Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 5

  • Mardi 23 janvier 2024, mort dramatique d’une cultivatrice dans l’Ariège. Le même jour, Macron présente ses vœux olympiques à l’INSEP.

    Publié par Guy de Laferrière le 24 janvier 2024

    La France pleure Alexandra Sonac et sa fillette de 12 ans

    Une agricultrice de 37 ans, Alexandra Sonac, et sa fille Camille, âgée de 12 ans, ont été fauchées par une voiture qui a forcé un barrage. Elles sont mortes toutes les deux, à quelque heures d’intervalle. Au volant, trois individus qui ont essayé de s’enfuir en courant avant d’être arrêtés. Trois Arméniens déboutés du droit d’asile en 2022 et frappés d’OQTF en 2023.

    Un de nos fidèles lecteurs, très ému par ces morts tragiques, nous a envoyé un poème en hommage à ces victimes qui n’intéressent ni les petits hommes gris de “l”Etat profond”, ni leur chef.

    Pour Alexandra

    Dans un pays bien gouverné,
    Jamais, loin de l’étable,
    On t’aurait vue, aventurée
    Dès l’aube indécelable.

    Dans un pays mieux présidé,
    Ceux qui t’ont tuée ce matin
    N’auraient jamais dû se trouver
    Ni croiser ton chemin.

    Mais ce ministre clame : « Émotion, émotion !
    De la nation, du président… »
    Tiens, que fait-il, pendant ce temps,
    L’autre donneur de leçons ?

    Alexandra, il s’en fout bien !
    Tout à son joujou olympique,
    Pendant que le pays veut du pain
    Il ne promet, lui, que du cirque.

    Roland Thévenet

    Notre consœur de Boulevard Voltaire, Gabrielle Cluzel, résume bien la situation par ces quelques mots :

    “La paysannerie est un peu comme Notre-Dame de Paris : la France s’en est éloignée, elle ne va pas plus dans les champs qu’elle ne met les pieds dans les églises, mais elles sait que là sont ses fondations. Elle ne veut pas les voir disparaître.

    Les paysans ont tout pour être détestés, pourtant, par notre monde. Leurs « mots clés » sont enracinement, transmission familiale, ancrage dans la réalité, virilité – quand une vache vêle la nuit, c’est souvent le père et le fils qui y vont -, devoir de l’effort plutôt que droit à la paresse.

    Mais les Français savent ce qu’ils leur doivent. Les paysans ont aussi labouré les champs de bataille. La moitié des poilus étaient ruraux, la moitié de ceux qui sont morts en 1918, des paysans. Ils n’ont pas seulement irrigué notre terre de leur sueur mais aussi de leur sang.

    Depuis des années, les suicides se multiplient. Les urbains que nous sommes regardent dans les salles obscures avec la larme à l’œil les films Au nom de la terre ou Petit paysan, les recommandent à leurs voisins parce qu’ils les trouvent très bien joués, puis n’y pensent plus en rentrant.”

    Nous invitons tous nos lecteurs à prier pour le repos de l’âme d’Alexandra et de sa petite fille de 12 ans.

    Fabien Laurent

     

    Source : medias-presse.info

  • La colère des agriculteurs français

    Publié par Guy de Laferrière le 23 janvier 2024

    Thomas Joly 

    C’est non sans une certaine satisfaction que nous voyons la colère des agriculteurs français s’intensifier ces derniers jours. Ces valeureux travailleurs manifestent partout en France afin de montrer leur mécontentement envers la bureaucratie française qui leur fait perdre un temps monstrueux en tâches administratives inutiles. Ils manifestent également contre la hausse des impôts et des taxes, comme par exemple la redevance sur l’eau, sur les produits phytosanitaires et les taxes sur le carburant agricole.
    Les accords de libre-échanges entre l’Union Européenne et le reste du monde, créant une concurrence déloyale, sont également au centre de leurs revendications légitimes.
    Nous avons également appris que ce matin, trois « individus de nationalité arménienne » ont forcé un barrage routier en percutant un mur de paille placé sur la chaussée. Ces étrangers ont malheureusement fauché une famille d’agriculteurs. La mère de famille est décédée quand le mari et leur fille adolescente sont dans un état très grave. Prions pour qu'ils s'en sortent sans séquelles.
    Avec le Parti de la France au pouvoir, ni les agriculteurs ne seraient en train de manifester contre le bolchevisme français, ni ces Arméniens ne seraient en France, mais plutôt renvoyés en Arménie pour lutter contre les envahisseurs musulmans Azéris.
     
