuis le fameux appartement.

    Les policiers en récupèrent 3 kg au total. Mais alors que les forces de l’ordre s’occupaient du fils de 25 ans, la mère disparaissait dans une autre pièce. Et les policiers au pied de l’immeuble voyaient cette fois… de l’argent tomber du ciel !

    « Il y avait 14 000 euros conditionnés en deux gros paquets », détaille notre source. « Tous deux connus des services », mère et fils ont échoué en garde à vue. Seul le jeune homme a finalement été déféré au parquet de Toulouse, mercredi 17 janvier 2024, en vue d’une comparution immédiate.      

    Actu Toulouse

    (…) Il a été condamné à 12 mois de prison avec sursis.

    En raison d’un vice de procédure relevé par l’avocate du jeune homme l’argent a été restitué à ce dernier. En effet, et malgré de récents et multiples allers-retours en Espagne prouvés par la téléphonie, le transport du cannabis et les probables importations n’ont pas pu être retenus. Il s’agit d’une erreur des policiers qui n’ont pas respecté le délai légal de trente minutes entre la perquisition et la notification des droits à l’individu placé en garde à vue.

    France Bleu

  • Stanislas, un lycée « trop » catho aux excellents résultats : la gauche s’affole !

    Publié par Guy de Laferrière le 20 janvier 2024

    Qui aurait pu imaginer que l’arrivée d’Amélie Oudéa-Castéra à la tête de l’Éducation nationale aurait eu de telles conséquences ? Pour rappel, le 12 janvier, quelques heures seulement après son arrivée rue de Grenelle, Mediapart révèle que la ministre a choisi de scolariser ses trois fils à Stanislas, une école privée parisienne, jugée « ultra réac » par le site d’extrême gauche. Quatre jours plus tard, la rédaction d’Edwy Plenel profite de la polémique pour publier un énième article à charge contre l’établissement catholique. Homophobie, sexisme, autoritarisme… Le « meilleur lycée de France » devient la cible de la gauche.

    Des articles au vitriol

    « L’univers sexiste, homophobe et autoritaire de Stanislas ». En juin 2022, quelques jours après un article à charge de L’Express contre le Collège Stanislas, Mediapart tente à son tour de « flinguer » l’école, sans grand succès. Mais après de nombreuses relances, Pap Ndiaye, alors ministre de l’Éducation nationale, finit par se soumettre aux injonctions des journalistes et diligente une enquête. Après près de six mois d’auditions et de recherches, l’Inspection générale rend son rapport au mois de juillet dernier. Mais celui-ci ne sera jamais rendu public par Gabriel Attal, tout juste nommé rue de Grenelle, au grand dam de Mediapart. Finalement, après avoir obtenu le précieux rapport, la rédaction d’Edwy Plenel profite de la polémique - qu’ils ont eux-mêmes lancée - sur la scolarisation des enfants de la nouvelle ministre, pour publier un nouvel article au vitriol contre « Stan ». « Graves dérives lors des heures de catéchèse », « une pédagogie violente et humiliante », « sexisme et homophobie assumés »… Dans la foulée, la presse de gauche, unanime, surenchérit. « Une école qui flirte avec l’intégrisme catholique » peut-on lire sur le site de France Info, « La culture homophobe [y] sévit de longue date » titre Libération, « Brutalité et sexisme » dénonce Le Monde… Rapidement les politiques s’en mêlent. La Mairie de Paris décide de suspendre « provisoirement » les financements obligatoires - 1,3 millions d’euros par an - attribués à l’établissement en attendant « des clarifications ».

    Interrogée à ce sujet, la ministre de l’Éducation promet qu’un « plan d’action » sera mis en place et suivi avec « vigueur ». La gauche s’étouffe et lui reproche de ne pas avoir lu le rapport de l’Inspection générale dans son intégralité.

