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euthanasie - Page 4

  • 296 barbares

    Publié par Guy Jovelin le 07 mai 2021

    296 barbares

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    296 députés (la majorité absolue de l’Assemblée) ont écrit au Premier ministre pour lui demander d’inscrire à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale la proposition de loi sur l’euthanasie.

    Le 8 avril, seul l’article 1 avait été adopté. La suite avait été abandonnée, faute de temps, suite aux milliers d’amendements déposés par quelques vaillants élus.

    Malgré la crise sanitaire, les personnes âgées ne meurent pas assez vite…

     

    Source : lesalonbeige

  • La perversion euthanasique

    Publié par Guy Jovelin le 20 avril 2021

    La perversion euthanasique

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    De Martial Deux, entrepreneur, pour le Salon beige.

    Quelle ignoble perversion de vouloir transformer le médecin et ses compagnons les plus proches en tueurs de malades, de vieillards ou de malheureux dépressifs ! Il est tellement plus commode, pour les tenanciers de l’euthanasie et autres Thénardier du suicide, de supprimer la personne plutôt que de soulager son mal-être !

    Pour ces relativistes égoïstes et orgueilleux, à quoi bon vivre puisque tout doit mourir un jour ? Un peu plus tôt ou un peu plus tard, quelle différence ? Voilà la doctrine de ces tristes tueurs “compassionnels”, ceux qui s’approchent de vous le baiser de Judas aux lèvres, la main armée de poison et le cœur étouffé par un tourbillon de pensées homicides.

    « Tu ne tueras pas ! » dit Dieu, qui inscrit aussi cette loi au for intime de l’homme. Et sous ce commandement primordial, la Vie s’est propagée, belle, libre et protégée. Jusqu’à abriter dans sa ramure majestueuse des milliards de vies belles et aimantes dans leur dignité de créatures de Dieu.

    À quoi bon vivre ? Quelle différence de mourir un peu plus tôt ou un peu plus tard ? Une foule de différences pourtant ! Une multitude énorme ! Voyons plutôt ! La Vie. L’Amour. La Paix. Le Repos. L’Espérance. La Force. La Joie. La Douceur. La Patience. La Beauté. La Tempérance. La Lumière. La Sagesse. L’Intelligence. La Vérité. La Pureté. L’Humilité. La Liberté. La Justice. La Bonté. La Charité. Le Bien Véritable. La Compassion. La Mansuétude. La Magnanimité. La Modestie. La Prière. La Foi. Le Remède. Le Salut de l’âme. La Rédemption. La Réélection comme enfant de Dieu. Le Salut de l’âme des membres de la famille, des amis… La Possibilité de Réparer le mal passé et bien d’autres merveilles spirituelles et morales encore, pourvu, POURVU que la personne soit accompagnée DIGNEMENT dans cette voie salvatrice. Car la mort du corps n’est pas une fin définitive. C’est le passage de la vie terrestre à une vie éternelle, celle de l’âme. L’enjeu est de taille : « L’éternité, c’est long, surtout vers la fin » plaisantait Woody Allen.

    Comment faire ? Quelle alternative à l’acharnement thérapeutique ou à l’euthanasie immorale et indéfendable ? Elle existe pourtant en France : les SOINS PALLIATIFS ! Mais qui en bloque encore l’application ? Serait-ce les promoteurs du suicide sur ordonnance infiltrés dans notre corps social et installés au plus haut du pouvoir ? Mais nous n’en voulons pas, de ces mercenaires assassins ! Nous n’en voulons pas, de cette doctrine ignoble qui promeut l’anéantissement de nos frères humains ! Nous n’en voulons pas, des visages de nos parents, époux, enfants, familles, amis, collègues, inconnus écrasés sous la botte d’arguments abjects ! La petite voix insidieuse, qui répète en leitmotiv que la mort est la solution, n’est pas une petite voix qui veut notre bien : elle désire, d’une haleine pestilentielle nourrie de pensées hypocrites, notre suppression définitive !

    Même l’athée le plus engoncé dans son erreur devrait reconnaître honnêtement qu’il n’est pas seulement un corps destiné à pourrir après sa brève existence ! Il possède un niveau spirituel, au-dessus du niveau moral et bien au-dessus du niveau inférieur, matériel et animal, de la chair. L’âme. La partie la plus noble de son être, spirituelle et éternelle depuis sa conception et son infusion par Dieu, Esprit Éternel et Tout-Puissant, dans le bébé qu’il devint à la fécondation.

    Que son destin éternel, après le bref passage terrestre, soit divin ou infernal dépend de sa bonne volonté, car Dieu ne force pas la volonté de l’homme. L’Amour Éternel, qui veut être aimé en retour par toute sa création, ne force pas son enfant à l’aimer : l’amour respecte la Liberté de chacun… Mais celui qui veut Vivre, qu’il choisisse la Vie, le Vrai Vivant, Dieu, Sa Paix, Sa Joie, son Amour… Celui qui veut rejoindre les damnés qui s’en sont détourné définitivement et leur prince infernal, au lieu de courir vers une béatitude de trésors éternels, vers des bras aimants ouverts pour le pardonner et l’accueillir, quel que soit le monceaux de ses péchés (cf. parabole du fils prodigue en St. Luc 15, 11-32), roule à la ruine par la stupidité de l’orgueil. Une fin bien malheureuse pour qui se croyait – à tort – rationnel.

     

    Source : lesalonbeige

  • Le gouvernement des Pays-Bas veut légaliser l’euthanasie des enfants

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2020

    Le gouvernement des Pays-Bas a annoncé mardi son intention de légaliser l’euthanasie pour les enfants malades en phase terminale âgés de un à douze ans.