    Maxime Leroy - Délégué général adjoint du Parti de la France
     
    Peut être une image de 4 personnes et moissonneuse
     
     
     
     
     
     
     
     
  • JO 2024 : la photo présentant la tenue des athlètes ne comporte aucun Gaulois…

    Publié par Guy de Laferrière le 22 janvier 2024

    « Le Coq Sportif et le CNOSF (Comité national olympique et sportif français) ont dévoilé le 16 janvier les tenues officielles des athlètes de l’équipe de France. Plus de 150 sportifs étaient réunis à la Maison du sport français, dans le XIIIe arrondissement de Paris, pour un défilé présentant les ensembles qu’ils porteront lors des compétitions de l’été prochain. » (source)

    La photo de groupe rendue publique est celle-ci :

    Peut-être deux Françaises, et carrément aucun Français ethnique !

    Certes, le Grand Remplacement est en cours, mais certains prennent leurs désirs pour la réalité.

  • 21 janvier : anniversaire du régicide (récit + testament de Louis XVI)

    Publié par Guy de Laferrière le 21 janvier 2024

    Le 21 janvier 1793, la racaille révolutionnaire, ivre de haine et de rage, assassinait le roi de France, Louis XVI, âgé de 38 ans.
    Cet acte sauvage recelait une grande force symbolique : en décapitant celui qui était le père de la nation organique et le sommet de l’Etat monarchique, c’était l’ordre ancien qui était abolit, en profondeur, au profit d’une contre-civilisation qui allait s’instaurer progressivement et inexorablement et dont nous connaissons aujourd’hui une certaine étape.

    Pour l’anecdote, et contrairement à ce que laissait espérer l’innovation technique que constituait la guillotine, l’exécution du roi martyr fut particulièrement horrible.
    Revenons donc à ce triste épisode, au cœur des heures les plus sombres de notre histoire.

    Craignant un ultime rebondissement si le roi faisait un discours devant la foule, le commandant de la garde nationale donna l’ordre de faire jouer tous les tambours au pied de l’échafaud, qui était d’ailleurs fortement protégé.
    Sur la dernière marche cependant, le roi fit un signe impérieux aux tambours qui, surpris, cessèrent de battre, et cria d’une voix tonnante : « je meurs innocent de tous les crimes qu’on m’impute. Je pardonne aux auteurs de ma mort, et je prie Dieu que le sang que vous allez répandre ne retombe jamais sur la France. Et vous, peuple infortuné… »
    Déjà, des ordres étaient donnés et les tambours reprenaient.
    Un journaliste de l’époque écrivit : « est-ce bien le même homme que je vois bousculé par quatre valets de bourreau, déshabillé de force, dont le tambour étouffe la voix, garrotté à une planche, se débattant encore, et recevant si mal le coup de la guillotine qu’il n’eut pas le col mais l’occiput et la mâchoire horriblement coupés ? »

    D’après certains témoignages, il fallut s’y reprendre à deux fois pour trancher la tête, tandis que d’autres affirment que le bourreau dut appuyer de tout son poids sur la lame qui avait à peine entamé le crâne – au lieu du cou – afin de détacher la tête…
    Le prêtre présent raconta qu’ensuite « le plus jeune des gardes, qui semblait avoir dix-huit ans, saisit immédiatement la tête, et la montra à la populace en faisant le tour de l’échafaud ; il accompagna cette monstrueuse cérémonie des gestes les plus atroces et les plus indécents ».
    Certains spectateurs se barbouillèrent le visage du sang du malheureux.

    On notera avec inquiétude que l’idéologie républicaine, contre-nature et forgée dans le sang de très nombreux Français, connaît aujourd’hui un regain de popularité dans la « mouvance nationale », même si certaines associations et publications ferraillent inlassablement contre la doctrine mortifère issue des Loges.

