Publié par Guy de Laferrière le 31 décembre 2023
Les forces de l’ordre traquent les petits Français qui veulent fêter le nouvel an avec des feux d’artifices. Mais qu’ils aillent donc fouiller les caves des cités « racailleuses » !
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Publié par Guy de Laferrière le 31 décembre 2023
Les forces de l’ordre traquent les petits Français qui veulent fêter le nouvel an avec des feux d’artifices. Mais qu’ils aillent donc fouiller les caves des cités « racailleuses » !
Publié par Guy de Laferrière le 31 décembre 2023
Publié par Guy de Laferrière le 30 décembre 2023
C’est un nouveau rebondissement dans un projet de construction vieux de plus de sept ans : le tribunal administratif de Strasbourg vient de confirmer le permis de construire d’une mosquée dans le quartier de la Mer Rouge à Mulhouse. Petit rappel des différentes étapes de cette affaire.
Le 24 novembre 2016, l’association turque Communauté islamique Millî Görüs – grande mosquée de Mulhouse – sollicite la délivrance de deux permis de construire. Le but est d’implanter un établissement scolaire d’enseignement privé ainsi que deux lieux de culte à l’emplacement d’anciens bâtiments de la ZAC (zone d’aménagement concerté) de la Mer Rouge.
Le 29 novembre 2019, la maire de Mulhouse, Michèle Lutz, délivre le permis de construire pour l’établissement scolaire, et le 2 août 2021, celui pour les deux lieux de culte. Mais à la demande du préfet du Haut-Rhin, elle retire ce second permis par un arrêté du 29 octobre 2021.
Cette même année 2021, la Ville de Strasbourg promet une subvention à l’association Millî Görüs pour la construction d’une autre mosquée dans la capitale alsacienne, ce qui suscite une vive polémique entre la municipalité et l’Etat, sur fond de liens controversés de l’association avec certaines organisations islamistes.
(…) Par son jugement du 28 décembre 2023, le tribunal vient d’annuler cette décision de retrait, et donc de confirmer le permis de construire. “Les juges ont estimé que cette autorisation n’était pas entachée des illégalités qui lui étaient reprochées, et notamment que les risques de pollution liés à la circulation de véhicules sur le parking de la mosquée n’étaient pas établis” détaille le communiqué.
En effet, “le projet a vocation à s’implanter à côté de l’établissement scolaire, qui dispose déjà d’un parking, et dans une zone à vocation principalement économique, dans laquelle se trouvent également de nombreux parkings.”
Publié par Guy de Laferrière le 30 décembre 2023
Dans une réponse rendue publique samedi par des députés de La France insoumise (LFI), Yaël Braun-Pivet écrit que « les propos tenus par un parlementaire dans l’hémicycle de l’Assemblée sont couverts, conformément à l’article 26 de la Constitution, par le principe d’irresponsabilité, lequel présente un caractère absolu et qu’aucune procédure ne permet de « lever » ». Elle indique que les règles constitutionnelles ne lui permettent pas de déclencher elle-même la procédure pouvant aboutir à la levée d’immunité d’un élu.
Des députés socialistes, écologistes et insoumis avaient mis en cause une phrase prononcée par Meyer Habib, élu de la 8e circonscription des Français établis hors de France, lors de la séance des questions au gouvernement mardi. « Alors que la ministre (des Affaires étrangères Catherine Colonna) était invitée à réagir à la mort d’un agent du Quai d’Orsay suite à des bombardements israéliens sur un bâtiment d’habitation abritant des civils, le député Meyer Habib a prononcé distinctement, et par deux fois, les mots : « Et ce n’est pas fini ! » », des propos pouvant « s’apparenter à l’apologie de crimes de guerre », avaient estimé ces députés.
Publié par Guy de Laferrière le 29 décembre 2023
Fêtes sobres et solidaires. Ils sont les oubliés de l’actualité de ces derniers mois. Ils, ce sont les migrants. En cette fin d’année 2023, des Rennais continuent de leur venir en aide. Reportage.
l fait partie de ces sujets épineux, qui peuvent susciter des débats houleux lors des réveillons de Noël et du Nouvel an. Celui de l’accueil des migrants, peut même provoquer certaines réflexions du type « tu es prêt à en recevoir chez toi ? ». Une question à laquelle cette habitante de Rennes (Ille-et-Vilaine) pourrait répondre par l’affirmatif. Car depuis maintenant près de quatre mois, Amélie Brion et sa famille accueillent Yaya et Abdoulaye, deux mineurs non accompagnés, qui étaient à la rue : « On vit à cinq dans notre 72 m². On a deux chambres, mais je ne me suis pas posé trop de questions. Mon cœur de maman a parlé. »
Une rencontre miraculeuse à Nantes
C’est en septembre dernier que les chemins d’Amélie et Yaya se sont croisés. Une rencontre fortuite…
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