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Le Parti de la France - Page 300

  • Une partie du 7e arrondissement de Lyon ressemble à une ville dévastée par la guerre suite aux actions des casseurs du 1er mai

    Publié par Guy de Laferrière le 03 mai 2023

    Auteur : 
    Lyon dévastée premier mai 2023
    Une ville dévastée par la guerre suite aux actions des casseurs du 1er mai

    Ce soir, j’avais décidé, à partir de la mairie du 7e arrondissement, de remonter vers le Nord, pour évaluer moi-même les dégâts du 1er mai dont avaient parlé les media locaux.

    De la mairie du 7e, jusqu’à l’arrêt Saxe-Gambetta et un peu au delà, sur un peu plus d’un km au moins (je n’avais pas le temps d’aller plus au nord), les vitres de tous les arrêts de bus, des deux côtés de la chaussée, ont été détruites. Les vitres de toutes les banques et assurances (une vingtaine), à l’exception de la Macif qui avait mis en place une solide protection, ont également volé en éclat ou été fortement cassées. Mais c’est aussi le cas des mutuelles, de plusieurs magasins d’alimentation (notamment un Carrefour city), d’un magasin d’optique, d’une grande agence de la poste, d’un accès au métro par ascenseur, d’au moins deux installations électriques, etc.

    Au moins une voiture a été brûlée (au moins 3 sur l’ensemble de Lyon), le tout accompagné de nombreux tags très agressifs et remplis de grosses fautes de grammaire et d’orthographe. Personne ne s’est donc occupé de ces voyous durant leurs enfance, ni leurs parents pour leur éducation, ni leurs professeurs pour leur instruction? Où pire encore, leur a t’on dit que tout leur était dû?

    Les media ont parlé d’environ 1000 casseurs. Les manifestants étaient, eux, de 17 000 à 45 000.

    Au delà de la lourde responsabilité de Macron (qui ne mérite pas du tout son surnom de Jupiter puisqu’il ne sait pas ou ne veut pas maintenir l’ordre), de Borne et de “notre” gouvernement, c’est toute l’idéologie de 1789 qui est responsable de ce carnage, qui a eu lieu aussi dans d’autres villes car elle a fait de la liberté une idole au lieu de rappeler qu’elle doit être subordonnée à la recherche du bien.

    Que Dieu vienne en aide à la France et nous donne de meilleurs gouvernants, c’est-à-dire des gouvernants s’inspirant des Commandements de Dieu!

    Gontran Paume

     

    Source : medias-presse.info

  • Lundi à Scrignac (29) : un hommage à l'abbé Yann-Vari Perrot, assassiné par les communistes en 1943

    Publié par Guy de Laferrière le 03 mai 2023

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    La cérémonie sur la tombe de l'abbé Perrot (photo Breizh Info)

    En assassinant lâchement, le 12 décembre 1943, sur un chemin creux aux pieds des Monts d'Arrée, l'abbé Yann-Vari Perrot, recteur de la paroisse de Scriniac et fondateur du mouvement culturel breton Bleun-Brug (Fleurs de Bruyère), Jean Thépaut, le terroriste communiste auteur du crime, ne se doutait certainement pas que, 80 ans plus tard, en ce 1er mai ensoleillé de 2023, plus d'une centaine de Bretons (et aussi de non-Bretons), parmi lesquels de nombreux jeunes, rendraient, comme chaque année, un bel hommage à sa victime.  

    En effet, c'est dans une ambiance recueillie au moment de la messe, conviviale pendant le pic-nique, studieuse lors des conférences et festives grâce aux sonneurs de biniou et aux démonstrations de danses traditionnelles que s'est déroulée cette journée du Souvenir autour de la chapelle de Coat-Kéo (édifiée en 1935 par le célèbre architecte breton James Bouillé), là où repose l'abbé. Sans oublier l'émouvant dépôt d'une gerbe le matin à la Croix rouge, lieu du crime.