    Ci-dessous, le beau testament de Louis XVI, rédigé le 25 décembre 1792, envoyé à la Commune de Paris le 21 janvier 1793 :

    « Au nom de la tres Sainte Trinité du Pere du fils et du St Esprit. Aujourd’hui vingt cinquieme jour de Decembre, mil sept cent quatre vingt douze. Moi Louis XVIe du nom Roy de France, etant depuis plus de quatres mois enfermé avec ma famille dans la Tour du Temple a Paris, par ceux qui etoient mes sujets, et privé de toutte communication quelconque, mesme depuis le onze du courant avec ma famille de plus impliqué dans un Proces, dont il est impossible de prevoir l’issue a cause des passions des hommes, et dont on ne trouve aucun pretexte ni moyen dans aucune Loy existante, n’ayant que Dieu pour temoin de mes pensées et auquel je puisse m’adresser. je declare ici en sa presence mes dernieres volontés et mes sentiments.

    Je laisse mon ame a Dieu mon createur, je le prie de la recevoir dans sa misericorde, de ne pas la juger d’apres ses merites, mais par ceux de Notre Seigneur Jesus Christ, qui s’est offert en sacrifice a Dieu son Pere, pour nous autres hommes quelqu’indignes que nous en fussions, et moi le premier.

    Je meurs dans l’union de notre sainte Mere l’Eglise Catholique Apostolique et Romaine, qui tient ses pouvoirs par une succession non interrompue de St Pierre auquel J.C. les avoit confiés. je crois fermement et je confesse tout ce qui est contenu dans le Symbole et les commandements de Dieu et de l’Eglise, les Sacrements et les Mysteres tels que l’Eglise Catholique les enseigne et les a toujours enseignés. je n’ai jamais pretendu me rendre juge dans les differentes manieres d’expliquer les dogmes qui dechire l’Eglise de J C. mais je m’en suis rapporté et rapporterai toujours si Dieu m’accorde vie, aux decisions que les superieurs Ecclésiastiques unis a la Sainte Eglise Catholique, donnent et donneront conformement a la discipline de l Eglise suivie depuis J.C. je plains de tout mon cœur nos freres qui peuvent estre dans l erreur, mais je ne pretends pas les juger, et je ne les aime pas moins tous en J.C. suivant ce que la charité Chretienne nous l’enseigne.

    Je prie Dieu de me pardonner tous mes pechés. j’ai cherché a les connoitre scrupuleusement a les detester et a m’humilier en sa presence, ne pouvant me servir du Ministere d’un Prestre Catholique. je prie Dieu de recevoir la confession que je lui en ai faitte et surtout le repentir profond que j’ai d’avoir mis mon nom, (quoique cela fut contre ma volonté) et des actes qui peuvent estre contraires a la discipline et a la croyance de l’Eglise Catholique a laqu’elle je suis toujours resté sincerement uni de cœur. je prie Dieu de recevoir la ferme resolution ou je suis s’il m’accorde vie, de me servir aussitost que je le pourrai du Ministere d’un Prestre Catholique, pour m’accuser de tous mes peches, et recevoir le Sacrement de Penitence.

    Je prie tous ceux que je pourrois avoir offensés par inadvertance, (car je ne me rappelle pas d’avoir fait sciemment aucune offense a personne) ou ceux a qui j’aurois put avoir donné de mauvais exemples ou des scandales de me pardonner le mal qu’ils croyent que je peux leur avoir fait

    Je prie tous ceux qui ont de la Charite d’unir leurs prieres aux miennes, pour obtenir de Dieu le pardon de mes peschés.

    Je pardonne de tout mon cœur, a ceux qui se sont fait mes ennemis sans que je leur en aie donne aucun sujet, et je prie Dieu de leur pardonner, de mesme que ceux qui par un faux zele, ou par un zele mal entendu m’ont faits beaucoup de mal.

    Je recommande a Dieu, ma femme, mes enfants, ma Sœur, mes Tantes, mes Freres, et tous ceux qui me sont attachés par les Liens du Sang, ou par quelqu’autre maniere que ce puisse estre. je prie Dieu particulierement de jetter des yeux de misericorde, sur ma femme mes enfants et ma Sœur qui souffrent depuis longtemps avec moi, de les soutenir par sa grace s’ils viennens a me perdre, et tant qu’ils resteront dans ce monde perissable.

    Je recommande mes enfants a ma femme, je n’ai jamais doutté de sa tendresse maternelle pour eux ; je lui recomande surtout d’en faire de bons Chretiens et d’honnestes hommes, de leur faire regarder les grandeurs de ce monde ci (s’ils sont comdamnes a les eprouver) que comme des biens dangereux et perissables, et de tourner leurs regards vers la seule gloire solide et durable de l’Eternité. je prie ma Sœur de vouloir bien continuer sa tendresse a mes enfants, [mots raturés], et de leur tenir lieu de Mere, s’ils avoient le malheur de perdre la leur.

