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  • À Pau, on se mobilise pour défendre Christian Espeso

    Publié par Guy de Laferrière le 14 septembre 2024

    lafautearousseau

    À Pau, on se mobilise pour défendre Christian Espeso, directeur de L'Immaculée Conception : Laïcité à l’Immac à Pau : quelque 200 personnes ont manifesté devant l’établissement en soutien au directeur

    • Dans La République des Pyrénées

    • et extrait vidéo (0'13) : Devant l'ensemble scolaire Immaculée Conception à Pau, des centaines d'élèves et parents manifestent pour soutenir l'ex-directeur suspendu par le rectorat :

    https://x.com/SO_Pau/status/1834116890404299232

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  • Pau (64) : excédé par les “deals” sous sa fenêtre, il était descendu de son immeuble avec un bâton et avait été roué de coups par Younès et Magomed

    Publié par Guy de Laferrière le 27 avril 2023

    À la barre du tribunal ce mardi, la victime, un homme de 37 ans à l’époque des faits, rejoue la scène de l’agression subie le 9 novembre 2020 au pied de son immeuble dans le quartier Saragosse, à Pau. Excédé par les « deals » sous sa fenêtre, il était descendu avec un bâton, face à deux jeunes d’à peine plus de 18 ans. Il avait été roué de coups.

    Dans le box des prévenus, il n’y a plus que Younès Mahi, 19 ans à l’époque. Son « collègue » Magomed Alkhanov a refusé d’être extrait du centre pénitentiaire de Mont-de-Marsan où il purge une peine de 6 ans pour violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner. C’était aussi une rixe avec « effet de groupe », déjà dans le quartier Saragosse, près de deux ans plus tôt. Il a été condamné en fin d’année 2022 par la cour d’assises des mineurs.

    Younès reconnaît qu’il dealait au pied de cet immeuble. « J’ai été condamné pour ça à un an de prison. » Une altercation a éclaté avec le riverain depuis sa fenêtre. « J’en avais marre des dealers, j’étais excédé. » Des insultes volent. En train de faire son ménage, le résident balance un seau d’eau en direction des deux jeunes. « Descends si t’es un homme. »

    (…) Elle évoque le nez cassé, la mâchoire abîmée et le genou « en vrac » de son client, mais surtout les suites de cette agression. « Il a vendu son logement et quitté la région ». Lui-même raconte qu’il a encore des angoisses. « Je ne peux plus vivre seul. »

    Pour le ministère public, le « déferlement de violences » est attesté par les constatations médicales pour un riverain excédé par les deals « qui a laissé s’exprimer sa lassitude de manière maladroite ».

    (…) 18 mois dont six mois avec sursis probatoire pour Younès Mahi, 24 mois dont 6 mois de sursis pour Magomed Alkhanov. Ils ont interdiction de contact avec la victime qu’ils devront indemniser à hauteur de 1800 € pour son préjudice moral. Ils ont aussi interdiction de paraître au quartier Saragosse.

    La République des Pyrénées via fdesouche

  • Insécurité à Pau (64) : dans le quartier Saragosse, les habitants sont à bout, certains témoignent anonymement par peur des représailles et disent ne plus sortir de chez eux le soir (MàJ)

    Publié par Guy de Laferrière le 01 novembre 2022

    Après une nuit de violences dimanche soir avenue du Loup, certains résidents ou habitués ont accepté de témoigner, anonymement par peur des représailles, de leur quotidien dans le quartier. Tapage, squat, trafic… certains ne sortent plus de chez eux le soir.

