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Le Parti de la France - Page 331

  • Carcassonne (11) : “Je vais revenir pour tout faire sauter à la kalach ! Je vous le jure sur le Coran !” ; Nahima, qui assure n’être “pas radicalisée du tout”, condamnée à 6 mois de sursis pour menaces répétées

    Publié par Guy de Laferrière le 08 avril 2023

    Placée en détention provisoire à l’unité pour femmes de la prison de Seysses depuis mercredi soir, c’est sous escorte des agents de la pénitentiaire que Nahima est arrivée à la barre du tribunal hier après-midi, pour son jugement en comparution immédiate. À cette native de Montpellier tout juste majeure, il était reproché des faits de “menace de mort à l’encontre d’un chargé de mission de service public”, le 3 avril à Carcassonne. Mais aussi un “outrage à une personne dépositaire de l’autorité publique” et une “rébellion”, datant du 9 mars à Lavaur (Tarn).

    (…) Le 9 mars, Nahima tout juste majeure va alors outrager deux agents pénitentiaires alors qu’elle était en train de casser sa cellule : “Sur le Coran, je vais vous niquer bande de fils de pute…” Sur le trajet la menant au quartier disciplinaire, Nahima a poursuivi les insultes en se rebellant.

    Le 16 mars, suite aux menaces proférées envers des agents du foyer de Perpignan en début d’année, la jeune femme sera donc condamnée à 3 mois de prison assortis d’un sursis probatoire pour deux ans, avec une obligation de soins et celle de faire un travail d’intérêt général de 70 heures. Pas de prison mais un passage obligé en psychiatrie, avant de prendre le train pour Carcassonne depuis Lavaur, le 23 mars. Une semaine après, c’est à la Maison Départementale des Solidarités (MDS), rue du Palais à Carcassonne, que Nahima va se rendre pour récupérer ses papiers d’identité. En vain, puisqu’elle va se heurter à un agent de sécurité qui ne la laissera pas rentrer. Aux agents présents ce lundi 3 avril : “Je vais revenir pour tout faire sauter à la kalach, et cette fois-ci ce ne sera pas des guns factices ! Je vous le jure sur le Coran et le bébé que j’ai perdu à cause de vous !”

    Devant le tribunal, Nahima a reconnu l’ensemble des faits reprochés, en indiquant que ses mots avaient dépassé sa pensée et qu’elle n’était “pas radicalisée, du tout !” (…)

    La Dépêche via fdesouche

  • Narbonne (11) : muni d’un poignard, de deux grenades et d’un pistolet airsoft, il agresse violemment un policier devant le commissariat

    Publié par Guy de Laferrière le 08 avril 2023

    Un homme a violemment agressé un policier à proximité du commissariat de Narbonne. Le suspect était muni d’un poignard mais également de deux grenades. Le fonctionnaire, blessé en maîtrisant le suspect, s’est vu attribuer 15 jours d’ITT.

    Un policier de Narbonne (Aude) a été agressé par un homme au comportement suspect ce lundi soir, vers 20h30. Le fonctionnaire venait de quitter le commissariat pour récupérer des affaires dans sa voiture personnelle, stationnée sur le boulevard Général-de-Gaulle, lorsqu’il a croisé la route de cet homme d’une trentaine d’années muni d’un mégaphone raconte L’Indépendant.

    Le policier a alors demandé à l’individu d’expliquer les raisons de sa présence. Après avoir tenu des propos incohérents, le suspect a soudainement frappé le fonctionnaire à la tête avec le mégaphone, et lui a asséné plusieurs coups de poing au visage. Le policier a réussi à maîtriser son agresseur malgré les blessures subies, pour lesquelles 15 jours d’ITT (incapacité totale de travail) lui ont été prescrits. Plusieurs de ses collègues sont venus en renfort après avoir été alertés par une passante.

    Les forces de l’ordre ont ensuite découvert que cet homme avait sur lui deux grenades (une assourdissante et un fumigène), un pistolet airsoft et un poignard japonais de type sai précise le quotidien régional. Placé en garde à vue, le suspect a aussi agressé un autre membre des forces de l’ordre, à l’intérieur du commissariat, en lui donnant des coups de poing au visage, lui occasionnant trois jours d’ITT.

