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euthanasie - Page 2

  • L’euthanasie des enfants de 1 à 12 ans aux Pays-Bas

    Publié par Guy de Laferrière le 19 avril 2023

    Le ministre de la Santé des Pays-Bas prépare une nouvelle règlementation pour l'euthanasie des enfants
    Le ministre de la Santé des Pays-Bas prépare une nouvelle règlementation pour l’euthanasie des enfants

    Le gouvernement néerlandais est sur le point d’adopter une nouvelle règlementation de l’euthanasie pour les enfants âgés de 1 à 12 ans. La mesure a été annoncée vendredi dernier par le ministre de la Santé, Ernst Kuipers. Pendant ce temps, le nombre de décès par suicide assisté ne cesse de croître dans le pays et représente déjà plus de cinq pour cent de tous les décès.

    Cette nouvelle règlementation concernera l’euthanasie appliquée aux enfants entre 1 et 12 ans qui ont “une maladie ou un trouble si grave que la mort est inévitable”. L’euthanasie des enfants est déjà pratiquée en Belgique et aux Pays-Bas depuis quelques années.

    Le nombre de personnes décédées aux Pays-Bas à l’aide d’une procédure d’euthanasie a augmenté de 13,7% l’année dernière, pour atteindre un total de 8 720 cas, représentant 5,1% de tous les décès enregistrés dans le pays en 2022, selon les chiffres officiels.

     

    Source : medias-presse.info

  • Après la réforme des retraites, l’euthanasie

    Publié par Guy de Laferrière le 05 avril 2023

    Après la réforme des retraites, l’euthanasie

    Le même jour, on apprend qu’un enfant atteint de mucoviscidose alerte sur la pénurie de médicaments pouvant le sauver :

    « Des médicaments sont quasi introuvables », alerte Maxime, atteint de mucoviscidose

    et que Macron veut accélérer sur la fin de vie.

    À la suite des conclusions de la convention citoyenne sur la fin de vie, le président de la République Emmanuel Macron a affirmé ce lundi 3 avril vouloir un projet de loi d’ici la fin de l’été 2023.

    Dans un rapport publié dimanche, les membres de la convention ont répondu «oui» aux trois quarts à une aide «active à mourir» , en assortissant toutefois leurs positions de restrictions, dont on sait qu’elles sont là pour rassurer les indécis mais qu’elles disparaitront au moment opportun, comme tous les garde-fous sur l’avortement.

    Emmanuel Macron a également plaidé pour un «plan décennal national pour la prise en charge de la douleur et pour les soins palliatifs ».

     

    Source : lesalonbeige

  • Canada : le scandale de l’euthanasie proposé aux vétérans handicapés se poursuit

    Publié par Guy de Laferrière le 16 février 2023

    Canada : le scandale de l’euthanasie proposé aux vétérans handicapés se poursuit

    L’an dernier un scandale avait éclaté au Canada : on proposait l’euthanasie à des personnes handicapées qui demandaient des soins. Ainsi, des vétérans qui demandaient des soins se voyaient proposer l’« aide médicale à mourir ». Suite au scandale, le ministre des Anciens combattants avait reconnu le fait, indiquant que la proposition émanait d’un seul agent qui avait été suspendu. Il ajoutait que cela était « totalement inacceptable » et qu’une formation était donnée aux agents pour que cela ne se reproduise plus.

    Un cinquième cas fut ensuite révélé. Puis trois autres. Et cela continue. Christine Gauthier, vétéran des Forces armées canadiennes blessée en 1988, s’est vu proposer l’« aide médicale à mourir ». Depuis qu’elle a été déclarée invalide, en 1995, la lenteur bureaucratique l’a épuisée. Elle a dû attendre 18 ans avant d’obtenir un deuxième jeu de roues pour son fauteuil, 5 ans pour un renouvellement d’élévateur et 12 ans pour un nouveau fauteuil. Fatiguée par ces « blessures inutiles et dommages corporels », infligés par le gouvernement, elle s’est plainte au ministère qui lui a proposé, comme solution, l’« aide médicale à mourir ». Pourtant, elle souhaitait simplement demander des services pour adapter sa maison et renouveler certaines pièces d’équipement.

