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Le Parti de la France - Page 299

  • Italie : Face à l’afflux sans précédent de migrants, Giorgia Meloni change de stratégie et simplifie les procédures d’immigration

    Publié par Guy de Laferrière le03 mai 2023

    (…)

    La vague migratoire en Italie ne semble pas s’arrêter. Plus de 42.000 migrants ont débarqué sur les côtes italiennes cette année, soit quatre fois plus que sur toute l’année 2022. Face à la situation, la première ministre Giorgia Meloni a dû faire discrètement marche arrière sur l’immigration clandestine. Pas de blocus en mer Méditerranée, pourtant une des promesses phares de l’actuelle présidente du Conseil des ministres. Cette dernière a dû également créer de centaines de places d’accueil pour les migrants.

    Et le drame de Crotone fin février 2023, lorsque 94 personnes ont perdu la vie au large de la Calabre, a accéléré ce virage à 180 degrés, même si Giorgia Meloni ne l’admet pas. “Notre réponse, c’est ce qu’il s’est passé, c’est d’avoir une politique encore plus ferme”, assure-t-elle. “Nous sommes déterminés à mettre fin à la traite d’êtres humains responsables de cette tragédie”, poursuit-elle.

    Désormais, le lexique de Giorgia Meloni change. Elle met désormais l’accent sur la lutte contre les passeurs, sans jamais dire que, dans le même temps, elle simplifie les procédures d’immigration légale.

    Europe 1 via fdesouche

  • Tarbes (65) : Abdel Kader O., condamné à 56 reprises depuis 1989, écope de quatre mois ferme et 1200 euros d’amende après un nouveau cambriolage

    Publié par Guy de Laferrière le 03 mai 2023

    Le 3 juin 2021, alors que Paulette est hospitalisée, son appartement est cambriolé à Tarbes. Le cambrioleur a forcé le volet roulant afin de s’introduire dans le domicile.

    Comme la résidence est équipée de caméras (…) Les enquêteurs n’ont aucune difficulté à reconnaître cet homme qui est connu des policiers. En effet, son casier judiciaire fait état de 56 condamnations entre 1989 et 2023 pour des vols, des vols aggravés et des tentatives de vols. Abdel Kader O. est alors interpellé et placé en garde à vue. Au départ, il dit qu’il n’est pour rien dans ce cambriolage avant de finir par avouer les faits. Abdel Kader O., qui est actuellement en prison, a été jugé par le tribunal correctionnel de Tarbes la semaine dernière. Dans le box du tribunal, l’homme âgé de 51 ans, s’est expliqué.

    Ce cambriolage a traumatisé ma cliente. Deux ans après les faits, elle est toujours en train de vérifier si la porte de son domicile est bien fermée.

    « (…) Il est actuellement détenu pour des faits identiques. Il purge une peine de 8 mois de prison depuis le mois de février 2023. Il est en état de récidive légale. »

    Le tribunal a condamné Abdel Kader O. à 4 mois de prison. Il devra verser à la partie-civile 500 € pour le préjudice matériel, 100 € pour le préjudice moral et 600 € pour les frais de justice.

    […] La Semaine des Pyrénées via fdesouche

  • Toulouse : Une interprète assermentée en langue arabe arrêtée, elle est soupçonnée d’avoir escroqué le tribunal en surfacturant ses prestations à hauteur de 10.000€ par mois

    Publié par Guy de Laferrière le 03 mai 2023

    Une interprète en langue arabe assermentée vient d’être mise en examen. Cette traductrice inscrite auprès du tribunal correctionnel de Toulouse est soupçonnée d’avoir menti au ministère de la Justice pour percevoir des honoraires supplémentaires.

    (…)

    La Dépêche via fdesouche

  • « Ils sont repartis en rigolant » : à Montpellier, trois jeunes tabassent Jérôme, un promeneur, puis tuent sa chienne Zoé à coups de pieds ; l’un des agresseurs de « type nord-africain » (MàJ : nouveaux détails sur l’affaire)

    Publié par Guy de Laferrière le 03 mai 2023

    02/05/23

    Des nouvelles du maitre dont le chien a été battu à mort par trois inconnus qui voulaient le racketter, dans la nuit du mercredi à jeudi 28 avril, à Montpellier : Auprès de CNews, Jérôme* (pseudonyme de son maitre) raconte qu’il est encore profondément choqué par la brutalité et la violence gratuite dont il a été victime.

    Il se sent également coupable de n’avoir pas su protéger cette chienne dont il avait la responsabilité depuis maintenant 6 mois.

