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La marche de “l’ultradroite” a rassemblé plus de 500 personnes
ce samedi soir malgré la tentative d’interdiction de la macronie
Laurent Nuñez « n’apporte pas d’éléments au soutien » des motifs d’interdiction invoqués, estime le juge des référés du tribunal administratif de Paris dans son ordonnance, pour qui l’arrêté « porte une atteinte grave et manifestement illégale à la liberté de manifestation ».
« Parisien, défends-toi, tu es ici chez toi » ou « On est chez nous ! Justice pour Thomas ! » ont scandé les manifestants lors de leur marche aux flambeaux dans les rues de Paris.
Des cris qui ont dû troublé le sommeil des bonnes consciences de la place Beauvau.
Tout au long du mois de janvier, une quinzaine d’écoles et de collèges de Haute-Garonne vont se mobiliser pour la régularisation des enfants scolarisés sans-papiers et de leur famille. Ces établissements ont répondu à l’appel du Réseau éducation sans frontières 31, à l’origine de la campagne « Accueillons-les ! Régulations ! » qui démarre le 14 janvier par une fête de la solidarité au Bikini. Des petits-déjeuners solidaires auront lieu le 17 janvier dès 7h45 devant l’école Alfred de Musset, le 24 janvier devant l’école Gaston Dupouy ou encore le 25 janvier au collège Jean-Pierre Vernant. Pour les organisations membres de RESF 31 comme la Ligue des droits de l’Homme, les syndicats FSU et Solidaires ou la FCPE, l’objectif est de « rendre visibles » les situations de familles en situation irrégulière mais « bienvenues malgré le discours nauséabond ambiant ».
« Nous accompagnons plus de quatre-vingts familles mais dans le cadre de cette campagne, nous demandons la régularisation de neuf en particulier, emblématiques de la situation générale. Elles remplissent tous les critères : elles sont en France depuis plusieurs années, les parents travaillent ou ont trouvé un employeur, un logement, les enfants vont à l’école ou étudient et pourtant la préfecture continue de leur refuser leurs papiers. C’est insupportable ! Les OQTF – obligations de quitter le territoire français NDLR – doivent être levées », plaide Annie Latapie, membre de RESF 31.
Le tout jeune Gabriel Attal est le nouveau Premier ministre français, qui succède à Elisabeth Borne démissionnaire. Jeune et « gay », Young Global Leader de Davos, c’est ainsi qu’il est décrit par la presse internationale et française.
Gabriel Attal, « l’un des hommes politiques LGBT les plus éminents et les plus puissants au monde » selon la presse américaine
Gabriel Attal, 34 ans, le tout nouveau Premier ministre d’Emmanuel Macron qui succède à Elisabeth Borne, a eu une carrière très rapide : il rejoint le Parti socialiste à l’âge de 17 ans. Il est membre du cabinet de la ministre de la Santé Marisol Touraine de 2012 à 2017, ainsi que conseiller municipal de Vanves depuis 2014. En 2016, il rejoint le parti fondé par Emmanuel Macron, En marche — devenu La République en marche puis Renaissance —, dont il est porte-parole en 2018 et membre du bureau exécutif à partir de 2021. Issu d’une famille aisée, ancien élève de la fameuse école de privilégiés bobo-radical-chic parisiens L’Ecole alsacienne, il est devenu un nom bien connu de la politique française après avoir été nommé porte-parole du gouvernement pendant la pandémie. Il sera ensuite nommé ministre adjoint au ministère des Finances, puis ministre de l’Éducation en 2023. Il fait partie de ces hommes politiques qui voulaient « emmerder » les non-vaccinés pendant la pseudo-pandémie Covid.
Comme le notent la majorité des quotidiens étrangers et français, le nouveau Premier ministre français est « gay » et le plus jeune nommé à cette fonction de gouvernement.