    « Je ne peux pas croire qu’on ne peut pas juste me donner les équipements dont j’ai besoin pour vivre, mais qu’on va m’aider à mourir. (…) C’est inadmissible ».

    C’est la logique de la culture de mort : c’est tellement plus simple d’exterminer le problème que de prendre le temps de le résoudre.

     

    Source : lesalonbeige

  • Le rejet de l’euthanasie nous concerne aussi, par Civitas Portugal

    Publié par Guy de Laferrière le 02 février 2023

    Moins d’un mois après que le Président de la République ait demandé un contrôle préventif de la loi sur l’euthanasie, la Cour Constitutionnelle a annoncé hier que certaines des règles de la loi sont inconstitutionnelles.

    Le document a été renvoyé par le Palais de Belém à l’Assemblée de la République, qui devrait bientôt reprendre le processus révolutionnaire de “correction” du texte et le soumettre à nouveau au vote, puis à l’analyse du “catholique” Marcelo Rebelo de Sousa. Au total, ce sera la quatrième fois que le Chef de l’État devra décider de la suite à donner à cette affaire, après avoir demandé, en février 2021 et au début de ce mois, le contrôle préventif du diplôme et, en novembre 2021, avoir opposé son veto au diplôme, le renvoyant à l’Assemblée de la République, en évitant, en tant que “catholique”, de rejeter définitivement cette initiative insensé.

    Réaffirmant ce qu’il avait transmis dans son bref communiqué de presse du 5 janvier, le mouvement Civitas regrette, d’une part, le manque d’engagement non négociable envers la vie humaine, dont seul Dieu peut disposer, de la part du Président de la République et, d’autre part, l’euphorie déplacée des deux partis politiques et d’autres entités, pour la plupart conservatrices, face au “plomb” du Palais Ratton.

    Loin d’être un exploit, comme beaucoup le prétendent, prouvant un manque total de discernement, nous nous trouvons face à une circonstance passagère, c’est-à-dire que la loi en question peut être parfaitement confirmée par la Cour Constitutionnelle à condition que, comme on peut le lire dans l’Arrêt n.º 5/2023, le législateur prend l’initiative de préciser «si l’exigence [associée à la pratique infâme de l’euthanasie] est cumulative (souffrance physique, plus souffrance psychologique, plus souffrance spirituelle) ou alternative (à la fois souffrance physique, psychologique et spirituelle).» En bref, il s’agit de la substitution vulgaire d’une conjonction. Comme si cela ne suffisait pas, dans le communiqué accompagnant l’arrêt susmentionné, les juges de la Cour Constitutionnelle déclarent allègrement que «la Cour a considéré que le droit de vivre ne peut en aucun cas être transformé en un devoir de vivre», cherchant grossièrement à se substituer au Créateur et prétendant avoir la fausse primauté constitutionnelle de décider quand mettre fin à la vie humaine, même en piétinant de manière insensée et préméditée les desseins de Dieu.

    Comme il fallait s’y attendre, les partis politiques promoteurs de ce diplôme infâme, qui défendent tous des idéologies conduisant à l’égocentrisme et à l’absence totale de surnaturel, se sont déjà déclarés tout à fait intéressés à corriger le “petit détail” de la conjonction erronée afin que, “au nom du progrès”, il soit légal d’assassiner ses semblables.

    Si les médecins et autres personnels médicaux sont tenus de combattre de manière constructive la souffrance de leurs patients, ces derniers, comme l’écrivait Mgr Bernard Tissier de Mallerais, doivent «essayer d’en assumer au moins une partie [la souffrance], en profitant de cette grâce qui leur est offerte pour satisfaire la justice divine de leurs péchés et éviter ainsi les peines du Purgatoire», tout en s’unissant à la Passion rédemptrice de Notre Seigneur Jésus-Christ.

