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centrale nucléaire

  • France 2 cherche à faire croire qu’un missile qui n’a pas explosé s’est planté sur le toit de la centrale nucléaire de Zaporijjia. Sauf que… c’est une cheminée (VIDÉO)

    Publié par Guy Jovelin le 22 août 2022

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    Posté par Eric Martin  Il y a 9 heures

    France 2 cherche à faire croire qu’un missile qui n’a pas explosé s’est planté sur le toit de la centrale nucléaire de Zaporijjia. Sauf que… c’est une cheminée (VIDÉO)

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1560732432076341248

     

     

    Source : JT de 20h de France 2, 19 août 2022

  • L’armée ukrainienne bombarde une centrale nucléaire

    Publié par Guy Jovelin le 18 août 2022

    RIA Novosti, 12 août – Les forces armées ukrainiennes ont bombardé la centrale nucléaire de Zaporizhzhya avec des missiles guidés de fabrication occidentale, a déclaré un porte-parole de la nouvelle administration militaire et civile de la région, Vladimir Rogov.
    « Le fait qu’il s’agisse de missiles guidés est ce qui les rend dangereux. Ils volent vers l’endroit où ils ont été envoyés », a-t-il déclaré sur la chaîne Rossiya 24. Selon lui, l’un des obus est tombé « à dix mètres du site de stockage du combustible nucléaire ».

    La centrale nucléaire de Zaporizhzhya est située sur la rive gauche du fleuve Dniepr, près de la ville d’Energodar. Il s’agit de la plus grande centrale nucléaire d’Europe en termes de nombre d’unités et de capacité installée. Six unités de puissance sont installées dans la centrale. Elle est sous la protection de l’armée russe depuis mars.

    Les troupes ukrainiennes ont tenté à plusieurs reprises d’attaquer le territoire de l’usine depuis le début de l’opération spéciale. Les bombardements ont augmenté depuis le 5 août. Jeudi 11 août, le colonel général Mikhaïl Mizintsev, chef du Centre de gestion de la défense nationale russe, a déclaré que la centrale thermique et l’équipement des piscines du système de refroidissement du réacteur nucléaire ont été endommagés après des tirs d’artillerie provenant de la colonie de Nikopol.

    Le Média en 4-4-2.

  • Pourquoi la France est contrainte de faire tourner à plein ses centrales à charbon

    Publié par Guy Jovelin le 09 janvier 2021

    By  BFMTV 3 min View Original 06/01/2022

     
    Centrales nucléaires à l’arrêt, absence de vent… Le ministère de la Transition écologique va faire voter un décret pour produire pendant 1000 heures de l’électricité via ses centrales à charbon pourtant 70 fois plus émettrices de CO2 que les centrales nucléaires.

    Rallumer le charbon pour éviter le black out. C’est ce que vient de décider le gouvernement qui s’apprête à faire voter un décret autorisant un recours accru aux centrales à charbon pour passer l’hiver.

    D’ici fin janvier, ce texte va permettre aux centrales à charbon françaises de fonctionner pendant 1000 heures jusqu’au 28 février alors qu’elles n’avaient jusqu’à présent le droit qu’à 700 heures sur l’année.

    Ce sont donc les deux centrales à charbon qui restent sur notre territoire qui vont tourner à plein ces deux prochains mois: celle d’EDF à Cordemais (Loire-Atlantique) et celle de GazelEnergie à Saint-Avold (Moselle). Cette dernière devrait définitivement fermer en mars prochain.

    Un quart des réacteurs à l’arrêt

    Pour rappel la production d’électricité via une centrale à charbon est 70 fois plus émettrice de CO2 que via une centrale nucléaire. Le charbon émet en moyenne 820 grammes équivalent CO2 au kWh contre 12 grammes pour le nucléaire.

    Ce recours accru au charbon s’explique par un manque de capacité nucléaire actuellement dans l’Hexagone. Une douzaine de réacteurs sur 56 sont à l’arrêt en France pour maintenance. On est à seulement 76% de notre capacité de production.

    D’une part parce qu’avec le Covid, le calendrier de maintenance a été chamboulé et d’autre part parce que quatre réacteurs (les plus gros d’EDF) ont dû être arrêtés en France pour un problème technique.

