Publié par Guy de Laferrière le 06 septembre 2023
euthanasie - Page 2
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ce monsieur va avoir 80 ans le 1er novembre prochain...
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Euthanasie pour pauvres et SDF, le sondage choc au Canada
Publié par Guy de Laferrière le 23 mai 2023
Près d’un Canadien sur trois serait favorable à l’euthanasie pour les sans-abris et les plus pauvres, et pas seulement pour des raisons de santé.
La culture de mort a le vent en poupe dans le Canada progressiste
Sondage choc au Canada, pays gouverné par le progressiste Justin Trudeau, le premier ministre toujours aux premières loges dans les batailles du politiquement correct. Selon un sondage de ResearchCo, près d’un tiers des Canadiens croient que les gens devraient avoir accès à l’euthanasie même pour des causes liées à la pauvreté, donc étendue aux sans-abris et aux pauvres en général et pas seulement pour ceux qui souffrent d’une maladie incurable. Au Canada, actuellement, les lignes directrices fédérales en matière d’euthanasie prévoient la présence d’une condition médicale grave et irrémédiable : la demande volontaire d’aide au suicide ne doit pas non plus résulter d’une pression ou d’une influence extérieure.
Mais selon le dernier sondage sur le sujet, environ un Canadien sur trois serait favorable à l’élargissement de l’accès à l’euthanasie même pour des causes qui ne concernent pas directement la santé des gens. Parmi les Canadiens, en effet, 27 % pensent que l’euthanasie devrait être étendue aux personnes en situation de pauvreté – un pourcentage qui monte à 41 % chez les 18-34 ans – tandis que 28 % conviennent qu’elle devrait être gratuite pour les sans-abris (sic).
Un Canadien sur cinq pense que l’euthanasie devrait toujours être permise
Un Canadien sur cinq (20 %) croit également que l’euthanasie devrait toujours être permise, peu importe qui la demande, tandis que 12 % croient qu’elle ne devrait jamais être permise. Dans la province de l’Alberta, près d’un habitant sur cinq (19 %) préférerait, tandis qu’au Canada atlantique, près de trois habitants sur dix (28 %) pensent que la pratique devrait être accessible à tous. Près de la moitié des Canadiens (48 %) sont satisfaits de la réglementation actuelle du pays, tandis que 27 % sont insatisfaits et 25 % incertains.
En revanche, la question des maladies mentales et de leur éventuelle justification à l’accès à l’euthanasie est partagée : 45% soutiennent cette hypothèse, tandis que 45%, la majorité de la population, se disent contre. Autre fait intéressant : « Plus de la moitié des Canadiens âgés de 18 à 34 ans (52 %) croient que conseiller à une personne de mettre fin à ses jours devrait continuer d’être un crime », affirme Mario Canseco, président de Research Co.
Bonus pour le Canada progressiste : avec l’euthanasie pour les pauvres, l’Etat et les mutuelles vont réaliser des économies de soins de santé
En février dernier, le gouvernement canadien a retardé d’un an l’élargissement de l’accès à l’euthanasie pour les personnes atteintes de maladie mentale. Le ministre de la Santé, David Lametti, a souligné que ce report de l’entrée en vigueur de la loi laissera suffisamment de temps pour s’assurer que le système de santé protège ceux qui peuvent être vulnérables.
Mourir avec dignité, un groupe qui défend les droits de fin de vie, a appelé à une action rapide de l’exécutif sur la question. « Pour ceux qui se sont vu refuser la compassion, l’autonomie et le choix personnel, ce n’est pas un court délai mais un autre obstacle », a déclaré le groupe dans un communiqué diffusé à la BBC. Aux États-Unis voisins, l’euthanasie est illégale dans la plupart des États. Les seules juridictions qui autorisent cette pratique sont l’Oregon, Washington DC, Hawaï, Washington, le Maine, le Colorado, le New Jersey, la Californie et le Vermont.
Ce que ce sondage démontre est l’angle uniquement matérialiste par lequel la vie est jugée par la majeure partie des Canadiens, prototypes de l’homme post-moderne occidental, sans conscience, sans religion, déchristianisé, abruti : le pauvre ne mérite pas de vivre, sa vie n’étant pas digne d’être vécue serait-il le meilleur, le plus bon et le plus vertueux des hommes.
La culture de mort a le vent en poupe dans le Canada du progressiste Justin Trudeau, notamment quand l’on songe que l’on y a confiné les gens de manière drastiques, arrêter l’économie, et rendus pauvres des centaines de milliers de personnes par la même occasion, pendant la pseudo-pandémie covidienne, pour sauver des personnes âgées de plus de 90 ans que l’on va ensuite euthanasier pour cause de pauvreté.