    Admirablement organisée par Anne Floc'h, Youenn et Efflam Caouissin, cet hommage rendu à celui qui a consacré sa vie à la renaissance de la culture et la langue bretonnes fut exemplaire. Il prouve que, malgré le rouleau compresseur du prêt à penser, les idées et l'action de l'abbé Perrot sont toujours bien vivantes en Bretagne.

    Notre Ami Youenn Caouissin, rappela, dans son intervention, l'oeuvre de celui dont il défend sans relâche la Mémoire. En 2020, il a écrit dans notre revue Synthèse nationale (n°55, automne 2020) un article allant dans ce sens cliquez ici. Il est aussi l'auteur de plusieurs livres sur le sujet édités par Via Romana cliquez là.

    Roland Hélie

    Lire aussi l'article de Breizh infos cliquez là

    abbé yann-vari perrot,communistes,hommage,scrignac (29)

  • Ecosse : Humza Yousaf, un premier ministre fier de sa double culture, qui défend un « nationalisme ouvert aux migrants et aux étrangers »

    Publié par Guy de Laferrière le 02 mai 2023

    Des successions de taudis au milieu d’imposants immeubles victoriens : Glasgow n’a pas la beauté classique de sa rivale, Edimbourg. Mais c’est une agglomération vivante, à forte tradition ouvrière et contestataire et la plus diverse de la « nation » écossaise. Des vagues successives de migrants y ont élu domicile au sud de la rivière Clyde, dans le quartier de Pollokshields, à la recherche d’un refuge ou d’un travail dans ses nombreuses usines, aujourd’hui presque toutes fermées : Irlandais, Italiens, juifs fuyant l’Allemagne nazie, Pakistanais à partir des années 1950, plus récemment Polonais et Roumains…

    C’est là, entre un temple sikh, une mosquée et des échoppes asiatiques, dans ce melting-pot en voie de gentrification qu’a grandi Humza Yousaf, 38 ans, désigné fin mars chef de file du parti indépendantiste Scottish National Party (SNP) et premier ministre écossais, en remplacement de Nicola Sturgeon. D’origine pakistanaise, cet homme à l’œil de velours et à la barbe poivre et sel est aussi le premier dirigeant musulman d’une nation occidentale. Son père est arrivé tout jeune du Pendjab avec ses parents dans les années 1960 pour des raisons économiques. Sa mère, dont la famille possède également des origines du Pendjab, est née au Kenya et a dû fuir à la fin des années 1960, comme des milliers d’autres Asiatiques confrontés à un climat devenu hostile.  […]

    «  Même dans leurs rêves les plus fousMuhammad Yousaf [son grand-père paternel] , qui travaillait à l’usine de machines à coudre Singer et Rehmat Ali Bhutta [son grand-père maternel] , qui tamponnait les billets de bus de la Glasgow Corporation n’auraient jamais imaginé que leur petit-fils deviendrait premier ministre » , a déclaré Humza Yousaf, ému, le 27 mars, à l’annonce du résultat du vote des membres du SNP.

    Le lendemain, ce politique aux costumes impeccables, adepte des cravates tartan et fan du Celtic Glasgow, club de foot aux fortes racines catholiques irlandaises, a été confirmé First Minister à une confortable majorité par les députés de Holyrood, le Parlement régional écossais. Dans les tribunes, sa famille était au complet, rayonnante : son père, collier de barbe traditionnelle ; sa mère, coiffée d’un discret voile clair ; ses deux sœurs ; son épouse, Nadia El-Nakla, conseillère municipale SNP à Dundee (à 100 kilomètres au nord d’Edimbourg), et leur fille de 3 ans, qui avait un peu de mal à tenir en place. Tous ont ensuite passé la soirée à Bute House, le bel hôtel géorgien devenu résidence officielle des premiers ministres écossais à Edimbourg, où la famille a rompu le jeûne du ramadan. […]

    M. Yousaf a ensuite suivi des études de science politique à l’université de Glasgow. Il a été très influencé par Bashir Ahmad, le premier député d’origine asiatique (pakistanaise), élu au Parlement écossais en 2007, qui prit sous son aile cet étudiant brillant avant d’en faire son assistant parlementaire. […]

