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tirs de mortiers

  • Insultes, menaces, agressions, tirs de mortiers… : à La Salvetat-Saint-Gilles (31), près de Toulouse, des riverains excédés subissent la loi de jeunes mineurs

    Publié par Guy de Laferrière le 20 novembre 2022

    À La Salvetat-Saint-Gilles, dans l’Ouest toulousain, des riverains excédés subissent la loi de jeunes mineurs en perte de repères.

    Insultes, menaces, voitures vandalisées, agressions physiques…, la liste noire des nuisances et des délits s’alourdit aux yeux de ces riverains excédés. Depuis un an et demi, les résidents du boulevard Albert Camus, à La Salvetat-Saint-Gilles, petite localité de l’ouest toulousain, n’en finissent plus d’égrainer les événements qui pourrissent leur quotidien. Il y a Julien, la trentaine, (les prénoms ont été changés) qui préfère passer par le garage de son immeuble, avant de sortir, « pour éviter la confrontation directe avec les jeunes et les insultes homophobes », Yvonne qui n’ose plus fumer sa cigarette sur son balcon, « depuis qu’ils balancent des fusées d’artifice sur les terrasses, j’ai peur d’en recevoir une… » et Arthur qui a carrément déménagé, victime d’une violente agression. Sorties de terre en 2008, ces résidences coquettes de deux étages, non loin du collège, s’ouvrent sur de vastes terrains vagues.

    (…) La Dépêche via fdesouche

  • Rixheim (68) : trois mineurs mis en examen après des tirs de mortiers sur des logements privés de la gendarmerie, l’un d’entre eux placé en détention provisoire

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2022

    Trois mineurs ont été mis en examen pour “tentative de destruction par moyens dangereux en raison de la qualité de militaire de la gendarmerie des occupants des bâtiments”, ce vendredi par un juge d’instruction de Mulhouse suite à l’attaque à coups de mortiers d’artifice des logements privés de la gendarmerie de Rixheim, dans la nuit de mercredi à jeudi.

    Défavorablement connu des services de police, l’aîné des trois jeunes hommes âgés de 15 à 18 ans a été placé en détention provisoire, conformément à la demande du parquet. Le deux autres, “pas connus” de la justice ont eux été placés “sous contrôle judiciaire strict“, précise ce samedi soir la procureure de la République de Mulhouse, Edwige Roux-Morizot.

    Ces trois jeunes hommes originaires de Rixheim ont été interpellés moins de 24 heures après les faits. Les tirs de mortiers d’artifice n’ont pas occasionné de blessés ni causé de dégâts.

    France Bleu via fdesouche

  • Pau (64) : intervenus pour un feu de poubelle, les policiers caillassés et visés par des tirs de mortiers par des dizaines d’individus cagoulés

    Publié par Guy Jovelin le 07 octobre 2022

    Une nuit agitée dans le quartier palois d’Ousse des Bois entre la nuit du mercredi 5 au jeudi 6 octobre. Intervenus pour un feu de poubelle, des policiers ont été caillassés par des individus en cagoule rapportent les pompiers.

    Le quartier Ousse des Bois a une nouvelle fois été la scène de violences avec les forces de l’ordre dans la nuit du mercredi au jeudi 6 octobre. Un peu après minuit, les pompiers ont été appelés pour un feu de poubelle. C’est la police qui s’est rendue sur place, et elle a été accueillie par une vingtaine d’individus en cagoule. Des faits confirmés par le procureur de la République de Pau.

    Des jets de pierres et tirs de mortier

    Les agents de la brigade anticriminalité ont été visés par des jets de pierre, de bouteille, mais aussi par des tirs de mortier. La brigade anticriminalité (BAC) a réussi à rétablir le calme, et les pompiers ont peu éteindre le feu, qui n’a pas fait de gros dégâts. Il n’y a pas eu de blessés, et personne n’a été interpellé pour l’instant précise le parquet de Pau.

    (…) France Bleu via fdesouche

  • Paris (19e) : De nombreux riverains ont eu à subir des tirs de mortiers et des feux d’artifice sauvages bien après le 14 juillet, “un phénomène nouveau” selon la mairie, les riverains exaspérés et apeurés

    Publié par Guy Jovelin le 30 juillet 2022

    Dans le 19e arrondissement de Paris, de nombreux riverains ont eu à subir des pétards et feux d’artifice sauvages bien après le 14 juillet, un phénomène nouveau selon la mairie d’arrondissement

    Ce sont des habitants fatigués et découragés. Des Parisiens et Parisiennes du 19e arrondissement ont fait part à 20 Minutes des nuisances sonores qu’ils ont rencontrées autour du 14-Juillet, et fait moins commun, bien après cette date. Pétards, tirs de mortier, fusées en pétarade… De nombreux habitants et habitantes ont vu leur sommeil considérablement saccadé pendant parfois près de 10 jours d’affilée, sans compter le danger que représentent ces feux d’artifice non encadrés.