    Zoé (voir photo plus bas) était une chienne très gentille, très calme, qui n’aboyait jamais, et qui avait été maltraitée à sa naissance, explique-t-il. D’où son comportement plutôt craintif et sa prostration durant l’agression. C’est une collègue bureau hospitalisée qui le lui avait confié début octobre, faute de pouvoir s’en occuper, à cause de problème de santé.

    Jérôme l’avait adopté et remise en forme (elle était en surpoids lorsqu’il l’avait récupérée), notamment en l’emmenant courir près de ce stade de handball, où il n’avait d’ailleurs jamais eu de problèmes avant cette agression. Jérôme raconte que Zoé est morte en partie étouffée dans sa bile, dans ses bras, juste après avoir été rouée de coups. Lorsqu’il a compris que Zoé ne reviendrait pas à la vie, il a appelé un service d’urgence vétérinaire, qui l’a alors renvoyé vers la police.

    Pour se manifester auprès des forces de l’ordre, Jérôme a dû s’approcher de la route et quitter le chemin de terre où avait eu lieu l’agression, laissant ainsi le cadavre de son chien, ce qu’il a vécu comme un abandon difficile. Après les constations effectuées par les agents, Jérôme a amené Zoé à la morgue.

    L’autopsie réalisée dans le cadre de l’enquête révèlerait que la chienne est décédée des suites d’une hémorragie interne et d’un choc crânien, consécutifs à des coups reçus au thorax et à la tête. Le choc émotionnel (trop d’adrénaline) pourrait également être un des facteurs de la mort. Zoé est actuellement dans une chambre froide et devrait être incinérée prochainement.

    Jérôme quant à lui souffre au dos et s’est rendu ce mardi aux urgences pour être examiné. L’enquête de police avance: De sources concordantes, le t-shirt que la victime portait ce soir là est en cours d’examen dans un laboratoire de la police scientifique afin de rechercher d’éventuelles traces ADN. Faute de vidéo-surveillance, aucune image n’a pu être récupérée sur place. Voici quelques photos de Zoé, envoyées par son maitre :


    29/04/2023

    Chien battu à mort à Montpelliers par trois hommes qui voulaient racketter son maitre, les détails de l’affaire obtenus par CNews :

    Les faits se sont déroulés dans la nuit du mercredi à jeudi 28 avril, aux alentours de minuit, à Montpellier (dans l’Hérault, 34). Après une longue journée de travail, et un diner avec sa conjointe, un homme de 29 ans, que l’on appellera Jérôme, a décidé de sortir la chienne dont il a la grade en l’emmenant faire une grande promenade dans le quartier du Plan des quatre seigneurs, à Montpellier.

    La chienne, âgée de 8 ans et dénommée Zoé, est un croisement entre un Jack russel et un Epagneul breton (photo d’un chien de ce croisement plus bas: qui n’est donc pas Zoé).

    Sa propriétaire, hospitalisée, en a confié à la garde à Jérôme quelques mois plus tôt. Cette nuit-là, aux alentours de 23h, Jérôme sort donc dans la rue avec l’animal de compagnie tenu en laisse, et commence à marcher. Après être passé devant la pharmacie des 4 Seigneurs, il décide de pousser la marche jusqu’au terrain de baseball pour pouvoir permettre à Zoé de gambader librement, sans sa laisse.

    Là-bas, dans l’obscurité, ils font le tour du terrain, puis s’engagent dans un petit chemin de terre pour repartir. C’est alors que Zoé et son maitre croisent la route de trois individus aux intentions visiblement hostiles. L’un des trois hommes, le seul que la victime a été capable de décrire aux policiers (porteur d’une capuche et d’une fine doudoune noire, de “type nord-africain”, avec un léger accent de cité et âgé d’une vingtaine d’années), saisit Jérôme par le col et lui demande de lui donner le contenu de ses poches.

    L’agresseur le fait ensuite chuter au sol, puis le palpe, pour être sûr qu’il n’a rien. Mécontent de ne rien trouver (Jérôme avait son téléphone rangé dans une poche au niveau du genou, qui n’a pas été fouillée), son agresseur le frappe alors au visage. Pendant ce temps, ses deux complices s’en prennent à la chienne, Zoé, et la rouent de coups de pieds. Ces coups semblent d’autant plus que gratuits que, selon son maitre, la chienne est restée immobile tout au long de l’agression, prostrée au sol, sans même aboyer, avant de partir se réfugier dans un coin.