    Un lycée « trop » catho

    Mais l’ont-ils lu en entier ? Et ont-ils prêté attention aux réponses apportées par la direction de l’établissement et par la direction diocésaine ? Cela semble peu probable. Car dans ce rapport, si les inspecteurs font en effet état de situations isolées problématiques - notamment le cas d’un intervenant qui aurait tenu des propos à caractère homophobe lors d’un cours de catéchèse -, la direction diocésaine rappelle que ces cas « avaient été identifiés et avaient été traités avant la mission d’enquête ». L’intervenant en question avait ainsi été immédiatement sanctionné. Toujours sur ce sujet, la presse n’a de cesse de dénoncer une « culture homophobe ». Pourtant, les inspecteurs écrivent noir sur blanc dans leur rapport que « lors des auditions, la mission n’a eu aucun témoignage sur des propos homophobes ». On se demande bien pourquoi Mediapart n’a pas jugé bon de relever ce paragraphe…

    Mediapart et ses confrères accusent également l’établissement d’autoritarisme. Mais le mot approprié serait davantage « excellence » pour caractériser une école classée meilleure lycée de France (en alternance avec Louis Le Grand certaines années), qui réalise 100% de mentions aux examens et permet à ses élèves d’intégrer les meilleures écoles (Polytechnique, HEC, Centrale…). Une école que de nombreux parents s’arrachent - la mission rappelle ainsi que pour 210 places disponibles en classe de 6e, l’école reçoit entre 350 et 450 dossiers -, n’en déplaise à la presse de gauche.

    En réalité, Mediapart reproche surtout à Stanislas de transmettre une éducation catholique à ses élèves. Sur le sujet des heures de catéchisme obligatoire, légalement interdites par le contrat d’association de l’établissement avec l’État, l’école précise : « Il y a une petite équivoque entre le catéchisme et l’instruction religieuse. De fait l’instruction religieuse de Stanislas est obligatoire. Mais, si on prépare un sacrement, il y a des cours en plus, qui sont, bien sûr, facultatifs. Il y a un respect de la liberté de conscience totale de ce point de vue-là. » Et en ce qui concerne l'identité catholique de l'école, « les familles qui rejoignent un établissement scolaire catholique le font en connaissance de cause, qu’elles partagent la foi catholique ou qu’elles souhaitent bénéficier de ses fruits en matière éducative » rappelle la direction diocésaine, insistant sur la liberté des parents. Mais pour Mediapart, être « catho » est sans doute déjà un délit..

    En somme, Mediapart n’a pas lu le rapport de l’Inspection générale en entier. Sinon, le site aurait indiqué que « sur le panel entendu, les élèves dans leur grande majorité disent aimer leur établissement, s’y sentir bien, se sentir accompagnés et s’être fait à l’idée de fréquenter un établissement prestigieux, malgré ses contraintes ». Une conclusion qui fait écho aux témoignages que BV a pu recueillir parmi les anciens élèves et le corps encadrant de l’établissement. « Durant toutes mes années dans cette école, je n’ai jamais eu à vivre ou entendre ces manquements dont la presse parle. Le corps éducatif est exceptionnel et dévoué et la majorité n’a à cœur que notre réussite personnelle et académique » confie l’un d’eux. Et un autre ajoute : « Je n’ai que de la gratitude pour Stan. C’est grâce à cette école que je suis là où j’en suis aujourd’hui. J’y ai tant appris ». Le Collège Stanislas, qui se réserve le droit d’agir en justice, précise en outre que « les inspecteurs ne confirment pas les faits d’homophobie, de sexisme et d’autoritarisme. […] Le rapport ne caractérisant pas de faute susceptible de poursuites disciplinaires, il n’avait pas à être communiqué ».

    Clémence de Longraye

    Source : http://bvoltaire.fr

  • Un combattant de MMA détruit un journaliste gauchiste canadien

    Publié par Guy de Laferrière le 19 janvier 2024

    Le champion de combat libre Sean Strickland, vedette américaine du célèbre championnat UFC, envoie au tapis un journaliste gauchiste canadien qui l’interroge sur les homosexualistes.
    En France, pays de tarés, il serait en garde-à-vue et honni médiatiquement.

  • Mâcon : des migrants de Paris sont transférés en région en vue des Jeux Olympiques

    Publié par Guy de Laferrière le 18 janvier 2024

    Depuis plusieurs mois, des sans-abri d’Île-de-France, le plus souvent des migrants, sont transférés en région pour désengorger la capitale en vue des Jeux olympiques de Paris. À Mâcon, l’accueil des Charmilles a reçu une quarantaine de ces personnes depuis mai dernier.

    […]

    Le Journal de Saône-et-Loire via fdesouche