    (…) Actu 17 via fdesouche

  • Épinay-sous-Sénart (91) : trois policiers de la BAC blessés lors d’une intervention près d’un point de deal ; ils ont été agressés par une dizaine d’individus

    Publié par Guy de Laferrière le 08 avril 2023

    Les forces de l’ordre ont été agressées alors qu’elles venaient d’interpeller deux suspects à proximité d’un point de deal à Épinay-sous-Sénart (Essonne) ce jeudi en début de soirée. Trois policiers ont été blessés et deux autres suspects ont été interpellés un peu plus tard.

    Trois policiers de la brigade anti-criminalité (BAC) du Val d’Yerres (Essonne) ont été blessés ce jeudi dans le quartier des Cinéastes, à Épinay-sous-Sénart, lors d’une opération de sécurisation a-t-on appris, confirmant une information d’actuEssonne.

    Les faits se sont produits vers 18h30 lorsque les forces de l’ordre ont réussi à intercepter et arrêter un jeune homme se trouvant sur un point de deal, alors qu’il prenait la fuite avec une petite quantité de résine de cannabis. Simultanément, d’autres membres de la BAC ont tenté de contrôler un autre individu présent sur les lieux. Il a refusé le contrôle et s’est montré violent envers les policiers. Le suspect a finalement été maîtrisé et interpellé.

    Au moment où les forces de l’ordre allaient conduire les deux suspects au commissariat, elles ont été confrontées à un groupe d’une dizaine de personnes, dont certaines ont commencé à jeter des pierres sur les véhicules de police. Les agents ont réagi en utilisant des moyens lacrymogènes, dispersant les agresseurs et mettant fin aux jets de projectiles. Un véhicule de la police municipale et un second de la police nationale ont subi des dégradations, notamment au niveau des vitres.

    Trois agents de la BAC souffrant de contusions et de diverses douleurs ont dû se rendre aux urgences suite à cette intervention.

    (…) Actu 17 via fdesouche.

  • « J’ai voulu faire une bonne action pour le ramadan » : un passeur intercepté à la frontière franco-italienne, condamné

    Publié par Guy de Laferrière le 08 avril 2023

    Un homme de 50 ans, à la double nationalité égyptienne et italienne, a été condamné vendredi 7 avril, en comparution immédiate, pour aide à l’entrée sur le territoire d’une personne en situation irrégulière.

    […]


    « Il est Égyptien comme moi, musulman comme moi, j’ai voulu faire une bonne action pour le ramadan. Je ne me suis pas posé la question de sa situation. C’est la première et la dernière fois », glisse le prévenu qui bénéficie de l’assistance d’une interprète.

    […]

     

    Maher El-Sayeb Sayd Ahmed Zahran écope de huit mois de prison ferme. À l’issue de l’audience, il retourne à la maison d’arrêt de Gap pour commencer à purger sa peine. Pendant dix ans, il écope de l’interdiction de venir en France.

    Le Dauphiné via fdesouche

  • Une municipalité en lien avec l’islamisme

    Publié par Guy de Laferrière le 08 avril 2023

    Une municipalité en lien avec l’islamisme

    Le lundi 3 avril, Jean-Eudes Gannat est passé devant le Tribunal judiciaire d’Angers pour diffamation. Il lui est reproché d’avoir affirmé dans une vidéo datant de novembre 2021 :

    « Il y a des gens, au conseil municipal de Trélazé, qui sont des chevaux de Troie de l’islamisme. »

    Izzet Albayrak, adjoint au maire de la commune (située dans le Maine-et-Loire) et président de l’Union des entrepreneurs franco-turcs a décidé de porter plainte.

    Pourtant, les accusations adressées à l’encontre de M. Albayrak et de plusieurs membres du conseil municipal ne sont pas sans fondement. Le conseil municipal de Trélazé a par exemple voté une subvention de 40 000 € à l’Association Culturelle des Musulmans de Trélazé (ACMT), association qui a soutenu Hassan Iquioussen, l’imam frériste expulsé pour avoir fait l’apologie d’Oussama Ben Laden.

    Radouane Frikache, un autre conseiller municipal de Trélazé, organisait en 2013 une conférence sur l’islam avec Marwan Muhammad, président du CCIF, organisation dissoute pour ses liens avec la mouvance islamiste, et Hassan Iquioussen.

    En première instance, le procureur de la République a rappelé que Monsieur Gannat risquait jusqu’à 45 000 € d’amende. L’Association de Soutien aux Lanceurs d’Alerte soutient ce lanceur d’alerte jusqu’au délibéré, le 24 avril et au-delà s’il souhaite faire appel. Il est possible de les aider à financer les frais de justice.

     

    Source : lesalonbeige