    La fermeture de Fessenheim en cause?

    Bref en l’absence de vent, le pays se retrouve contraint de s’appuyer sur le charbon pour éviter les coupures en plein hiver.

    On va évidemment reparler de la fermeture de Fessenheim en juin 2020 qui aurait pu pallier le manque actuel. Du côté du ministère de la Transition écologique on assure pourtant que même avec Fessenheim ça n’aurait rien changé. Les centrales actuellement à l’arrêt représentent huit fois la capacité de Fessenheim.

    Dans notre mix énergétique, le recours au charbon commence déjà à se voir. Selon l’application Electricity Map, on était 8 heures ce jeudi matin à plus de 1,5% de notre électricité qui provenait du charbon. Contre moins de 0,5% en temps normal.

    Un recours au charbon qui se fait évidemment sentir sur nos émissions globales. Ce jeudi à 8 heures, nous émettions 110 grammes de CO2 par kWh contre 75 normalement en hiver.

    Et si l’hiver s’avère plus rude et que le charbon ne suffit pas, RTE peut activer certains dispositifs du plan EcoWatt comme la réduction de la consommation des gros industriels, des baisses de tension de 5% et enfin en dernier recours des coupures de courant ciblées de 2 heures. Fin décembre, le gestionnaire du réseau n’écartait pas ce scénario.

    « Rien n’est plus sot que de traiter avec sérieux de choses frivoles »

    Rien n’est plus sot que de traiter avec sérieux de choses frivoles ; mais rien n’est plus spirituel que de faire servir les frivolités à des choses sérieuses.

     

    Source :view.robothumb.com

  • Des colis pouvant contenir de l'explosif ont mobilisé les démineurs à la centrale nucléaire de Golfech

    Publié par Guy Jovelin le 28 novembre 2019
    Des traces de nitrate d’ammonium sur des colis ont provoqué le déplacement des démineurs, ce jeudi matin à la centrale nucléaire de Golfech
    Des traces de nitrate d’ammonium sur des colis ont provoqué le déplacement des démineurs, ce jeudi matin à la centrale nucléaire de GolfechPhoto DDM, Max Lagarrigue
    Publié le  , mis à jour 
    l'essentielLa présence de matière explosive détectée lors d'un contrôle de sécurité sur une palette contenant plusieurs colis, a provoqué la fermeture du site nucléaire de Golfech, ce jeudi. Les démineurs sont également intervenus sur les lieux. Pas d'explosif dans les cartons suspects mais du nitrate d'ammonium. Le périmètre de sécurité a été levé à 13 heures, le personnel du site nucléaire a pu alors regagner son travail.

    Des colis réceptionnés à la centrale nucléaire de Golfech (Tarn-et-Garonne) pouvant contenir des traces de matières explosives, ont provoqué la mobilisation des démineurs, ce jeudi. Il est environ 10 h 30 lorsqu'un transporteur dépose une palette de cinq colis dans l'espace magasin relais, hors partie industrielle du site nucléaire tarn-et-garonnais.

    Comme à chaque fois qu'un colis doit entrer, une procédure de contrôle est mise en place. C'est lors de cette vérification que les agents de sécurité du site via leur appareil de détection, ont signalé la présence d'explosif. Les chiens des gendarmes du PSPG (peloton de sécurité et de surveillance) de Golfech confirmant cette présence, un périmètre de mise en sécurité du personnel est mis en place en même temps qu'une équipe de démineurs est mobilisée. 

    Après avoir passé au crible les colis, les experts en déminage ont confirmé la présence de trace de nitrate d’ammonium, un produit généralement utilisé dans la fabrication d’engrais mais qui peut aussi servir à fabriquer de l’explosif. "C'est la raison pour laquelle nos appareils ont détecté de l'explosif", confirme-t-on du côté de la centrale. Au terme de ces vérifications vers 13 heures, les colis étant sans danger, le périmètre de sécurité de 450 mètres a été levé et les accès du site fermés durant toute cette procédure, rouverts. 

    Quant à la présence de ces traces de nitrate d'ammonium suspectes, elles auraient pu être déposées sur ces cartons contenants des sacs de déchets neufs lors de leur acheminement, le transporteur ayant pu transporter auparavant de l'engrais.