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  • Le Royaume-Uni impliqué aux côtés d’Israël dans la guerre au Moyen-Orient

    Publié par Guy de Laferrière le 03 octobre 2024

    Le Royaume-Uni impliqué aux côtés d'Israël dans la guerre au Moyen-Orient

    Guerre messianique pour le Grand Israël

    Quelles seront les conséquences de la guerre messianique déclarée par Israël pour construire le Grand Israël par l’invasion de nations souveraines telles que le Liban ? Le Liban sera-t-il « anéanti » par Israël comme l’a promis un ministre israélien ?

    Jusqu’où le conflit peut-il s’étendre ? Quelles nations vont s’impliquer dans ce conflit par solidarité avec l’une ou l’autre des parties ?

    Communiqué officiel du secrétaire britannique à la Défense

    Il ne faisait aucun doute que les Etats-Unis voleraient au secours d’Israël. Mais l’implication britannique est désormais également officielle. Le secrétaire britannique à la Défense, John Haley, a annoncé que ses forces étaient impliquées dans la défense d’Israël contre l’attaque iranienne qui a suivi l’agression du Liban par Israël, agression qui vise bien entendu aussi les chrétiens du Liban.

    Pierre-Alain Depauw

    Le Royaume-Uni impliqué aux côtés d'Israël dans la guerre au Moyen-Orient

     

    Source : medias-presse.info

  • Le Royaume-Uni et le Canada font pression sur Biden pour intensifier les tensions avec la Russie, malgré l’avertissement de Poutine d’une ‘guerre’ avec l’OTAN

    Publié par Guy de Laferrière le 15 septembre 2024

     
    Vendredi, John Kirby, le porte-parole du Conseil de sécurité nationale américain, a déclaré aux journalistes que la politique américaine n’avait pas changé concernant l’utilisation par l’Ukraine d’armes occidentales pour des frappes de longue portée à l’intérieur de la Russie.

    La pression monte rapidement : d’abord, le ministre canadien Trudeau a déclaré qu’il était favorable à cette initiative, bien que Poutine ait clairement indiqué que cela signifierait une « guerre directe » entre la Russie et l’OTAN, et maintenant, le Premier ministre britannique Keir Starmer apporte son soutien à cette initiative.

    Selon des responsables américains et occidentaux, le Premier ministre britannique Keir Starmer devrait exhorter le président Biden, vendredi, lors d’une visite à Washington, à autoriser l’Ukraine à utiliser des missiles de croisière de longue portée fabriqués en Europe pour frapper des cibles à l’intérieur de la Russie.

    Une décision visant à lever l’interdiction faite à Kiev d’utiliser le missile Storm Shadow, qui peut atteindre des cibles à une distance de 155 miles, pour tirer sur la Russie constituerait une victoire majeure pour l’Ukraine, qui demande depuis des mois aux pays occidentaux d’assouplir les restrictions sur les armes à longue portée.

    Certes, Zelensky l’a essentiellement imploré, mais nous doutons fortement qu’une « victoire » s’ensuive, d’autant plus que, comme nous le détaillons ci-dessous, Poutine a encore de nombreuses cartes en main et qu’il est probable qu’il intensifie ses attaques contre Kiev de manière importante.

    Quelques heures plus tôt, le Premier ministre Trudeau avait clairement exprimé sa position :

    Le Canada soutient pleinement l’utilisation par l’Ukraine d’armes à longue portée pour « empêcher la Russie de continuer à dégrader les infrastructures civiles ukrainiennes », a déclaré vendredi le Premier ministre Justin Trudeau.

    Trudeau a déclaré aux journalistes que le président russe Vladimir Poutine tentait de déstabiliser profondément l’ordre international fondé sur des règles et a ajouté : « C’est pourquoi le Canada et d’autres pays sont sans équivoque sur le fait que l’Ukraine doit gagner cette guerre contre la Russie ».

