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autriche

  • Autriche : en tête des sondages pour les législatives, le FPÖ défend l’idée de la « remigration » (MàJ : en hausse de 13 points, il arrive en tête avec 29,1% des voix selon les premières estimations)

    Publié par Guy de Laferrière le 30 septembre 2024


    29/09/2024

    Le Parti autrichien de la liberté (FPO) a remporté dimanche les élections législatives, plaçant l’extrême-droite en position de force pour former une coalition pour la première fois depuis la Seconde guerre mondiale, montrent des projections de sortie des urnes, mais sans l’assurer de pouvoir trouver un partenaire de gouvernement.

    Conduit par Herbert Kickl, le FPO a obtenu 29,1% des voix [soit une hausse de 13 points par rapport au scrutin précèdent], devant le Parti du peuple autrichien (OVP) du chancelier Karl Nehammer, avec 26,2% des voix, et les Démocrates sociaux de centre-gauche (20,4%), selon une projection de l’organisme de sondage Foresight pour le média ORF publiée peu après la fermeture des bureaux de vote à 17h00.

    Si la victoire de Herbert Kickl est confirmée, le profil de l’homme politique de 55 ans pourrait se révéler un obstacle aux yeux des leaders des autres partis pour former une coalition. Le leader du FPO n’a jusqu’ici pas donné d’indication sur une éventuelle volonté de sa part de se mettre en retrait pour garantir que son parti dirige le gouvernement autrichien.

    MSN/Reuters

    25/09/2024

    Favori des sondages depuis des mois, Herbert Kickl, chef du Parti de la liberté d’Autriche (FPÖ, extrême droite), a décidé de faire campagne pour les élections législatives autrichiennes organisées dimanche 29 septembre en fuyant la plupart des demandes d’interview de médias établis. […]

    Dans son programme, M. Kickl reprend ouvertement le vocabulaire très particulier de ce dernier, assurant vouloir transformer son petit pays de neuf millions d’habitants en « forteresse », où « le droit d’asile sera stoppé ». Il prône aussi la « remigration », afin de rendre à l’Autriche « l’homogénéité de son peuple ». Poussé à préciser ses intentions, M. Kickl a notamment évoqué l’idée de retirer la nationalité à tout naturalisé « qui s’attaque à nos valeurs », mais certains de ses candidats ont été jusqu’à évoquer la « remigration » (soit le retour dans leur pays d’origine) des « écoliers qui manquent de respect » à leurs professeurs, ou même des simples « racailles ». [..]

    « Le concept de “remigration” est repris de manière de plus en plus positive, constate M. Kranebitter. On observe un glissement vers la droite de la population depuis la crise migratoire de 2015 puis la pandémie de Covid-19, avec une perte de confiance dans les institutions démocratiques et une montée du soutien aux thèses les plus radicales. » […]

    Le Monde

  • Autriche : vers une repentance covidique ?

    Publié par Guy de Laferrière le 19 février 2023

    lesobservateurs

    Autriche – Après avoir été, il y a un an, à la pointe d’un covidisme des plus extrêmes ayant suscité une levée de boucliers sans précédent dans un pays habituellement paisible, le gouvernement autrichien (chrétiens démocrates et verts) a déjà annoncé en janvier l’abrogation de toutes les mesures covidiques. Ce faisant, le chancelier Karl Nehammer (ÖVP) – dont le parti est en chute libre dans les sondages – va plus loin et vient de jeter un véritable pavé dans la mare.

    En effet, lors d’une conférence de presse, ce mercredi 15 février, le chef du gouvernement autrichien a notamment annoncé la mise en place prochaine d’une commission chargée de faire la lumière sur les décisions concernant les mesures covidiques dictées par des « experts », auxquels le gouvernement – selon les propres termes employés par le chancelier – a été véritablement « soumis » :

    « Aller les uns vers les autres doit être au centre des préoccupations, il faut aussi avoir une vision de l’avenir de notre pays et de notre société face aux grands défis. […]

    Appelons un chat un chat : le Corona a été une sorte de traumatisme pour notre société, que nous devons maintenant surmonter ensemble.

    Cette pandémie était la première pandémie de l’histoire récente, aucun d’entre nous n’avait fait cette expérience auparavant, même pas nos grands-parents. C’était quelque chose de totalement nouveau, qui nous a frappés de plein fouet et qui nous a mis face à des défis sans précédent en tant que société.

    Une analyse critique et impitoyable est donc un devoir et en même temps une condition préalable pour guérir ces blessures sociales et surmonter le traumatisme ».

    « Nous étions soumis aux experts »

    De plus, Karl Nehammer entend désormais tendre la main à « tous ceux qui ne se sont plus sentis les bienvenus au sein de la société à cause de la pandémie et de ses conséquences ». Et d’enfoncer le clou au sujet notamment de la vaccination obligatoire : « Tout doit être mis à plat. […]

    Nous étions soumis aux experts, maintenant les experts doivent expliquer pourquoi ils sont arrivés à [ces] décision[s]. »

    Du côté de l’opposition, le FPÖ – qui s’est très rapidement opposé avec véhémence au covidisme d’État et qui est actuellement crédité de 29 % dans les sondages – la démarche du chancelier a été qualifiée de « dérisoire », tandis que son président, Herbert Kickl a ainsi résumé ce que devrait désormais faire le gouvernement de Karl Nehammer :

    « Reconnaître sa faute, se repentir et ouvrir la voie à de nouvelles élections. »

    Quant aux « experts », certains d’entre eux ont d’ores et déjà réagi avec étonnement à la volte-face du chancelier. Ainsi le statisticien Erich Neuwirth, pour qui

