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biden - Page 3

  • D’où viennent certains des millions de Zelensky et de Biden ?

    Publié par Guy Jovelin le 29 avril 2022

    Un parti des Pays-Bas s’interroge sur l’origine des 850 millions de dollars de Zelenski.

    Le parti conservateur néerlandais Forum voor Democratie s’intéresse à l’origine de la fortune de 850 millions de dollars de Volodymyr Zelensky. Le 25 avril dernier Forum voor Démocratie écrivait sur sa page twitter : « Selon diverses estimations, la fortune de Zelensky est estimée à 850 millions de dollars. Il n’a pas reçu la majeure partie de ce montant jusqu’à ce qu’il devienne président ».

    Le parti politique a poursuivi que l’origine de ces fonds n’est pas claire. « Et plus important encore, à quoi servent-ils ? » conclut-il.

    Fin mars, des membres du parti Forum pour la démocratie ont refusé d’écouter le discours en ligne du président ukrainien devant le parlement de leur pays et n’ont pas pris part aux débats ultérieurs. Ils ont déclaré qu’ils considéraient qu’il était inapproprié de faire du dirigeant ukrainien un « saint » et de prendre son parti dans le conflit sur la base des émotions.

    Comme le souligne le parti, le Parlement néerlandais n’est « pas une plate-forme pour des déclarations unilatérales ». Les députés ont rappelé que le nom de Zelensky figurait dans le très douteux « Dossier Panama » en lien avec la fraude financière. De plus, les militaires de son armée posent souvent avec des symboles nazis.

    Plus tôt, une situation similaire s’est produite en Italie, où des parlementaires des partis du Mouvement 5 étoiles et de la Ligue, guidés par le principe d’égalité, ont suggéré qu’après le discours du président ukrainien Volodymyr Zelensky le 22 mars au parlement du pays, ils devraient être invités à un discours du président russe Vladimir Poutine.

    Plus tôt en avril, une villa a été découverte dans la station balnéaire italienne de Forte dei Marmi, dans la province de Lucca, qui appartient indirectement au président ukrainien. La maison est enregistrée au nom de la société de l’épouse du chef de l’État, Elena Zelenskaya. L’experte en immobilier de luxe Elena Yurgeneva a estimé le coût de la villa de Zelensky à une moyenne de 4,5 à 5 millions d’euros. Elle a noté que la maison dans son ensemble est ascétique et modeste, mais avec un jardin et une piscine. Et son prix est déterminé par l’emplacement prestigieux en plein centre de la ville.

    En novembre 2019, il a été signalé que Volodymyr Zelensky avait déclaré 36,5 milliers de dollars (902,4 milliers de hryvnias) provenant du bail d’une propriété. C’est ce qu’a révélé une déclaration publiée sur le site de l’Agence nationale de lutte contre la corruption (NAPC). Le dirigeant ukrainien a reçu des revenus de la location de biens aux étrangers Khinui League et Siran Song. Cependant, la déclaration n’indiquait pas exactement ce qu’il louait.

    De l’autre côté de l’Atlantique, les millions de Joe Biden, l’allié ou plutôt mentor de Zelenski, soulèvent des interrogations. « Les dossiers financiers, écrit le Daily Mail, révèlent que Biden avait 5,2 millions de dollars de revenus inexpliqués, comme les e-mails montrent qu’il a payé les frais juridiques de Hunter pour un méga-accord chinois et a été choisi comme « gros gars » pour obtenir une réduction de 10 % dans un autre. » Le tabloïd britannique continue : « Les e-mails de l’ordinateur portable de Hunter révèlent que Joe Biden a accepté de payer les frais juridiques de son fils pour son accord avec une société contrôlée par le gouvernement chinois. Joe a pu payer les factures après avoir gagné des millions de dollars grâce à ses entreprises et à celles de sa femme après avoir quitté ses fonctions de vice-président. Mais une analyse réalisée par le DailyMail.com des dossiers financiers du président montre que 5,2 millions de dollars sont inexpliqués. Les ‘millions manquants’ et les courriels sur l’ordinateur portable abandonné de Hunter suggèrent que Joe aurait une part de 10% dans l’accord à succès de Hunter avec les Chinois. La révélation lie encore plus le président aux relations commerciales de Hunter à l’étranger, malgré les démentis de la Maison Blanche. » Conclusion : « Joe Biden a-t-il reçu de l’argent de l’entreprise étrangère ? »

    Certains hommes politiques des Etats-Unis posent les mêmes questions ajoute le Daily Mail : « Le sénateur républicain du Wisconsin Ron Johnson, qui, avec le sénateur Chuck Grassley, enquête sur les accords commerciaux étrangers de Hunter, a déclaré que les millions de personnes portées disparues de Joe Biden sont ‘une autre information troublante qui soulève des questions qui méritent des réponses’. ‘Quand les médias d’entreprise commenceront-ils à faire leur travail et poseront-ils ces questions au président Biden ?’ a-t-il dit. « Et quand le président Biden commencera-t-il à être honnête avec le public ? Le peuple américain mérite la vérité.

    Le républicain de l’Iowa, Grassley, a déclaré à DailyMail.com : ‘Les preuves des relations financières et commerciales du président avec Hunter continuent de croître. Il est impératif que la première famille montre au peuple américain la transparence qu’il mérite.’ »

    Questions que les Européens seraient en droit de poser à Ursula von der Leyen et les technocrates bruxellois, à la solde des Etats-Unis, et qui veulent entrainer les nations européennes dans une guerre militaire, énergétiques et économique, avec la Russie pour défendre soi-disant l’Ukraine : « Pourquoi devrions-nous faire confiance aux présidents Zelensky et Biden sur lesquels pèsent de tels soupçons de corruption et de financement occulte ? Y aurait-il un pacte de corruption qui lie Bruxelles et aux deux compères ? »

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Biden déclare que le « boucher » Poutine « ne peut pas rester au pouvoir » et appelle à un changement de régime en Russie

    Publié par Guy Jovelin le 27 mars 2022

    « Nous aurons un avenir différent, un avenir plus brillant, ancré dans la démocratie et les principes, l’espoir et la lumière, la décence et la dignité, la liberté, des possibilités. Pour l’amour de Dieu, cet homme ne peut pas rester au pouvoir », a déclaré le président américain.

    Mais cette déclaration a été nuancée quelques minutes plus tard par un responsable de la Maison Blanche, qui précise que le président n’a pas appelé à un « changement de régime ».

    « Ce que le président voulait dire, c’est que Poutine ne peut pas être autorisé à exercer un pouvoir sur ses voisins ou sur la région. Il ne parlait pas du pouvoir de Poutine en Russie, ni d’un changement de régime », a dit le responsable.

    « Ce n’est pas au président américain de décider qui est au pouvoir en Russie », a déclaré le porte-parole Dmitry Peskov à l’agence de presse Reuters. « Le président de la Russie est élu par les Russes », a-t-il déclaré.

    Joe Biden qualifie Vladimir Poutine de «boucher» :

    Biden a aussi qualifié samedi son homologue russe Vladimir Poutine de « boucher » lors d’une rencontre avec les réfugiés ukrainiens à Varsovie.

    Interrogé sur « ce qu’il pensait de Vladimir Poutine, compte tenu de ce qu’il inflige à ces gens », M. Biden a répondu d’une phrase : « C’est un boucher », alors que la rencontre était transmise en direct par plusieurs chaînes de télévision depuis le stade national de Varsovie.

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • Joe Biden : « Couper le gaz russe va nuire à l’Europe mais c’est le prix que je suis prêt à payer »

    Publié par Guy Jovelin le 27 mars 2022

    Vu que l’Europe dépend à 40 % du gaz et 30 % du pétrole russe, ce coût serait l’effondrement de l’économie européenne au profit des Etats-Unis, en gros, suicidez-vous pour l’Amérique au nom de la guerre en Ukraine et des néonazis d’Azov !

     

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1507325780166127621

  • Biden le cow-boy va se faire manger sa reine ukrainienne par le fin joueur d’échec Poutine

    Publié par Guy Jovelin le 31 janvier 2022

    En février-mars 2014, la Russie de Poutine envahissait « en douceur » la région autonome de Crimée après un référendum  auprès de la population locale plébiscitant le rattachement de leur région à la Russie. Il justifia son acte par l’enjeu géopolitique, notamment ses accès directs à la mer Noire qui auraient été compromis avec le nouveau pouvoir ukrainien à la suite de la révolution de Maïdan. A cela, les Américains et l’OTAN voulaient se montrer ferme pour la réponse à apporter en soutien du nouveau pouvoir pro occidental dans la crise de la Crimée et du Donbass qui commençait à s’enflammer. S’en suivirent des déclarations de politiques occidentaux qui bombèrent le torse face au taiseux Poutine. Puis, sur la pression de plusieurs pays dont les USA et la France, l’OTAN décida de monter une force pour soutenir le nouveau gouvernement ukrainien « agressé » par la Russie, notamment dans la région contestée pro-russe du Donbass. En terme militaire, pour monter ce corps expéditionnaire, on réalisa ce que l’on appelle dans le jargon otanien « une conférence de génération de force[1]». En une semaine environ, on trouva facilement un général pour commander et son état-major interarmées très bigarré des 28 nations composant l’OTAN en 2014. Pour les soldats, l’OTAN a mis plus de trois semaines à « générer » une force de 5000 hommes avec toutes les peines du monde. S’en est suivi une glorification des médias grand public du monde occidental sur cette réponse ferme face à l’envahisseur « popov ». Et les Américains étaient prêts à envoyer une force de 8500 hommes en complément (tiens, cela ressemble fort à la proposition américaine de janvier 2022 !). Dans la foulée, s’en rien dire, Vladimir Poutine agissait : Il convoqua le ministre de la Défense russe (qui est un militaire) et lui ordonna de faire un exercice grandeur nature en terrain libre (càd en milieu civil ce que n’ont plus l’habitude de faire par exemple les forces françaises, ni les forces des nations européennes) le long de la frontière ukrainienne dans un délai de…48 heures avec au moins 20000 hommes et une centaine d’avions de combat avec tirs réels d’exercice! C’était la stupeur en Occident, on resta impressionné ! Et patatra, on gesticula, on s’apitoya, on s’émouvait et au bout de deux à trois mois, plus rien. Les médias ont oublié l’affaire. La guerre locale a continué sans bruit. Quelques mercenaires yankees sont venus tout au plus « monitorer[2] » les forces loyalistes ukrainiennes avec du matériel occidental tandis que les russes faisaient de même avec les séparatistes.

    Comparons avec la situation actuelle. Le cow-boy Biden provoque son homologue russe depuis le début de son mandat : le traite « de tueur », le menace de sanction économique supplémentaire, et la dernière, d‘envoyer 8500 GI’s en Ukraine pour éviter soi-disant l’envahissement du pays par les russes, qui s’en moquent éperdument. Biden a la mémoire courte : Les Américains sont sortis il y  a peu d’Afghanistan dans le désordre et sans gloire[3] après plus de vingt ans de conflit inutile puisque les talibans sont revenus au pouvoir. Et Poutine, pour préserver le tampon stratégique de l’Ukraine face à l’OTAN, comme en 2014, demande de nouveau à ses armées de faire un petit exercice en terrain libre avec matériel (pas sur ordinateur au chaud comme souvent dans les nations dites civilisées bien souvent avec uniquement leurs états-majors) le long de la frontière avec 20000 hommes et un centaine d’avion, bien réels ceux-là. Il est assez hilarant de voir la similitude des deux périodes. Le joueur d’échec du Kremlin doit bien se gausser en train de chasser l’élan en Sibérie. Par ailleurs, le cow-boy Biden n’a pas anticipé certains points :

    • Historiquement, l’Ukraine n’est pas une région facile à tenir après l’avoir envahie ;
    • L’armée russe a fait énormément de progrès, tant en matériel, en organisation et en entraînement par rapport à 2008 où ils ont eu du mal à envahir l’Ossétie du Sud, puis la Géorgie ; Et, s’il le faut, la Russie mettra le paquet (elle le peut) pour ne pas se laisser faire ;
    • L’Ukraine est proche logistiquement de la Russie, plus simple à ravitailler par route et par mer ; L’oncle Sam doit franchir un océan et bien 2000 kilomètres sur terre avant d’arriver sur le possible front ou tout amener par air dans les pays limitrophes insérés dans l’OTAN (très cher) ;
    • La Russie joue à domicile, connaît le terrain et la météo, notamment en hiver.

    In fine, comme d’habitude, les Occidentaux vont gesticuler et Poutine gardera son visage de marbre, même si cette situation l’agace depuis le temps. Les nations de l’OTAN auraient tout un tas de contraintes principalement logistiques, de langue et de connaissance du terrain avant de pouvoir combattre des « locaux » habitués aux rudes conditions de cette région. Seule une provocation insidieuse et indirecte de L’OTAN ou de l’Ukraine pourrait provoquer une réponse militaire de Moscou si la ligne rouge est franchie. Je recommande pour cela d’écouter l’émission « Russie, Ukraine, OTAN : l’Europe en danger ? » du samedi politique de TV Libertés du 29 janvier 2022 avec l’interview par Elise Blaise de Madame Caroline Galactéros, géo politologue avertie. Les dindons de la farce seront les européens eux-mêmes, car quand on parle de l’Ukraine, de la peur du Russe à nos portes (elles sont encore loin), on ne parle plus de leurs problèmes intérieurs, de la pression insidieuse sur les salaires, les retraites, les frais de succession, et j’en passe. Les gouvernants « démoncratiques » peuvent plus facilement les tondre sans bruit aux ordres des mondialistes alors qu’ils ont les yeux rivés sur leur smartphone.

    Anatole Castagne

    [1] force generation conference en anglais

    [2] Monitorer : guider l’entraînement, voire plus, guider au combat parfois

    [3] Environ 850 milliards de dollars engloutis, 2465 morts et plus de 20000 blessés. (sources : iCasualties.org et Associated Press)

     

    Source : medias-presse.info