    Je prie ma femme de me pardonner tous les maux qu’elle souffre pour moi, et les chagrins que je pourrois lui avoir donnés dans le cours de notre union, comme elle peut estre sure que je ne garde rien contre elle, si elle croioit avoir quelque chose a se reprocher.

    Je recomande bien vivement a mes enfants, apres ce qu’ils doivent a Dieu qui doit marcher avant tout, de rester toujours unis entre eux, soumis et obeissants a leur Mere, et reconnoissants de tous les soins et les peines qu’elle se donne pour eux, et en memoire de moi. je les prie de [mot raturé] regarder ma Sœur comme une seconde Mere.

    Je recomande a mon fils s’il avoit le malheur de devenir Roy, de songer qu’il se doit tout entier au bonheur de ses Concitoyens, qu’il doit oublier toute haine et tout ressentiment, et nommement tout ce qui a rapport aux malheurs et aux chagrins que j’eprouve. qu’il ne peut faire le bonheur des Peuples qu’en regnant suivant les Loix, mais en mesme temps qu’un Roy ne peut les faire respecter, et faire le bien qui est dans son cœur, qu’autant qu’il a l’autorité necessaire, et qu’autrement etant lié dans ses operations et n’inspirant point de respect, il est plus nuisible qu’utile.

    Je recomande a mon fils d’avoir soin de touttes les personnes qui m’etoient attachées, autant que les circonstances ou il se trouvera lui en donneront les facultés, de songer que c’est une dette sacrée qui j’ai contractée envers les enfants ou les parents de ceux qui ont peris pour moi, et ensuitte de ceux qui sont malheureux pour moi je scai qu’il y a plusieurs personnes de celles qui m’etoient attachées qui ne se sont pas conduittes envers moi comme elles le devoient, et qui ont mesme montrés de l’ingratitude, mais je leur pardonne, (souvent dans les moments de troubles et d’effervescence on n’est pas le maitre de soi) et je prie mon fils s’il en trouve l’occasion de ne songer qu’a leur malheur.

    Je voudrois pouvoir temoigner ici ma reconnoissance a ceux qui m’ont montrés un veritable attachement et desintéressé. d’un costé si j’etois sensiblement touché de l’ingratitude et de la deloyauté de gens a qui je n’avois jamais temoignés que des bontés, a eux a leurs parents ou amis, de l’autre j’ai eu de la consolation a voir l’attachement et l’interest gratuit que beaucoup de personnes m’ont montrées. je les prie d’en recevoir tous mes remerciments, dans la situation ou sont encore les choses, je craindrois de les compromettre, si je parlois plus explicitement mais je recomande specialement a mon fils de chercher les occasions de pouvoir les reconoitre.

    Je croirois ca[lo]mnier cependant les sentiments de la Nation si je ne recomandois ouvertement a mon fils Mrs de Chamilly et Hue, que leur veritable attachement pour moi, avoit porté a s’enfermer avec moi dans ce triste sejour, et qui ont pensés en estre les malheureuses victimes. je lui recomande aussi Clery des soins duquel j’ai eu tout lieu de me louer depuis qu’il est avec moi comme c’est lui qui est resté avec moi j’usqu’a la fin, je prie Mrs de la Commune de lui remettre mes hardes mes livres, ma montre ma bourse, et les autres petits effets qui ont estés deposés au Conseil de la Commune.

    Je pardonne encore tres volontiers a ceux qui me gardoient, les mauvais traitements et les genes dont ils ont cru devoir user envers moi. j’ai trouvé quelques ames sensibles et compatissantes, que celles la jouissent dans leur cœur de la tranquillité que doit leur donner leur façon de penser.

    Je prie Mrs de Malesherbes Tronchet et de Seze, de recevoir ici tous mes remerciments et l’expression de ma sensibilité, pour tous les soins et les peines qu’ils se sont donnés pour moi.

    Je finis en declarant devant Dieu et pret a paroitre devant lui que je ne me reproche aucun des crimes qui sont avancés contre moi.

    Fait double a la tour du Temple le 25 Decembre 1792.

    LOUIS. »

     

    Source : contre-info