    Les trois voyous prennent finalement la fuite, non sans avoir lâché quelques éclats de rire, indique la victime dans son procès-verbal plainte. Dans les minutes qui suivent, la chienne décède des suites de ses blessures. Jérôme, quant à lui, a porté plainte pour violences aggravées (par une circonstance : la réunion) et pour sévices graves sur un animal domestique ayant entrainé la mort. Le préfet de l’Hérault, Hugues Moutouh, a fait part de son indignation dans un tweet, face à un « acte odieux ». Il indique que « tout est mis en œuvre pour retrouver les auteurs ». Sollicité par

    Cnews, le parquet de Montpellier n’a pour le moment pas réagi.


    28/04/2023

    Trois jeunes ont agressé un homme de 29 ans pour lui faire les poches dans la nuit de mercredi à jeudi à Montpellier. Ils s’en sont ensuite pris à la chienne qu’il promenait. Ils ont tué la Jack Russel à coups de pieds. La police est à leur recherche.

    Mercredi soir vers minuit, un homme de 29 ans promène la chienne d’une amie hospitalisée, cela faisait 6 mois qu’il en occupait. Il venait de faire une grande balade rue des 4 vents et rue du Pic Saint-Loup quartier du plan des 4 Seigneurs.  Lorsqu’ il est abordé par trois hommes particulièrement agressifs qui lui demande de l’argent. Il n’a rien sur lui. Le premier le met à terre pour lui faire les poches mais il n’arrive même pas à trouver son téléphone dans son pantalon de survêtement.

    La chienne n’avait pourtant manifesté aucune agressivité

    Très frustré les deux autres s’en prennent à la chienne, une Jack Russel de 8 ans qui n’a pourtant pas bougé. “Zoé était prostrée” raconte l’homme agressé,  “elle ne comprenait rien. Ils lui ont donné de violents coups de pied dans le thorax et sont repartis en rigolant”. L’homme a tenté de la ranimer en vain, Zoé est morte dans ses bras quelques minutes après l’agression.”

    Il a déposé plainte pour violences aggravées pour les coups qu’il a lui même reçus, mais aussi pour sévices graves et actes de cruauté envers un animal domestique ayant entrainé la mort.

    France Bleu

  • Confusion bergoglienne au Synode des évêques, suite logique de la révolution conciliaire

    Publié par Guy de Laferrière le 03 mai 2023

    Le pape François admet soixante-dix membres non-évêques au vote lors du futur synode des évêques, mais risque de provoquer une controverse. Peut-on encore parler de Synode des évêques après cette décision d’autoriser la participation et le vote de soixante-dix membres non-évêques ?

    Un communiqué de presse signé par le service de presse du secrétariat général du Synode des évêques énonce les nouvelles règles édictées par le Vatican bergoglien. Cela suffit pour rendre obsolète le motu proprio Apostolica sollicitudo avec lequel Paul VI a créé cet organe en 1965.

    Focus sur les femmes, mais le thème est le laïcat

    François innove, dans la logique évolutionniste proposée par le concile Vatican II. Sa dernière trouvaille d’époque consiste à autoriser la participation et le vote de soixante-dix membres non-évêques au cours du futur Synode des évêques sur la synodalité qui débutera en octobre prochain et se terminera un an plus tard.

    La nouvelle a été reprise dans le monde entier, insistant avant tout sur l’implication des femmes : le communiqué annonçait en effet que parmi les soixante-dix membres non-évêques, il devrait y avoir un quota de 50 % de femmes. Le prestigieux New York Times, par exemple, a fait l’annonce avec ce titre : Pope Gives Women a Vote in Influential Bishops Meeting (Le pape donne aux femmes un vote lors d’une réunion influente d’évêques). Une nouveauté incontestablement prisée dans les médias et à laquelle aussi le cardinal Jean-Claude Hollerich, rapporteur général du prochain synode, a fait un clin d’œil affirmant auprès du quotidien italien Il Corriere della Sera que « le baptême est le même pour les femmes et pour les hommes ». Mais la révolution est plus profonde : au-delà de l’accès des femmes au vote, c’est celui des non-évêques, en particulier des laïcs, qui est avalisé.

    Une discussion ouverte

    Le feu vert donné aux laïcs pour voter au Synode conduit à une autre discussion ouverte dans l’Église après la promulgation de la constitution apostolique Praedicate Evangelium avec laquelle la Curie a été réformée, ouvrant la possibilité que les laïcs soient mis à la tête des structures de gouvernement.

    Le cardinal Gianfranco Ghirlanda, considéré comme l’un des principaux architectes de la réforme, a défendu ces innovations en faisant valoir que « le pouvoir vicaire pour exercer un office est le même, qu’il soit reçu par un évêque, un prêtre, un homme ou une femme consacré(e) ou un laïc ou une laïque » et ajoutant que « l’égalité fondamentale entre tous les baptisés, même si dans la différenciation et la complémentarité, fonde la synodalité ».

