Publié par Guy de Laferrière le 23 janvier 2024
colère
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La colère des agriculteurs français
C’est non sans une certaine satisfaction que nous voyons la colère des agriculteurs français s’intensifier ces derniers jours. Ces valeureux travailleurs manifestent partout en France afin de montrer leur mécontentement envers la bureaucratie française qui leur fait perdre un temps monstrueux en tâches administratives inutiles. Ils manifestent également contre la hausse des impôts et des taxes, comme par exemple la redevance sur l’eau, sur les produits phytosanitaires et les taxes sur le carburant agricole.Les accords de libre-échanges entre l’Union Européenne et le reste du monde, créant une concurrence déloyale, sont également au centre de leurs revendications légitimes.Nous avons également appris que ce matin, trois « individus de nationalité arménienne » ont forcé un barrage routier en percutant un mur de paille placé sur la chaussée. Ces étrangers ont malheureusement fauché une famille d’agriculteurs. La mère de famille est décédée quand le mari et leur fille adolescente sont dans un état très grave. Prions pour qu'ils s'en sortent sans séquelles.Avec le Parti de la France au pouvoir, ni les agriculteurs ne seraient en train de manifester contre le bolchevisme français, ni ces Arméniens ne seraient en France, mais plutôt renvoyés en Arménie pour lutter contre les envahisseurs musulmans Azéris.Maxime Leroy - Délégué général adjoint du Parti de la France -
Urgences : la colère des personnels soignants s’étend dans toute la France
Publié par Guy Jovelin le 11 juin 2019
Par Adelaide le 11/06/2019« Urgences en grève ». C’est ce qu’on peut lire sur les banderoles qui trônent depuis plusieurs mois dans l’enceinte de l’hôpital Saint-Antoine. Diane Labreut, infirmière de l’hôpital Saint-Antoine, explique les raisons de ce mouvement : « Nous sommes le premier service à être entré en grève le 18 mars, suite à de multiples agressions qui ont eu lieu envers le personnel soignant de la part de patients ou d’accompagnants. Ces agressions, on peut dire que c’est un peu la goutte d’eau qui a fait déborder un vase qui était bien trop plein. Donc, nous avons décidé de lancer la grève. Ce que nous voulons actuellement, c’est une reconnaissance de la spécificité du travail aux urgences. Les urgences sont engorgées parce que nous manquons de lits d’aval. Les gens restent couchés sur des brancards. Et c’est juste inhumain en fait. » (…)
Les conditions de travail se dégradent
Et les conditions de travail se dégradent depuis longtemps. La goutte d’eau qui a fait déborder le vase, c’est l’agression en mars d’une aide-soignante par un patient. Une violence devenue quotidienne, selon Cathy Le Gac, du syndicat Sud-Santé de l’hôpital : « Ce n’est pas le sens de notre métier quand on est infirmière ou aide-soignante, se faire taper dessus ou de se faire cracher dessus. On se sent blessé soi-même dans le don qu’on a fait aux soins à l’autre. »
Conséquence : un ras-le-bol sans précédent du personnel soignant des hôpitaux de France. Pour Yann Flecher, infirmier syndicaliste à l’hôpital Lariboisière, la grogne n’a jamais été aussi forte : « On n’en est jamais arrivé là à ce que des personnels paramédicaux se mettent en arrêt maladie spontanément de cette manière. Autant de personnel d’un coup, je n’ai jamais vu ça. » (…)