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insultes

  • Joe Biden a traité Vladimir Poutine de « fils de pute cinglé » et ce dernier lui a répondu [VIDEO]

    Publié par Guy de Laferrière le 23 février 2024

    il y a environ 11 heures

    Le président américain a qualifié de « fils de pute cinglé » son homologue russe ce mercredi. Ce qui n’a pas plu au Kremlin.

    Les insultes se sont multipliés ce mercredi 21 février à San Fransisco, en Californie. Lors d’une rencontre avec des donateurs du Parti démocrate, Joe Biden a traité Vladimir Poutine de tous les noms d’oiseaux. Devant un petit groupe de journalistes, à propos de son homologue russe, le président américain a utilisé les trois lettres « SOB », un raccourci pour « son of a bitch », insulte traduisible en français par « salopard », « connard », voire « fils de pute ».

    « La menace existentielle, c’est le changement climatique. Il y a bien ce salopard cinglé qu’est Poutine, et d’autres, et il faut toujours s’inquiéter d’une guerre nucléaire, mais la menace existentielle pour l’humanité c’est le changement climatique », a aussi lancé Joe Biden.

    Poutine réaffirme sa position et affirme qu’il préfère toujours Biden

    Poutine réaffirme sa position et affirme qu’il préfère toujours Joe Biden à Donald Trump à la Maison Blanche.

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1760770670370103659

    Poutine a répondu à Biden, qui l’avait qualifié de « fils de pute cinglé ».

    « En jugeant par ce qu’il vient de dire, j’avais tout à fait raison car c’est une réaction adéquate à mes remarques », a déclaré Poutine.

    « Il ne peut pas me dire, bien joué, merci, tu m’as beaucoup aidé.’… Cette réaction est totalement adéquate », a-t-il ajouté en parlant de ce qui est le mieux pour la Russie, en souriant : « Je l’ai dit une fois et je peux le répéter : Biden. »

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • Ostwald (67) : un père de famille intervient lorsqu’il voit un jeune insulter sa compagne ; il est tabassé jusqu’à la perte de conscience devant ses enfants qui “hurlaient et pleuraient” ; Yassim Lamri, déjà connu pour violences, condamné

    Publié par Guy de Laferrière le 04 mai 2023

    Jeudi dernier aux alentours de 16 heures, un quadragénaire se rend avec ses deux enfants dans un parc d’Ostwald au niveau d’une aire de jeux. Il aperçoit un jeune homme qui insulte sa petite amie. Il décide d’intervenir pour mettre fin au différend en lui demandant de se calmer.

    Inconscient à côté de ses enfants qui « hurlaient et pleuraient »

    En représailles, il subit un véritable déluge de violences de la part du majeur, accompagné d’un mineur : coups de pied, coups de poing au visage. Il est retrouvé inconscient, le visage en sang dans l’herbe à côté de ses enfants qui « hurlaient et pleuraient », relève le président du tribunal, Bertrand Gautier. (…)

    Pour sa défense, le prévenu explique que la victime l’a tiré puis lui a asséné le premier coup. « Il a fait le warrior avec moi. Il m’a mis une patate. Je me suis défendu », se justifie-t-il.

    Déjà connu pour des faits de violence, le tribunal a condamné Yassim Lamri à quatre ans de prison ferme avec maintien en détention. (…)

    L’Alsace via fdesouche

  • “La boule au ventre” : Agressions, menaces, insultes… un collège de Blanquefort (33), près de Bordeaux, contraint de fermer ses portes à cause de l’explosion des violences entre élèves

    Publié par Guy de Laferrière le 04 janvier 2023

    Enseignants, surveillants et agents du collège Dupaty de Blanquefort, commune voisine de Bordeaux en Gironde, dénoncent une montée de la violence au sein de leur établissement depuis plusieurs mois. Ils ont décidé de cesser le travail pour “collège en danger” en ce jour de rentrée.

    La dernière bagarre que j’ai vue, quelqu’un s’est retrouvé avec un nez qui saignait” raconte Marius, un autre élève de quatrième. “Il y a beaucoup d’agitation dans la cour, des cris dans les couloirs, des gens qui tapent aux portes” mais lui avoue avoir fini par s’habituer. “Je n’y fais pas plus attention que ça. C’est surtout pour les sixièmes que c’est compliqué”.

    Il évoque aussi une nouvelle pratique qui consiste à donner une tape derrière la tête à celui qui arrive avec les cheveux fraîchement coupés. “Ça fait mal, mais ça va” sourit l’adolescent.