    Certains cardinaux, peu nombreux, sont contre

    Mais l’implication des laïcs dans les structures de l’institution ecclésiale n’est pas appréciée de tous, au contraire. Une opposition est apparue lors du consistoire sur la réforme de la Curie en août dernier, près de trois mois après l’entrée en vigueur de la constitution apostolique. L’une des voix les plus critiques fut celle du cardinal Gerhard Ludwig Müller qui, dans son discours préparé pour la circonstance, souligna que « la sacramentalité de l’épiscopat signifie aussi que les évêques ne sont ni des députés ni des délégués du Pape » car « ils exercent les pouvoirs spirituels qui leur ont été donnés par le Christ lors de l’ordination au nom du Christ, et non sous l’autorité du Pape, comme le veut encore une fois ce papalisme extrême d’aujourd’hui ». Le prélat allemand avait aussi déclaré que « ni le pape ne peut conférer à un laïc par une voie extra-sacramentelle – c’est-à-dire avec un acte formel et juridique – le pouvoir de juridiction dans un diocèse ou dans la curie romaine ».

    Un concept également réaffirmé dans une récente interview à La Nuova Bussola Quotidiana dans laquelle l’ancien titulaire de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi avait rejeté la possibilité de laïcs à la tête de tout dicastère parce que la Curie « est une institution ecclésiastique ». Et le Synode est aussi une institution ecclésiastique sur la base de ce que Paul VI a écrit dans Apostolica sollicitudo. Mais le cardinal Müller n’était pas le seul cardinal à rendre publique sa dissidence pour l’expansion des laïcs aux plus hautes fonctions de la Curie. En fait, le cardinal Paul Josef Cordes l’a également fait dans une contribution dans laquelle il écrit que :

    « si l’Église ne se réfère pas expressément à l’ordo dans son service de direction et que celui-ci n’est pas compris comme ancré en lui – c’est-à-dire : si le gouvernement de l’Église est détaché du sacrement -, il ne reste que l’autorité monarchique d’un homme mortel, le pape. »

    Une position encore plus significative si l’on tient compte du fait que Cordes était à la tête du Conseil Pontifical pour les Laïcs dans les années de Jean-Paul II et est considéré comme le grand protecteur des mouvements laïcs de la Curie.

    Controverses à venir : la Révolution dévore ses enfants

    Les commentaires des organisations laïques qui revendiquent plus d’espace dans l’Église pour les femmes suggèrent un scénario d’inclusion à tout prix à Rome en octobre 2023 et octobre 2024 : Deborah Rose, directrice exécutive de Future Church, a salué l’ouverture, prédisant toutefois qu’au Synode « il y aura des moments où nous serons chagrinés ».

    Mais ces changements ont déjà déçu certaines des femmes engagées pour la « féminisation » de l’Église officielle : interviewé par Adnkronos, l’historienne Lucetta Scaraffia, ancienne directrice de la page rose de l’Observatoire Romain, a critiqué les critères de sélection des membres non-évêques qui ne seront pas élus mais indiqués directement par François à partir d’une liste de noms présentée par les Conférences épiscopales :

    « Ce sont des femmes choisies par le Pape, a noté l’enseignante, qui n’interpellera pas les nombreuses organisations et associations féminines qui existent dans l’Église. Cette centralisation peut réduire considérablement la portée de l’innovation » ajoutant en outre qu’elle trouve « incroyable ce fait du Pape synodal qui centralise de plus en plus ».

    Cela augure de nombreuses controverses parmi ces diverses nuances de progressistes habitant cette Eglise conciliaire évolutionniste et post-moderne, car il se trouve toujours de plus radicaux pour vouloir faire avancer le progressisme plus vite, plus loin, plus fort.

    La Révolution dévore ses enfants, quels qu’ils soient, pape progressiste comme Jorge Maria Begoglio compris. La Révolution conciliaire débutée il y a quelques soixante ans ne déroge pas à la règle. Aussi, on peut saluer la prise de position de quelques-uns des cardinaux actuels mais regretter qu’ils ne comprennent pas que leur ouverture progressiste d’hier, en clair leur approbation et diffusion des innovations doctrinales et contraires à la Tradition catholique imposées par le Concile Vatican II et les papes conciliaires, est la racine du progressisme d’aujourd’hui.

    « Dieu se rit des créatures qui déplorent les effets dont elles chérissent les causes. »

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info