    De la part du mouvement Civitas, une résistance ferme sera maintenue aux initiatives promouvant la culture satanique de la mort, avec la promesse de l’intensification nécessaire des activités de formation et d’information dans les semaines à venir. Néanmoins, il est impératif que les catholiques portugais offrent des prières et des sacrifices pour les auteurs de cette infamie, ainsi que pour l’élimination de toutes les lois qui portent atteinte, même le moins du monde, aux droits de Dieu, et pour le triomphe de la Sainte Mère l’Église. La prière, le sens surnaturel et l’action militante sont les seules armes efficaces pour vaincre de manière exemplaire les ennemis du Christ Roi.

    31 janvier 2023

    Le Secrétariat de Civitas Portugal

    Source : Délégation Civitas Portugal

  • Nouvelle-Zélande : euthanasie pour les patients covid

    Publié par Guy Jovelin le 21 juillet 2022

    Les colonies anglo-saxonnes avancent dans la mise en œuvre de la feuille de route du Great Reset.

    Les patients admis à l’hôpital avec le covid-19 peuvent mourir par euthanasie si les médecins pensent qu’ils pourraient ne pas survivre, a déclaré le gouvernement néo-zélandais dirigé par la groupie de Klaus Schawb, l’enfermiste et passionaria de la vaccination covid pour tous, Jacinta Arden.

    Le ministère de la Santé a confirmé que le droit à l’injection létale en vertu d’une nouvelle loi sur l’euthanasie pourrait s’étendre aux patients « qui meurent du coronavirus ou qui souffrent insupportablement de ses conséquences ». Mais le coronavirus est une grippe…

    En réponse à une demande de clarification sur une loi sur l’euthanasie entrée en vigueur le mois dernier, le gouvernement a déclaré que « dans certaines circonstances, une personne atteinte de COVID-19 peut être éligible à l’aide médicale à mourir ».

    Henoch Kloosterboer, rédacteur en chef du site Web anti-euthanasie The Defender, a déposé la demande en vertu de la loi sur l’information officielle qui oblige les administrations à rendre publiques sur demande ses dispositions « confidentielles ». Ainsi il a été dévoilé que l’État autorise en fait l’euthanasie non seulement pour les cancers en phase terminale, mais pour le covid et les « souffrances insupportables » qu’il provoque.

    La loi sur le choix de fin de vie de 2019 est considérée comme l’une des lois sur l’euthanasie les plus extrêmes au monde, et les critiques disent que les garanties sont si fragiles qu’elles sont facilement contournées. Elle permet à la fois l’euthanasie et le suicide assisté pour les adultes atteints d’une maladie considérée comme terminale dans les six mois, ou pour les patients dans un état avancé de déclin physique irréversible ou souffrant de manière intolérable.

    La loi, ratifiée à la suite d’un référendum en 2020, garantit à tous les résidents le droit d’accéder à un médecin qui met fin à leurs jours dans les quatre jours suivant la réception de la demande.

    Les médecins reçoivent un paiement gouvernemental de 1 000 $ plus les dépenses pour chaque décès par euthanasie qu’ils pratiquent.

    Kloosterboer a déclaré :

    « Il n’est pas difficile d’imaginer une situation dans laquelle une augmentation rapide et considérable des hospitalisations pour covid-19 pourrait conduire à une pression pour utiliser l’euthanasie et le suicide assisté comme outils pour résoudre une crise aussi grave. »

    Au Royaume-Uni, la baronne Finlay de Llandaff, professeur de médecine palliative, a déclaré que la loi néo-zélandaise sur l’euthanasie contredit l’objectif fondamental de la médecine et des services de santé de guérir les malades. Elle a souligné la contradiction de ce gouvernement : « Il est bizarre qu’un pays qui a essayé de protéger ses citoyens en les protégeant littéralement d’un virus dont les gens peuvent se remettre complètement… suggère maintenant que ces patients peuvent être tués par leurs médecins. Cela renverse l’éthique de la médecine », a-t-elle conclu.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info