    « les politiques ne devraient être soumis à personne, exiger des experts des explications compréhensibles pour eux avant de prendre des décisions,

    [et] ne pas demander des explications aux experts après coup pour les décisions qu’ils ont prises – et non les experts. »

    Même son de cloche de la part du spécialiste en biologie moléculaire et expert covidiste Ulrich Elling, pour qui la déclaration du chancelier Nehammer est « une phrase scandaleuse qui témoigne d’une incompréhension du rôle des experts. Les politiciens – et eux seuls – décident. » Enfin, pour le pneumologue Arschang Valipour, il est « étrange de rejeter maintenant sur les experts la responsabilité des clivages dans la société. »

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    Extrait de: Source et auteur

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  • Autriche : les autorités sont confrontées à une importante vague migratoire. L’État se dit « dépassé »

    Publié par Guy de Laferrière le 04 décembre 2022

    Auteur : 

    Pauvres envahisseurs appelés par les journalistes « réfugiés »

    En Autriche, les autorités font face à une forte hausse du nombre d’arrivées de demandeurs d’asile. Depuis janvier 2022, 96 000 demandes d’asile ont été enregistrées en Autriche. À ce chiffre, s’ajoute l’arrivée des réfugiés ukrainiens. Les centres d’hébergements sont surchargés et des zones d’attentes sont installées partout dans le pays.

    La vidéo de France24 :

     

     

    Si la gestion est incontrôlable, c’est par la faute du gouvernement autrichien que « ne garantit pas sur place un accueil digne à ces personnes« , pleurniche la journaliste de France 24, chaîne du service public français, chaine totalement immigrationniste.

    Quand à ceux qui voudraient voir dans cette invasion la continuation du grand remplacement, attention Big Brother veille…

     

    Source : medias-presse.info

  • Afflux record de migrants en Autriche : plus de 3.000 clandestins sont entrés dans le pays cette semaine

    Publié par Guy Jovelin le 22 septembre 2022

    lesobservateurs

    En images : des milliers de migrants veulent rallier l’Autriche à pied ...

     

    Le gouvernement autrichien est appelé à résoudre le problème de l’immigration clandestine, alors que plus de trois mille migrants et réfugiés en situation irrégulière sont entrés dans le pays cette semaine, dépassant ainsi le record atteint au cours de la première semaine de septembre.

    Alors que les élections présidentielles sont prévues pour le 9 octobre et que la plupart des candidats appartiennent à l’extrême droite du spectre politique, la campagne électorale a placé des questions telles que l’immigration au premier plan dans le débat.

    L’Autriche a connu un afflux considérable de réfugiés cette année, puisqu’elle en a enregistré 47 000, contre 19 000 en 2021. La plupart sont originaires du Moyen-Orient, notamment d’Afghanistan, du Pakistan et d’Inde.

    « Les mauvais records se succèdent chaque semaine. Mais cela ne semble toujours pas inciter l’actuel ministre de l’Intérieur de l’ÖVP, [Gerhard] Karner, à agir », a expliqué Hannes Amesbauer, porte-parole de la sécurité du FPÖ (parti d’extrême droite), qui a mis en garde contre « 100 000 réfugiés illégaux ».

    Le gouvernement a également été la cible du SPÖ social-démocrate, qui est actuellement membre de l’opposition.

    « Le ministre de l’Intérieur [Gerhard] Karner est complètement débordé par les programmes d’asile », explique le parti. Ils notent une incapacité à chercher des solutions internationales « raisonnables ».

    Pendant des années, les questions relatives aux réfugiés ont dominé la politique autrichienne, les politiques les plus restrictives ayant été mises en œuvre pendant le mandat de deux ans du ministre de l’Intérieur FPÖ, Herbert Kickl.

    Cela signifie que le Président actuel du pays, Alexander van der Bellen, qui est plutôt de gauche, pourrait être contesté après tout, car la politique en matière d’accueil des réfugiés est traditionnellement de droite.

    S’il ne parvient pas à obtenir une majorité simple au premier tour, la droite, réunie derrière le candidat FPÖ Walter Rosenkranz, pourrait défier M. van der Bellen.

    Un second tour similaire en 2016 avait vu l’extrême droite frôler la victoire.

    Euractiv.fr

     

    Extrait de: Source et auteur

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  • Autriche : Alors que des policiers d’élite interpellaient un islamiste turc de 18 ans soupçonné de terrorisme, la mère du suspect a écrasé l’un des agents avec sa voiture, le blessant grièvement

    Publié par Guy Jovelin le 31 juillet 2022

    Autriche – La mère d’un fanatique islamiste turc a renversé un agent de police des forces spéciales Cobra pour sauver son fils. L’homme est grièvement blessé.

    Des événements terribles ont eu lieu samedi à Sellrain, dans le Tyrol (district d’Innsbruck-Land) : Comme le rapporte le journal “Krone”, une femme, mère d’un partisan de l’Etat Islamique (18 ans), a percuté avec sa voiture un policier, qui a été grièvement blessé.

    Mais comment en est-on arrivé là ? Suite à un signalement des autorités allemandes à l’Office pour la protection de la Constitution concernant un partisan présumé de Daech, la Direction du renseignement et de la protection de l’État (DSN) a immédiatement ouvert une enquête. Les accusations ont été confirmées. “Je vais couper la tête des fonctionnaires !”, a posté l’islamiste sur les réseaux sociaux.

    Les forces spéciales Cobra sont alors intervenues. Au lieu de se rendre aux policiers d’élite lourdement armés, la mère et le fils ont tenté de fuir. Elle a accéléré et a renversé l’un des hommes. Les autres officiers ont arrêté les deux suspects. L’enquête est en cours.

    Exxpress.at via fdesouche