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • « Acceptez d’être plus pauvres », la déclaration de la banque centrale du Royaume-Uni soulève la colère

    Publié par Guy de Laferrière le 04 mai 2023

    Huw-Pill-economiste-en-chef-de-la-banque-centrale-d-angleterre-britanniques-plus-pauvresLes Britanniques « doivent accepter » d’être plus pauvres et donc renoncer aux revendications d’un ajustement salarial face au coût élevé de la vie. La déclaration a suscité une vive colère des deux côtés de l’échiquier politique britannique.

    Pour freiner l’inflation, les ménages et les entreprises britanniques doivent cesser de rechercher des augmentations de salaire et de faire monter les prix

    Les ménages et les entreprises britanniques « doivent accepter » d’être plus pauvres et cesser de rechercher des augmentations de salaire et de faire monter les prix, a déclaré l’économiste en chef de la Banque d’Angleterre, Huw Pill, suscitant une vive controverse.

    Bien qu’il s’agisse d’une personnalité indépendante, ses propos ont irrité à la fois le gouvernement conservateur, qui depuis un certain temps ne semble pas aimer l’ingérence supposée de la banque centrale sur des questions politiques ou des dossiers tels que la crise post-Brexit, ainsi que les journaux et l’opposition de centre-gauche pour l’approche apparemment hyper-libérale.

    Cette affirmation de Pill survient dans un temps morose économiquement et alors que les ménages et les entreprises tentent de répercuter leurs coûts plus élevés.

    S’exprimant sur un podcast produit par la faculté de droit de Columbia, Pill a déclaré qu’il était naturel pour un ménage de rechercher des salaires plus élevés en réponse à la flambée des factures d’énergie, ou pour un restaurant d’augmenter ses prix. Cependant, il a déclaré que le Royaume-Uni est un gros importateur de gaz naturel et que son prix a beaucoup augmenté par rapport aux exportations, principalement des services, que le Royaume-Uni vend au reste du monde.

    « Si le coût de ce que vous achetez a augmenté par rapport à ce que vous vendez, vous allez être moins bien loti », a-t-il déclaré. « Donc, d’une manière ou d’une autre, au Royaume-Uni, quelqu’un doit accepter qu’il soit moins bien loti et cesser d’essayer de maintenir son pouvoir d’achat réel en augmentant les prix, qu’il s’agisse de salaires plus élevés ou de répercuter les coûts énergétiques sur les clients. »

    « Et ce à quoi nous sommes confrontés maintenant, c’est cette réticence à accepter que, oui, nous sommes tous plus mal lotis, et nous devons tous prendre notre part. »

    Pour freiner l’inflation, les ménages et les entreprises britanniques doivent cesser de rechercher des augmentations de salaire et de faire monter les prix

    Autrement, Ce « jeu de passe-partout », a-t-il dit, génère une inflation qui pourrait être persistante.

    Ce n’est pas la première fois qu’un responsable de la Banque d’Angleterre est critiqué pour des suggestions indélicates sur la manière de contenir l’inflation. Au début de l’année dernière, Andrew Bailey, le gouverneur de la banque, a déclaré qu’il fallait « modérer les négociations salariales » afin que l’inflation ne devienne pas incontrôlable. D’ailleurs, certains responsables politiques de la Banque centrale européenne ont exprimé une préoccupation similaire.

    Les commentaires de Pill risquent d’attirer de nouvelles critiques selon lesquelles Threadneedle Street est déconnecté de la crise du coût de la vie, à un moment où les travailleurs du secteur public ont fait grève alors qu’ils cherchaient des augmentations de salaire pour correspondre ou battre l’inflation.

    Surtout, cette déclaration survient le jour où Nestlé, PepsiCo et McDonald’s ont tous signalé que leurs recettes avaient augmenté cette année, tandis que les familles britanniques sont confrontées à une inflation de 17,3 % dans les supermarchés.

    Alors que les salaires de Bailey et Pill restent extrêmement confortables : Bailey a été payé 495 000 £, soit 563251 €, au cours de l’année jusqu’au 28 février 2022, tandis que M. Pill gagne 190 000 £ (environ 216 000 €) par an. Selon les dernières données officielles, le revenu disponible moyen médian des ménages l’année dernière était de 32 300 £, qui correspond à 36753 €. M. Pill a rejoint la Banque d’Angleterre après avoir quitté la Harvard Business School. Il a auparavant travaillé chez Goldman Sachs et à la Banque centrale européenne.

    L’establishment bancaire et économique est déconnecté de la crise du coût de la vie

    Le taux d’inflation global au Royaume-Uni a diminué moins que prévu en mars, à 10,1 % contre 10,4 % en février, les ménages subissant la pression des prix des aliments et des boissons qui ont grimpé à leur rythme annuel le plus rapide depuis 1977. Les factures d’énergie des ménages sont plus du double de ce qu’elles étaient il y a deux ans, tandis que de nombreux ménages ont également du mal à payer l’épicerie. L’inflation alimentaire est d’environ 19 %, le rythme annuel le plus élevé depuis plus de 45 ans.

    Le message de l’économiste en chef de la Banque d’Angleterre, présenté comme un moyen de freiner l’inflation, est bien mal passé… car ce sont ces mêmes banquiers, financiers, économistes, qui ont dirigé les politiques économiques des pays occidentaux au cours des décennies passées, donc provoqué la grave crise économique actuelle, qui aujourd’hui viennent demander aux citoyens qu’ils ont appauvris de fournir des efforts dont ils s’exonèrent eux-mêmes.

    Les peuples européens commencent à se réveiller de cette imposture.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Immigration illégale : le Royaume-Unis va verser à la France, sur trois ans, 550 millions d’euros pour la surveillance des côtes de la Manche

    Publié par Guy de Laferrière le 10 mars 2023

    Ce vendredi 10 mars, la France et l’Angleterre ont conclu un accord pour mettre un frein à l’immigration illégale lors du sommet franco-britannique à Paris. Une réunion de “retrouvaille, reconnexion, et nouveau départ” a dit le président Emmanuel Macron, où il a beaucoup été question des migrants qui veulent traverser la Manche sur des bateaux de fortune. En 2022, 46.000 migrants ont réussi gagner les côtes anglaises de manière clandestine. Le Royaume-Uni va contribuer à hauteur de 550 millions d’euros, avec 500 agents supplémentaires sur les côtes françaises, un nouveau centre de rétention va être installé dans le Nord Pas-de-Calais.

    Lors de cette réunion, le premier ministre Britannique Rishi Sunak a annoncé qu’au cours des trois prochaines années, le Royaume-Unis va contribuer à hauteur de 550 millions d’euros pour la lutte contre l’immigration clandestine. 500 agents supplémentaires vont ainsi patrouiller sur les plages françaises. Des drones et d’autres technologies de surveillance vont être mis en place pour augmenter le taux d’interception. Pour lutter contre la présence de migrants à Calais ou Grande-Synthe, il faut plus de coopération entre la France et l’Angleterre, estime Emmanuel Macron.

    Un nouveau centre de rétention administrative va être installé dans le Nord-Pas-de-Calais comme l’a confirmé le ministère de l’Intérieur à France Bleu Nord. Le lieu reste à déterminer. Le président Emmanuel Macron a souligné que les deux pays voulaient “avancer de concert” dans la lutte contre l’immigration irrégulière tout en ayant “conscience des enjeux humains” et de “l’extrême sensibilité de ces sujets”.

    France Bleu via fdesouche

  • La Russie met en garde contre les « conséquences pour le monde entier » si le Royaume-Uni envoie des avions de chasse en Ukraine

    Publié par Guy de Laferrière le 09 février 2023

    lesmoutonsrebelles

     

    Le gouvernement britannique ayant clairement indiqué qu’il « explore » la possibilité d’envoyer des avions de combat à l’Ukraine, à savoir ses jets Typhoon, lors d’une visite de l’Ukrainien Zelensky à Londres, la Russie a réagi férocement. Le Premier ministre Sunak a expliqué plus tôt :

    « La première étape pour pouvoir fournir des avions de pointe est d’avoir des soldats ou des aviateurs capables de les utiliser. C’est un processus qui prend du temps. Nous avons commencé ce processus aujourd’hui », a déclaré Sunak lors d’une conférence de presse avec le président ukrainien Volodymyr Zelenskyy, après avoir annoncé que la Grande-Bretagne formerait des pilotes ukrainiens.

    « Rien n’est hors de la table et notre leadership sur cette question est quelque chose dont nous devrions tous collectivement être très fiers. »

    L’ambassade de Russie au Royaume-Uni a rapidement mis en garde contre les « conséquences militaires et politiques pour le continent européen et le monde entier » en réponse.

    Quant aux États-Unis, le Pentagone a déclaré le même jour qu’il n’avait encore « rien à annoncer » concernant d’éventuelles livraisons d’avions de chasse à l’Ukraine. Bien sûr, tout cela est déjà entendu concernant les chars d’assaut, qui ont récemment été approuvés.

    Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s’est présenté au Royaume-Uni mercredi, rendant une visite surprise aux dirigeants d’un pays qui a été l’un des principaux soutiens de l’Ukraine depuis le début de l’invasion russe.

    Ce n’est que le deuxième voyage connu de Zelensky hors d’Ukraine depuis le début de la guerre, le premier étant son apparition devant le Congrès américain en décembre. Il a rencontré le Premier ministre Rishi Sunak au 10 Downing St., juste avant que Sunak n’annonce que la Grande-Bretagne allait former davantage de troupes ukrainiennes. Dans une allocution spéciale au Parlement, Zelensky n’a pas caché qu’il était là pour faire pression…

     

    Sunak a mentionné la formation des pilotes d’avions de chasse, dans ce qui semble être une anticipation de l’approbation future par les alliés de l’OTAN de la fourniture de jets occidentaux. Il n’en reste pas moins que l’opposition européenne à la fourniture de jets reste importante, mais Sunak a déclaré dans un communiqué de presse que la formation visait à « garantir que les pilotes soient capables de piloter des avions de combat sophistiqués répondant aux normes de l’OTAN à l’avenir ».

    Sunak a en outre promis des missiles et des systèmes d’armes avec « des capacités de plus longue portée et a juré mercredi, « Nous continuerons à soutenir l’Ukraine pour assurer une victoire militaire décisive sur le champ de bataille cette année. »

    « Le Royaume-Uni a été l’un des premiers à venir en aide à l’Ukraine », a déclaré Zelensky à son arrivée en Grande-Bretagne. « Aujourd’hui, je suis à Londres pour remercier personnellement le peuple britannique pour son soutien et le Premier ministre Rishi Sunak pour son leadership. »

    Dans son discours d’invité spécial au Parlement, Zelensky a salué le soutien indéfectible du Royaume-Uni à Kiev, affirmant que la Grande-Bretagne « marche avec nous vers la plus importante victoire de notre vie. »

    Et bien sûr, il en a profité pour renouveler son appel aux avions de combat occidentaux. « Des avions de combat pour l’Ukraine », a-t-il dit. « Des ailes pour la liberté ».

    « Il y a deux ans, j’ai quitté le Parlement en vous remerciant pour le délicieux thé anglais. Aujourd’hui, je quitterai le Parlement en vous remerciant tous d’avance pour les puissants avions anglais« , a déclaré Volodymyr Zelensky dans une allocution devant les députés. –Axios

    Zelensky a également été salué par le roi Charles III lors d’une visite au palais de Buckingham. Apparemment autorisé à faire une exception extrêmement rare en matière de protocole royal, Zelensky n’était pas en costume-cravate, mais a conservé son sweat-shirt vert olive.

    Plus tard dans la journée, les journalistes ont demandé au 10 Downing St si cela signifiait que le gouvernement britannique avait pris la décision d’envoyer des avions de combat britanniques en Ukraine, ce à quoi la réponse a été que la Grande-Bretagne « ne cherche pas à envoyer des avions de combat Typhoon en Ukraine pour le moment ».

    Un porte-parole de Sunak a ajouté que toute offre impliquant des jets ferait partie d’une « solution à long terme » – ce qui suggère que cela serait fait en coopération avec d’autres alliés occidentaux, qui ne sont pas encore sur la même longueur d’onde.

     

    Lu sur AD