    Le ministre de la Santé Hugo de Jonge a indiqué qu’il allait rédiger une réglementation sur le sujet, en se basant sur une étude rédigée par des “experts” affirmant que des enfants malades souffraient “désespérément”.

    L’euthanasie est déjà légale aux Pays-Bas pour les plus de 12 ans qui peuvent donner leur consentement, ainsi que… pour les bébés de moins d’un an avec le consentement des parents.

    Par contre, à ce stade il n’existe pas de clauses légales permettant d’euthanasier les enfants d’un à 12 ans, car les autorités néerlandaises n’avaient jusqu’ici pas pu se mette d’accord sur le fait de savoir si des enfants de cet âge sont capables ou non de prendre pareille décision.

    Les ministres du gouvernement de coalition du Premier ministre Mark Rutte sont finalement tombés d’accord sur le sujet mardi après des mois de désaccords.

    Les lois existantes ne seront pas modifiées, mais les médecins seront protégés de toute poursuite pour avoir procédé à une euthanasie autorisée sur un enfant qui souffre, a précisé le ministre de Jonge.

    Le parlement néerlandais devrait encore débattre du sujet jeudi, mais sauf miracle cette réglementation mortifère devrait entrer en vigueur dans les prochains mois.

    Les Pays-Bas et la Belgique voisine furent les premiers pays au monde à légaliser l’euthanasie en 2002.

    La Belgique devint ensuite le premier pays à autoriser l’euthanasie volontaire d’enfants en 2014, suivie rapidement par les Pays-Bas.

     

    Source : medias-presse.info

  • Non à l’euthanasie pour les animaux, oui à l’euthanasie pour les hommes

    Publié par Guy Jovelin le 19 janvier 2020

    La société contemporaine, cette post-modernité où prédomine la culture du choix, connaît ses paradoxes, ou tout au moins qui sont des paradoxes pour les tenants du bon sens. Car il est vrai que pour les apprentis-sorciers de l’utopique société future, l’inversion des valeurs, l’inversion de ce qui fut le Bien pendant 20 siècles en Mal et vice-versa, les paradoxes et les contradictions les plus criantes sont inscrits dans l’idéologie arc-en-ciel qu’ils nous vendent.

    Pour corroborer cette totale inversion qui touche les domaines les plus variés de la vie humaine, l’histoire nous vient des Etats-Unis, cette Amérique pionnière du village global. Le gouverneur de Californie, le démocrate Gavin Newsom, a déclaré, au cours d’une conférence de presse, vouloir mettre fin à l’euthanasie pratiquée dans les refuges pour animaux. A mettre en parallèle avec l’autorisation dans son État de l’euthanasie des êtres humains : le suicide assisté y est légal depuis des années. La Californie doit devenir un Etat « No-Kill », en faveur des animaux… Un No-Kill qui ne vaut pas pour les bébés à naître et les vieillards malades !

    « Ironie du sort » écrit le National Review, « tandis que le gouverneur travaille à sauver les animaux de la mort, la Californie non seulement a légalisé le suicide assisté mais consent aussi à encourager le suicide des malades en phase terminale ».

    Le soin des animaux de ces animalistes ne correspond en aucune façon au respect de la vie et de la nature : c’est tout le paradoxe de la post-modernité où tout est affaire uniquement de choix culturel, sentimental et individuel, pour construire en dépit de la réalité et de la structure morale de la vie humaine son propre mode de vie, et ainsi, dans ce cas, choisir dans une contradiction apparente mais logique dans leur système, la vie des animaux et la mort des hommes

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Victoire maçonnique : Vincent Lambert, handicapé, va être euthanasié sur décision du Conseil d’Etat

    Publié par Guy Jovelin le 24 avril 2019

    Auteur : Rédaction


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    Communiqué de la Fondation Jérôme Lejeune :

    « Le Conseil d’Etat vient de confirmer la décision du Tribunal Administratif de Châlons-en-Champagne d’arrêter de nourrir et d’hydrater Vincent Lambert, ce qui revient à le faire mourir de faim et de soif alors même qu’il est vivant.

    Les experts mandatés par le Tribunal Administratif avaient pourtant précisé dans leur rapport que la prise en charge de Vincent Lambert ne relevait pas de l’acharnement thérapeutique ou d’une obstination déraisonnable.

    La justice ne les a pas suivis. Elle condamne aujourd’hui Vincent Lambert à une mort certaine en s’appuyant sur la loi Claeys-Leonetti qui a ouvert la porte à l’euthanasie en France. Vincent Lambert sera plongé dans un état de sédation profonde et continue jusqu’à la mort, conformément à cette loi. C’est une euthanasie déguisée.

    Condamner à mort Vincent Lambert, c’est signifier aux personnes handicapées que leur vie n’a aucune valeur aux yeux de la société.

    Jean Marie Le Méné, Président de la Fondation Jérôme Lejeune, qui, depuis le début a soutenu les parents de Vincent dans leur combat pour la vie de leur fils, dénonce cette décision et alerte sur la situation des autres patients en état pauci-relationnel qui risquent de connaître le même sort.

    Poursuivant l’œuvre du Professeur Jérôme Lejeune, qui aimait rappeler que « la qualité d’une civilisation se mesure au respect qu’elle porte aux plus faibles de ses membres », la Fondation Jérôme Lejeune ne peut se résoudre à accepter une société qui élimine au lieu de soigner. »

     

    Source : contre-info