    Avec Rishi Sunak, un hindou d’origine indienne arrivé au pouvoir à Londres en octobre 2022, les événements politiques britanniques récents font un sacré clin d’œil au passé colonial du Royaume-Uni, ses principaux dirigeants étant tous deux originaires de l’ex-Raj (l’Inde sous domination britannique, avant la partition). La désignation de Humza Yousaf est d’autant plus remarquable que l’Ecosse est plus « blanche » que le reste du pays (à environ 96 %, contre 82 % en Angleterre). Les médias et les leaders religieux ont réagi plutôt sobrement à ce fait historique. « Félicitations à Humza Yousaf, premier Asiatique et musulman dirigeant de l’Ecosse. Mashallah ! [“Dieu soit loué”]  », a relevé le Conseil musulman d’Ecosse. Il faut dire que les Ecossais ont d’autres préoccupations : les inégalités se creusent, l’accès aux soins est de plus en plus difficile, le nombre de morts par overdose est le plus élevé d’Europe. Quant au SNP, il traverse une crise profonde. […]

    Le SNP a compris le potentiel de minorités ethniques prêtes à s’engager en politique et numériquement capables de faire la différence dans certaines circonscriptions. Une intégration facilitée par le fait que le nationalisme qu’il promeut n’a pas grand-chose à voir avec la préservation du folklore, que ce soit la langue gaélique ou les kilts. « Il défend un nationalisme ouvert aux migrants et aux étrangers. D’ailleurs, le gouvernement SNP a donné le droit de vote aux non-Britanniques, même à nos élections parlementaires régionales » , souligne Graham Campbell, conseiller municipal SNP à Glasgow d’origine caribéenne, qui milite depuis des années auprès de Humza Yousaf. Ce climat de tolérance promu par le parti dominant Holyrood depuis 2011 explique peut-être la quasi-absence de crispation autour de l’islam en Ecosse.  […]

    Mais son parcours n’est pas dépourvu de polémiques. Ainsi, quand Humza Yousaf récupère le portefeuille de la justice, son projet de loi contre les « crimes haineux » suscite de vives critiques. « Sa loi était accusée d’aller contre la liberté de parole, il a dû en partie la réécrire » , précise le juriste Andrew Tickell. En 2021, en pleine pandémie de Covid-19, Humza Yousaf passe à la santé, où il hérite du peu flatteur surnom de « Humza useless » (« Humza qui ne sert à rien »), car il ne parvient pas à réduire les listes d’attente pour des soins dans les hôpitaux publics. Mais, « au moins, il a réussi à éviter les grèves d’infirmiers, ce qui est à mettre à son actif », indique toutefois le journaliste écossais Mark McLaughlin, qui le suit depuis ses débuts au gouvernement. […]

    Le Monde via fdesouche

  • “C’est scandaleux” : à Carcassonne, la statue du Christ vandalisée

    Publié par Guy de Laferrière le 02 mai 2023

    Les bras et les jambes du Christ à Villalbe ont été coupés ce week-end. La mairie de Carcassonne a déposé plainte et est pour le moment en attente de diagnostics avant de débuter les restaurations. 

    Les riverains de Villalbe, hameau de Carcassonne, ont eu une mauvaise surprise ce week-end. La statue du Christ, lieu emblématique pour les croyants du coin, a été vandalisée. Les jambes et les bras ont été coupés. La mairie a rapidement été prévenue dimanche. “Je ne sais pas quand ça s’est exactement passé mais c’est scandaleux, on ne peut pas accepter cet acte”, réagit Lucien Flamant, délégué à la politique de la ville de Carcassonne, aux travaux et aux hameaux.

    (…) Cette situation touche personnellement l’adjoint, lui-même chrétien. “Nous sommes certes des élus et des êtres humains, mais nous avons tous nos croyances. Moi en tant que croyant, si j’avais vu la scène, c’est moi qui aurais coupé les jambes et les bras de celui ou celle qui a fait ça. Les riverains aussi sont scandalisés”, confie-t-il.