Plus que jamais le ‘progrès’ sociétal du monde post-moderne est synonyme de nihilisme : la haine de la Création est son mantra, et les économies des soins de santé sa finalité.
Francesca de Villasmundo
Source : medias-presse.info
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Des universitaires canadiens plaident pour l’euthanasie des pauvres
Publié par Guy de Laferrière le 17 mai 2023
Auteur : Pierre-Alain DepauwL’euthanasie des pauvres au Canada Le Canada s’enfonce dans le soutien au suicide assisté favorisant des histoires atroces de pauvres et d’handicapés optant pour des injections létales par pur désespoir. Le magazine britannique The Spectator demandait l’année dernière : « Pourquoi le Canada euthanasie-t-il les pauvres ? ». La réponse de certains bio-éthiciens semble être : « Pourquoi pas ? »
Une tribune rédigée par deux bioéthiciens de l’Université de Toronto affirme que l’euthanasie des pauvres devrait être socialement acceptable. Kayla Wiebe, doctorante en philosophie, et la bioéthicienne Amy Mullin, professeure de philosophie, ont écrit dans le Journal of Medical Ethics que :
« Forcer des personnes qui se trouvent déjà dans des circonstances sociales injustes à devoir attendre que ces circonstances sociales s’améliorent, ou que la possibilité d’une charité publique se produise de manière incertaine lorsque des cas particulièrement pénibles deviennent publics, est inacceptable. Une approche de réduction des méfaits reconnaît que la solution recommandée est nécessairement imparfaite : un « moindre mal » entre deux ou plusieurs options moins qu’idéales. »
« Les gens peuvent déterminer par eux-mêmes si leur vie vaut la peine d’être vécue, et nous devons respecter cela. »
A méditer à l’heure où le président Macron voudrait renforcer la légalisation de l’euthanasie en France. Nous voyons ce qui se passe lorsque on change le sens des mots ; le suicide assisté et les injections létales deviennent d’abord une “aide médicale” ou des soins de santé, puis une “réduction des méfaits” de la pauvreté et “la voie la moins nocive” pour ceux qui vivent dans des conditions de misère.
Comme l’a déclaré Yuan Yu Zhu, chercheur canadien au Harris Manchester College d’Oxford qui écrit régulièrement sur l’euthanasie : « C’est plus que tragique : c’est une tache morale sur notre pays, pour laquelle les générations futures devront se racheter. »
Source : medias-presse.info
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L’euthanasie des enfants de 1 à 12 ans aux Pays-Bas
Publié par Guy de Laferrière le 19 avril 2023
Le ministre de la Santé des Pays-Bas prépare une nouvelle règlementation pour l’euthanasie des enfants Le gouvernement néerlandais est sur le point d’adopter une nouvelle règlementation de l’euthanasie pour les enfants âgés de 1 à 12 ans. La mesure a été annoncée vendredi dernier par le ministre de la Santé, Ernst Kuipers. Pendant ce temps, le nombre de décès par suicide assisté ne cesse de croître dans le pays et représente déjà plus de cinq pour cent de tous les décès.
Cette nouvelle règlementation concernera l’euthanasie appliquée aux enfants entre 1 et 12 ans qui ont “une maladie ou un trouble si grave que la mort est inévitable”. L’euthanasie des enfants est déjà pratiquée en Belgique et aux Pays-Bas depuis quelques années.
Le nombre de personnes décédées aux Pays-Bas à l’aide d’une procédure d’euthanasie a augmenté de 13,7% l’année dernière, pour atteindre un total de 8 720 cas, représentant 5,1% de tous les décès enregistrés dans le pays en 2022, selon les chiffres officiels.
Source : medias-presse.info
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Après la réforme des retraites, l’euthanasie
Publié par Guy de Laferrière le 05 avril 2023
Le même jour, on apprend qu’un enfant atteint de mucoviscidose alerte sur la pénurie de médicaments pouvant le sauver :
« Des médicaments sont quasi introuvables », alerte Maxime, atteint de mucoviscidose
et que Macron veut accélérer sur la fin de vie.
À la suite des conclusions de la convention citoyenne sur la fin de vie, le président de la République Emmanuel Macron a affirmé ce lundi 3 avril vouloir un projet de loi d’ici la fin de l’été 2023.
Dans un rapport publié dimanche, les membres de la convention ont répondu «oui» aux trois quarts à une aide «active à mourir» , en assortissant toutefois leurs positions de restrictions, dont on sait qu’elles sont là pour rassurer les indécis mais qu’elles disparaitront au moment opportun, comme tous les garde-fous sur l’avortement.
Emmanuel Macron a également plaidé pour un «plan décennal national pour la prise en charge de la douleur et pour les soins palliatifs ».
Source : lesalonbeige