    C’est angoissant“, témoigne une habitante du quartier Saragosse, à Pau, encore traumatisée par l’agression de son mari il y a quatre ans. “On lui a tapé trois fois la tête par terre, brisé des côtes…” depuis, cette résidente ne sort “jamais le soir“. Pour elle, vivre dans le quartier est devenu compliqué. Mais elle y reste, parce qu’il est “trop compliqué de déménager et je ne suis pas en état de le faire“. Après les incendies de deux voitures, des poubelles, et la dégradation de vitrines du quartier dans la nuit de dimanche 30 à lundi 31 octobre, ils sont plusieurs à témoigner de leurs craintes, leur exaspération ou leur sentiment d’être abandonné

    C’est souvent en fin de journée que des jeunes se retrouvent en groupe, en bas des immeubles. On se sent menacés, ils peuvent être un peu agressifs parce que souvent lorsqu’on passe, on les dérange dans leur trafic, raconte un autre habitué du quartier. Des portes d’immeubles ont été vandalisées pour qu’on puisse rentrer facilement, ça a été des squats dans les cages d’escaliers ou les couloirs… et maintenant qu’on est passés à l’heure d’hiver, cela risque de commencer encore plus tôt“. 

    Quand la police arrive, tout le monde s’en va“, poursuit une autre. La police a en effet, depuis deux mois, multiplié les contrôles dans le quartier pour démanteler le trafic de drogue.

    (…) Selon une autre habitante de Saragosse, “c’est aux personnalités politiques d’agir. Ils connaissent tous le problème et c’est une question de politique de la ville. Nous ce qu’on veut c’est vivre bien, on est pour la plupart des smicards, on paye notre taxe foncière, le syndic, nos impôts. Il faudrait qu’on nous considère un peu, c’est une honte !“, s’emporte-t-elle. 

    (…) France Bleu via fdesouche

  • Pau (64) : intervenus pour un feu de poubelle, les policiers caillassés et visés par des tirs de mortiers par des dizaines d’individus cagoulés

    Publié par Guy Jovelin le 07 octobre 2022

    Une nuit agitée dans le quartier palois d’Ousse des Bois entre la nuit du mercredi 5 au jeudi 6 octobre. Intervenus pour un feu de poubelle, des policiers ont été caillassés par des individus en cagoule rapportent les pompiers.

    Le quartier Ousse des Bois a une nouvelle fois été la scène de violences avec les forces de l’ordre dans la nuit du mercredi au jeudi 6 octobre. Un peu après minuit, les pompiers ont été appelés pour un feu de poubelle. C’est la police qui s’est rendue sur place, et elle a été accueillie par une vingtaine d’individus en cagoule. Des faits confirmés par le procureur de la République de Pau.

    Des jets de pierres et tirs de mortier

    Les agents de la brigade anticriminalité ont été visés par des jets de pierre, de bouteille, mais aussi par des tirs de mortier. La brigade anticriminalité (BAC) a réussi à rétablir le calme, et les pompiers ont peu éteindre le feu, qui n’a pas fait de gros dégâts. Il n’y a pas eu de blessés, et personne n’a été interpellé pour l’instant précise le parquet de Pau.

    (…) France Bleu via fdesouche

  • Pau : SOS Médecins en grève ce samedi en réaction à l’agression d’une collègue

    Publié par Guy Jovelin le 29 mai 2022

    Les médecins de l’association ont décidé d’exercer leur droit de retrait en soutien à l’une de leur collègue « menacée de mort » vendredi soir au domicile d’un patient à Pau.

    SOS Médecins Pau a décidé de se mettre en grève ce samedi en réaction à l’agression d’un des médecins de l’association. « Une collègue a été menacée de mort » dénonce ainsi le Dr Sébastien Uyttewaal, président de l’association.

    Les faits ont eu lieu ce vendredi, vers 18 h, boulevard de la Paix à Pau. Le médecin se rend au domicile d’un couple. « C’était des gens alcoolisés. Le mari voulait faire hospitaliser sa femme… Ils se sont énervés et il s’en est pris à ma collègue. Elle a été très choquée, elle était en pleurs » explique Sébastien Uyttewaal.

    (…) Car c’est un peu la goutte d’eau qui fait déborder le vase dans une profession déjà « tendue ». Une cinquantaine de médecins béarnais ont récemment adressé un courrier au président de la République pour dénoncer la situation.

    « Nous en avons un peu marre de tous les trucs que l’on nous impose et surtout du manque de considération » confie ainsi le Dr Uyttewaal.