    Ras-le-bol 

    C’est la première fois que l’on fait une telle action. Il y a un ras-le-bol, on est très fatigué“. Sophie Calland est professeure de Lettres. Elle se tient devant le collège avec quelques collègues en grève en ce mardi matin de rentrée. 

    (…) “Il y a trop d’agressions, des crachats, des coups de pied, des cailloux jetés par les fenêtres” affirme cette enseignante rencontrée par notre équipe sur place, Karim Jbali et Jean-François Géa.

    France 3


    Le collège Dupaty, situé à Blanquefort (Gironde), a fermé ses portes ce mardi. Parents et professeurs protestent contre les faits de violences qui règnent à l’intérieur de l’établissement.

    À bout de nerfs. Devant les grilles du collège Dupaty, à Blanquefort (Gironde), parents et professeurs affichaient ce mardi 3 janvier un regard inquiet. Malgré la rentrée des classes en France, cet établissement scolaire n’a reçu aucun élève. Une vingtaine de professeurs souhaitent alerter sur une violence devenue quotidienne dans ce collège. “J’ai la boule au ventre quand je traverse la cour et que je vois ces mouvements de foule. Quand je vois que le seul intérêt des enfants, c’est de provoquer des bagarres ou que le jeu c’est de taper l’autre. […] Il faut leur expliquer que ce n’est pas la norme !”, témoigne une femme auprès de nos confrères de TF1 Info.

    Le personnel enseignant de l’établissement et des jeunes affirment avoir vu le nombre de bagarres entre élèves augmenter sensiblement au sein de l’établissement. À ce point d’ailleurs que des élèves n’osent pas se rendre aux toilettes et évitent certaines zones de la cour de récréation. “On sait qu’il y en a certains qui s’en fichent des sanctions, vu que ce n’est pas assez fort. Et comme il n’y a pas de surveillants, il y en a qui sont capables de faire beaucoup”, témoigne une jeune fille.

    La Dépêche

  • Insultes, menaces, agressions, tirs de mortiers… : à La Salvetat-Saint-Gilles (31), près de Toulouse, des riverains excédés subissent la loi de jeunes mineurs

    Publié par Guy de Laferrière le 20 novembre 2022

    À La Salvetat-Saint-Gilles, dans l’Ouest toulousain, des riverains excédés subissent la loi de jeunes mineurs en perte de repères.

    Insultes, menaces, voitures vandalisées, agressions physiques…, la liste noire des nuisances et des délits s’alourdit aux yeux de ces riverains excédés. Depuis un an et demi, les résidents du boulevard Albert Camus, à La Salvetat-Saint-Gilles, petite localité de l’ouest toulousain, n’en finissent plus d’égrainer les événements qui pourrissent leur quotidien. Il y a Julien, la trentaine, (les prénoms ont été changés) qui préfère passer par le garage de son immeuble, avant de sortir, « pour éviter la confrontation directe avec les jeunes et les insultes homophobes », Yvonne qui n’ose plus fumer sa cigarette sur son balcon, « depuis qu’ils balancent des fusées d’artifice sur les terrasses, j’ai peur d’en recevoir une… » et Arthur qui a carrément déménagé, victime d’une violente agression. Sorties de terre en 2008, ces résidences coquettes de deux étages, non loin du collège, s’ouvrent sur de vastes terrains vagues.

    (…) La Dépêche via fdesouche

  • Macron se fait insulter en Algérie, le jour même de son retour il se fait insulter au Touquet

    Publié par Guy Jovelin le 30 août 2022

    lesmoutonsrebelles

    Voir le président de la république française se faire insulter en Algérie à Oran après avoir improvisé un bain de foule puis ensuite le voir, le jour même de son retour en France, dans sa propre ville, le Touquet, se faire insulter par un artiste et entendre le public reprendre l’insulte dans la joie et la bonne humeur !

    C’est dire à quel point cet énergumène est détesté par la population française. Pire encore, selon l’artiste Marc Rebillet, la direction du festival lui a demandé le remboursement de sa prestation pourtant effectuée en bonne et due forme ! Apparemment l’esprit Charlie a quitté la ville du Touquet… Encore une fois, voici la démonstration que la liberté d’expression, notamment la liberté d’insulter, n’est pas systématique, elle n’est valable que lorsqu’il s’agit d’une certaine catégorie de la population, jamais les puissants.

    Logiquement, dans n’importe quel pays civilisé, dirigé par une véritable élite, on devrait se poser la question de cette haine qu’il suscite puisque Macron se fait systématiquement huer à chaque déplacement, il a même reçu une gifle d’un citoyen français !

     

    source : Le Libre Penseur