    (…) Le Christ étant en fonte, la Ville a de son côté contacté des fonderies spécialisées dans les œuvres d’art et est pour l’instant en attente d’un diagnostic. “On va tout faire pour le réparer et le remettre sur pied mais je n’ai aucune certitude, je ne sais pas si on va pouvoir le restaurer correctement”.

    L’Indépendant via fdesouche

  • Couronnement : le roi Charles III souhaite mettre en avant le multiculturalisme

    Publié par Guy de Laferrière le 02 mai 2023

    C’est une décision étonnante. Lors du couronnement, le 6 mai, de Charles III, les cultes non chrétiens tels que le judaïsme, l'hindouisme, le sikhisme, l'islam et le bouddhisme participeront activement à la cérémonie. Une première dans toute l’histoire du Royaume-Uni. La volonté de rompre avec une certaine tradition se retrouvera dans plusieurs aspects de cet office. Conscient de la crise économique, politique, et de sa popularité fragile, le nouveau roi choisit de multiplier les petits gestes pour paraître « moderne ».

    Le très progressiste archevêque de Canterbury

    Ce virage œcuménique est encouragé par l’archevêque de Canterbury, Justin Welby, première figure de l’Église anglicane après le monarque. Ce dernier joue un rôle important auprès de la famille royale. Il a présidé les funérailles d’Élisabeth II et sera chargé du couronnement de Charles III la semaine prochaine. Par sa fonction, il diffuse ses idées très progressistes.

    Justin Welby est favorable à la bénédiction des couples de même sexe, tout en refusant toujours de célébrer leur mariage religieux. De plus, il aimerait que l’ordination des femmes évêques soit autorisée. C’est en vertu de ses convictions qu’il accepte que la religion anglicane ne soit pas la seule à être représentée lors de la cérémonie. « Le couronnement est avant tout un acte de culte chrétien » mais, « en même temps, le service contient de nouveaux éléments qui reflètent la diversité de notre société contemporaine », a déclaré l’archevêque de Canterbury dans un communiqué datant du 29 avril.

    Le roi passionné par l’islam

    Comme le veut la tradition, le roi Charles III promettra de « défendre la foi » protestante et de protéger l’Église d’Angleterre, mais pas seulement. Le monarque, lui aussi connu pour son tropisme islamophile, récitera une prière à haute voix dans laquelle il demandera notamment à Dieu qu’il puisse « être une bénédiction pour tous les enfants, de toutes les fois et de toutes les convictions ». Après le couronnement, les représentants des différentes confessions salueront le souverain en déclarant qu’« en tant que voisins dans la foi [ils] reconnaissent la valeur du service public. Nous sommes unis avec les personnes de toutes les fois et de toutes les croyances dans l’action de grâce et dans le service à vos côtés pour le bien commun », d’après les éléments dévoilés par les services de l’archevêque de Canterbury.

    Un contexte social difficile

    Confrontée à l’inflation de plus de 10 % dans le pays, la Couronne s’oblige à réduire le faste de l’événement afin de montrer que la monarchie, aussi, fait des économies. Ainsi, il y aura quatre fois moins d’invités au couronnement de Charles III que pour sa mère la reine Élisabeth en 1953. De même, il semblerait qu’il soit demandé aux femmes de la famille royale et de l’aristocratie de ne pas porter un diadème, comme le veut la tradition, mais plutôt des chapeaux ou des parures de tête. Au siècle dernier, 29.000 membres des forces armées avaient défilé avec Élisabeth II. Dimanche prochain, seulement 4.000 militaires escorteront Charles et Camilla.

    Ces petits gestes vont-ils apaiser les opposants à la monarchie ? Certains parlent déjà d’offense et de « mépris du peuple » concernant l’allégeance du peuple britannique envers le souverain, et le mouvement anti-royauté « Republic » appelle à manifester le jour du couronnent. Si environ 22 % du peuple britannique se revendiquent républicains, Charles III recueille 56 % d’opinions favorables, contre 80 % pour sa mère.

    La monarchie britannique est appréciée pour son rôle d'unité de la nation et de gardienne des valeurs traditionnelles. Il semblerait qu’elle veuille abandonner une partie de son héritage pour adopter le « vivre ensemble ».

     

    Source : bvoltaire