    Nadia* habite près du pont Riquet, dans la cité des Orgues de Flandres. Nous l’avons interviewée le 21 juillet, après neuf jours quasi sans interruption de bruits de pétards. Nous la rencontrons près de chez elle et pouvons constater qu’elle a les traits tirés. « Ce matin, je me suis réveillée à quatre pattes car je n’ai pas dormi de la nuit, nous dit-elle. Les pétards ont commencé le 12 juillet. C’est presque chaque soir depuis. Ça s’est juste un peu calmé le 14 juillet. La nuit du 13 au 14, ils ont fait un feu dans le jardin, les pompiers sont venus, on a paniqué. On se serait cru en guerre. Ma fille de 7 ans criait, pleurait, elle m’a demandé au bout de la troisième fois [troisième session de pétards] à dormir avec moi. La nuit du 19 et la nuit du 20 étaient terribles, cela a duré jusqu’à 3 heures du matin. Cela fait une dizaine d’années que je suis dans le quartier, les années d’avant, on n’avait pas de pétards après le 14 juillet. On pouvait entendre un ou deux pétards gentils, pas grand-chose. Et je suis toujours là le mois de juillet ».

    (…)

    Contactée par 20 Minutes, la mairie centrale affirme que le 19e arrondissement n’a pas été plus touché cette année que les autres années, et n’est pas non plus le plus ciblé des arrondissements. « Cette année on en a eu dans le 20e, dans le 14e, 15e, le 12e… L’an dernier beaucoup dans le 13e… », souligne Nicolas Nordman, adjoint à la sécurité de la mairie de Paris.

    Mais la mairie du 19e arrondissement explique avoir eu effectivement plus de remontées des habitants et habitantes pour les jours suivant le 14 juillet. « On était habitués à ce que ça se passe un peu avant mais pas après le 14 juillet, confirme Adji Ahoudian, adjoint au maire du 19e pour la sécurité. Il y a eu plus de pétards et mortiers utilisés après le 15 juillet. »

    (…)

    D’autres habitants du 19e se sont sentis en insécurité ces nuits-là. « Je n’étais pas rassurée car certains jeunes lançaient des fusées vers nos fenêtres, ils visaient clairement les personnes qui leur faisaient des réflexions », raconte Sarah, habitante du quartier Botzaris, qui a subi des pétards les nuits des 14, 15 et 16 juillet.

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    20minutes.fr via fdesouche

  • Le Mans : appelés pour un incendie, des policiers tombent dans un guet-apens et reçoivent des tirs de mortiers incessants par une cinquantaine d’individus. “On y voyait comme en plein jour”

    Publié par Guy Jovelin le 22 juillet 2022

    Un homme de 21 ans a participé à un guet-apens tendu à la police vendredi 15 juillet 2022 au Mans (Sarthe). Les policiers avaient été la cible de tirs de mortiers.

    Il est 0h30 vendredi 15 juillet 2022, lorsque la police est appelée à la plaine des Glonnieres, au Mans (Sarthe), à la suite de l’incendie d’un container près du petit stade dudit quartier et une voiture de police se rend immédiatement sur les lieux.

    Guet-apens et tirs de mortiers

    Mais une fois sur les lieux, les 3 policiers sont victimes de tirs de mortiers et ne peuvent aller plus loin à cause des caddies du centre commercial tout proche utilisés comme barricades.

    Alors qu’ils essaient d’opérer un demi-tour, les policiers constatent que d’autres caddies liés ont été mis derrière leur véhicule. Ils sont pris dans un guet-apens.

    “On y voyait comme en plein jour “

    Encerclés et bloqués, les policiers subissent les tirs de mortiers enfermés dans la voiture de police. Pendant de longues minutes, une cinquantaine de personnes utilisent leurs engins pyrotechniques. La puissance de feu est tel qu’un policier déclarera plus tard : « on y voyait comme en plein jour ».

    (…)

    Me Agathe Géreau, l’avocate des policiers, a déclaré que les policiers se sont retrouvés sur une « véritable scène de guerre » qui a « salement endommagé » leur véhicule dont ils ont été les prisonniers, car ils ont été empêchés de quitter les lieux.

    Elle a demandé des dommages et intérêts pour les policiers dont elle a souligné le traumatisme.

    (…) Actu.fr via fdesouche