Le nouveau Premier ministre français est « gay », pacsé avec un homme, et le plus jeune nommé à cette fonction de gouvernement
Attal représente bien l’ère Macron qui se caractérise par les incompétents, les jeunes technocrates sans aucun passé professionnel, la dépravation cocaïnomane et arc-en-ciel et la propension à jouer aux chaises « musicales » tant dans les nominations ministérielles que dans la vie privée. On ne sait donc pas si Gabriel est le mignon de Stéphane Séjourné, ancien conseiller politique de Macron, celui qui avait mis le pied à l’étrier dans le milieu macroniste à l’ambitieux nouveau Premier ministre, ou le giton d’Olivier Véran, le macabre ministre de la Santé de l’an I covidien. Ce qui est certain c’est qu’il est le favori de Bribri. Et un petiot de Schwab, faisant partie de la promotion 2020 des Young global leaders du WEF de Davos dont il imposera la feuille de route aux Français.
Retenant des postes auxquels Gabriel Attal a été successivement nommé, qu’il est impossible d’en tirer un bilan sincère tellement ils furent éphémères. Il est cependant le père de Parcoursup qui est décrié par tous les étudiants et du service universel qui est resté un gadget. C’est pourquoi, en guise de compétences pour expliquer cette « ascension fulgurante » vendue par les médias– remake de l’ascension programmée du jeune Emmanuel Macron en 2017-, il ne lui reste que son homosexualité et sa jeunesse. Une jeunesse qu’il travestit aujourd’hui avec des cheveux blancs tout nouveaux…
Avec Attal, les Français peuvent rêver au redressement de la France…
À 34 ans, l’ancien conseiller du ministre de la Santé Marisol Touraine (2012-2017), apparatchik strauss-khanien puis macroniste de la première heure, participant à la 69e réunion Bilderberg en 2023, est devenu le plus jeune locataire de Matignon de la cinquième République.
Au Parti socialiste depuis 2006 pour soutenir Ségolène Royal, il gravite ensuite autour de Dominique Strauss-Kahn. Après un stage à l’Assemblée nationale auprès de Marisol Touraine, il entre en 2012 dans le cabinet du ministre de la Santé qu’il ne quittera pas pendant cinq ans. Les 110 000 médecins libéraux conservent un souvenir cuisant du passage de Marisol Touraine avec sa loi éponyme et les projets de généralisation du tiers payant obligatoire.
Gabriel Attal devient député LREM des Hauts-de-Seine en 2017 puis est nommé secrétaire d’État auprès du ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse dans le second gouvernement Édouard Philippe (2018). En juillet 2020, Gabriel Attal est nommé secrétaire d’État auprès du Premier ministre Jean Castex, porte-parole du gouvernement, jusqu’en 2022. Pendant l’ubuesque crise sanitaire il dénonce les opposants aux pseudos vaccins :
« Qui emmerde la vie de qui, aujourd’hui ? Qui gâche la vie de nos soignants qui depuis deux ans sont sous l’eau dans nos services de réanimation pour sauver des patients qui aujourd’hui sont essentiellement non vaccinés ? Ce sont ceux qui s’opposent aux vaccins ! »
LGBT assumé, il a soutenu l’extension de la PMA en juin 2021 et n’est pas opposé aujourd’hui la légalisation de la GPA.
En 2021, porte-parole du gouvernement, il avait tancé Mgr de Moulins-Beaufort, archevêque de Reims, qui défendait le secret de la confession, en affirmant : « Il n’y a rien de plus fort que les lois de la République dans notre pays, ça tient en une phrase et c’est très clair. » Et il avait ajouté que le président de la république a demandé au ministre de l’Intérieur de convoquer Mgr de Moulins-Beaufort pour le sommer de s’expliquer.
Alors porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, a claironné, dès le lendemain du premier tour de l’élection présidentielle de 2022, que l’euthanasie serait la grande réforme du futur quinquennat…
Il devient ensuite ministre délégué chargé des Comptes publics en mai 2022, dans le gouvernement Élisabeth Borne. Le 20 juillet 2023, Gabriel Attal est nommé ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse.