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  • Le président américain Biden avertit Israël de ne pas attaquer Israël

    Publié par Guy de Laferrière le 18 avril 2024

    « J’ai dit clairement aux Israéliens de ne pas bouger vers Haïfa. »

     

     
     
  • Joe Biden a traité Vladimir Poutine de « fils de pute cinglé » et ce dernier lui a répondu [VIDEO]

    Publié par Guy de Laferrière le 23 février 2024

    il y a environ 11 heures

    Le président américain a qualifié de « fils de pute cinglé » son homologue russe ce mercredi. Ce qui n’a pas plu au Kremlin.

    Les insultes se sont multipliés ce mercredi 21 février à San Fransisco, en Californie. Lors d’une rencontre avec des donateurs du Parti démocrate, Joe Biden a traité Vladimir Poutine de tous les noms d’oiseaux. Devant un petit groupe de journalistes, à propos de son homologue russe, le président américain a utilisé les trois lettres « SOB », un raccourci pour « son of a bitch », insulte traduisible en français par « salopard », « connard », voire « fils de pute ».

    « La menace existentielle, c’est le changement climatique. Il y a bien ce salopard cinglé qu’est Poutine, et d’autres, et il faut toujours s’inquiéter d’une guerre nucléaire, mais la menace existentielle pour l’humanité c’est le changement climatique », a aussi lancé Joe Biden.

    Poutine réaffirme sa position et affirme qu’il préfère toujours Biden

    Poutine réaffirme sa position et affirme qu’il préfère toujours Joe Biden à Donald Trump à la Maison Blanche.

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1760770670370103659

    Poutine a répondu à Biden, qui l’avait qualifié de « fils de pute cinglé ».

    « En jugeant par ce qu’il vient de dire, j’avais tout à fait raison car c’est une réaction adéquate à mes remarques », a déclaré Poutine.

    « Il ne peut pas me dire, bien joué, merci, tu m’as beaucoup aidé.’… Cette réaction est totalement adéquate », a-t-il ajouté en parlant de ce qui est le mieux pour la Russie, en souriant : « Je l’ai dit une fois et je peux le répéter : Biden. »

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • Macron à Biden : « Il nous faut savoir redevenir frères d’armes »

    Publié par Guy de Laferrière le 03 décembre 2022

     

    En visite chez son patron jeudi 1er décembre 2022, le président euro-français a fait l’éloge de l’amitié franco-américaine, puis a carrément enchaîné la France à la politique belliqueuse du pouvoir profond US, incarné par le pantin désarticulé Joe Biden. Ses propos sur « savoir redevenir frères d’armes » ne présagent rien de bon.

    L’alignement sur l’Empire est total. On croyait avoir tout vu avec Sarkozy (2007-2012) qui faisait son jogging en maillot NYPD, mais là, Macron nous enchaîne aux guerres américaines, contre les Russes d’abord, les Chinois ensuite. Deux puissances nucléaires, rappelons-le, qui possèdent à elles deux 15 fois plus de têtes nucléaires que nous.

    Macron, redevenu tout petit, a ravalé ses idées de paix négociée entre Russes et Ukrainiens, expliquant à son boss qu’il ne « pousserait jamais les Ukrainiens à accepter un compromis qui serait inacceptable pour eux », et acceptant une réponse commune aux « défis posés par la Chine ». Qu’en termes diplomatiques tout cela est dit !

    Cette soumission honteuse pour notre pays vient au moment où l’Amérique profite du conflit ukrainien pour détruire la production européenne, Allemagne et France en tête. Objectivement, l’Amérique est en guerre contre l’Europe, et la saigne énergétiquement avec un conflit qu’elle espère durable, proposant déjà ses fonds de pensions (dont BlackRock) pour la reconstruction de l’Ukraine.

    Officiellement, le couple Macron-Biden lutte pour les « libertés » et les « droits humains » partout dans le monde, c’est-à-dire partout où l’Empire n’a pas encore pu mettre ses rangers et imposer sa propre charia. L’Iran est aussi dans le viseur américano-français, ce qui achève de détruire tout le travail d’indépendance diplomatique français depuis 60 ans, et qui était source de respect pour notre pays.

    Macron, l’envoyé d’une Leyen corrompue jusqu’à l’os par l’Empire et ses multinationales, est allé chercher ses ordres à la Maison Blanche. Le constat est sans appel : l’Amérique va se refaire la pelote (entre autres avec l’Inflation Reduction Act) sur le dos de l’Europe, qui a été punie pour s’être trop rapprochée de la Russie.

    Le monument d’inversion accusatoire de Joe Biden

    Le vieux pédophile peut à peine articuler, mais il arrive à lire son texte (à 13’03, la traduction) :

    « L’OTAN, aux côtés de l’Union européenne du G7 et de partenaires du monde entier, la France et les États-Unis font face à l’ambition de conquête de Vladimir Poutine et à la guerre brutale de la Russie contre l’Ukraine qui a une nouvelle fois fracassé la paix sur le continent européen. »

    Ensuite, le pédophile branlant élu par une fraude massive évoque les « valeurs » communes entre nos deux pays et les « droits humains », qui sont évidemment et uniquement ceux des Occidentaux inféodés à l’Empire, et qui ne représentent plus la majorité des êtres humains, qu’on en juge par la montée des BRICS et la multipolarisation du monde.
    Mais ce n’est pas grave, l’illusion démocratique doit être injectée aux peuples dont les gouvernements sont clairement des agresseurs et des colonisateurs.

     

    SOURCEegaliteetreconciliation
     
     
  • Biden signe un décret pro-avortement et veut légaliser le meurtre d’enfants jusqu’à la naissance

    Publié par Guy Jovelin le 12juillet 2022

    En réponse à la décision de la Cour suprême annulant la sentence Roe vs Wade, la décision de 1973 qui légalisait le meurtre d’enfants à naître dans tous les Etats-Unis, Joe Biden a signé le 8 juillet un décret exécutif pour soutenir l’accès à l’avortement aux États-Unis. La mesure aura cependant un impact limité. Les démocrates espèrent une victoire lors des élections de mi-mandat pour faire passer une loi autorisant l’avortement jusqu’à la naissance. Mais la popularité de Biden est au plus bas. Pendant ce temps, le silence complice de la Maison Blanche se poursuit sur les attaques contre les églises et les centres pro-vie (une dizaine rien que la semaine dernière) et sur les menaces contre les juges conservateurs.

    Sous la pression de ses camarades du parti à la Chambre et au Sénat, des multinationales avorteuses, des philanthropes à la Soros et des gouverneurs démocrates de certains États, Joe Biden a signé le décret exécutif « sur la protection de l’accès aux services de soins de santé reproductive », formalisant des instructions aux départements de la Justice et de la Santé et les Services sociaux pour contrer les tentatives visant à limiter la capacité des femmes à accéder aux médicaments abortifs approuvés par le gouvernement fédéral ou à voyager à travers les frontières de l’État, pour accéder aux services des cliniques d’avortement.

    Etaient présents à la signature du décret, la vice-présidente Kamala Harris, le secrétaire du ministère de la Santé Xavier Becerra et le procureur général adjoint Lisa Monaco. Le décret exécutif oblige également les agences à s’efforcer d’éduquer les prestataires de services médicaux et les assureurs sur la manière et le moment où ils sont tenus de partager des informations privilégiées sur les patients avec les autorités, afin de protéger les femmes qui recherchent ou utilisent les « services » d’avortement. Biden appelle également la Federal Trade Commission à prendre des mesures pour protéger la vie privée de celles qui cherchent des informations sur l’avortement et à créer un groupe de travail inter-institutions pour coordonner les efforts fédéraux visant à garantir l’accès à l’avortement. Le président des Etats-Unis a également demandé à son personnel de réunir des avocats bénévoles pour fournir aux femmes et aux avorteurs une assistance juridique gratuite afin de les aider à surmonter les nouvelles restrictions imposées étatiques après l’arrêt de la Cour suprême.

    Dans son discours, ouvrant de facto la campagne pour les élections de novembre prochain, Biden a attaqué de front la Cour suprême et ses juges :

    « Ce n’était pas une décision fondée sur la Constitution… Nous ne pouvons pas permettre qu’une Cour suprême incontrôlable, qui travaille en collaboration avec des éléments extrémistes du Parti Républicain, nous enlève la liberté. »

    Il a demandé aux citoyens de voter pour les candidats du Parti démocrate parce que seul le Congrès pourrait adopter une loi qui annule toutes les dispositions pro-vie au niveau des États fédérés individuels et libéralise l’avortement jusqu’à la naissance :

    « Nous avons besoin de deux autres sénateurs pro-choix supplémentaires et d’une Chambre pro-choix pour codifier la sentence Roe. »

    Les réactions au discours et au décret de Biden ont été fortes. Le président de l’organisation d’avortement Naral Pro-Choice America, Mini Timmaraju, a qualifié l’ordonnance de Biden de « première étape importante dans la restauration des droits retirés à des millions d’Américains par la Cour suprême ». Au lieu de cela, la présidente du groupe pro-vie Susan B. Anthony Pro-Life America, Marjorie Dannenfelser, a condamné le décret de Biden, affirmant que le président « a une fois de plus cédé au lobby extrême de l’avortement, déterminé à mettre tout le poids du gouvernement fédéral derrière la promotion de l’avortement ».

    Ni un mot ni une ligne ne sont sortis de la Maison Blanche pour calmer les esprits, pas même une parole pour condamner la persistance des menaces contre les juges. Quelques heures plus tôt à peine, le juge Brett Kavanaugh avait été contraint de sortir par la porte dérobée d’un restaurant de Washington, suite aux menaces d’une patrouille de jeunes avorteurs. Biden n’a rien dit non plus sur les gangs violents d’anarcho-avorteurs qui poursuivent leur action dévastatrice : 10 églises et centres pro-vie pillés la semaine dernière. Il s’agit du Birthright Pregnancy Center à St. Paul, Minnesota ; de Care Net de la Puget Sound Pregnancy Clinic à Kenmore, Washington ; de Clearway Clinic et Problem Pregnancy, tous deux à Worcester, Massachusetts. Les lieux de culte vandalisés étaient trois églises catholiques de Chippewa Falls (Holy Ghost, Notre Dame, St. Charles Borromeo) ; l’église catholique Saint-Pierre à Bloomer, Wisconsin ; l’église missionnaire évangélique de la Bible et une salle des Témoins de Jéhovah, toutes deux à Sumner, Washington.

    Après la déclaration de guerre de Soros à la démocratie américaine, et l’interview non moins belliqueuse accordée au Guardian par Alexis McGill Johnson, PDG de Planned Parenthood, qui s’est engagé à investir 150 millions de dollars pour les candidats à l’avortement en novembre prochain, Biden et les dirigeants du Parti démocrate ont décidé de prendre parti, en vue des élections de novembre, en faveur de la libéralisation complète du meurtre d’enfants conçus et totalement contre tout principe de séparation des pouvoirs.

    Malheureusement pour Biden, comme le préviennent plusieurs stratèges électoraux démocrates, les citoyens ressentent les affres de la crise. La cote de popularité du numéro un de la Maison Blanche chute dramatiquement (il est le pire président depuis 1953) et les derniers sondages sont de plus en plus favorables aux limites et interdictions de l’avortement, avec une nette majorité de citoyens (90%) s’opposant à la proposition du Parti Democrate de légaliser l’avortement jusqu’à la naissance.

    « Maintenant, après les décisions et un nouvel engagement explicite de Biden, quel soin pastoral le Vatican et les évêques américains adopteront-ils envers Hérode et ses frères ? » se demande un journaliste italien .

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • « Joe ! », au G7, l’intervention remarquée de Macron qui interpelle Biden devant les caméras

    Publié par Guy Jovelin le 29 juin 2022

    La séquence faussement naturelle a été remarquée et critiquée. Le lundi 27 juin, lors du deuxième jour du Sommet du G7 au château d’Elmau, en Allemagne, Emmanuel Macron a interpellé Joe Biden, alors que celui-ci était en pleine conversation. Emmanuel Macron l’a rattrapé prestement en criant « Joe ! », avant de lui signifier qu’il avait contacté le président des Émirats arabes unis pour lui « demander d’augmenter sa production » de pétrole, dans un contexte international tendu et dans le sillage d’un embargo européen sur le pétrole russe. Les caméras des différents médias ont capturé cet échange improvisé.

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1541539035931463681