Publié par Guy de Laferrière le 06 septembre 2023
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Publié par Guy de Laferrière le 06 septembre 2023
Publié par Guy de Laferrière le 15 avril 2023
On se dit : le gars, qui est juge et partie, il n’a rien pu faire contre le tsunami qui arrive, et dont lui et ses amis ont bien profité ?
Une immense crise financière menace. À moins d’agir vite, elle frappera, probablement au cours de l’été 2023. Et si, par procrastination générale, elle est reportée, elle n’en sera, plus tard, que plus sévère. Nous avons encore tout pour la dominer vraiment, à condition de comprendre que c’est tout notre modèle de développement qui est en cause.
La situation mondiale ne tient aujourd’hui que par la force du dollar, lui-même légitimé par la puissance économique, militaire et politique des États-Unis, qui restent le premier refuge des capitaux du monde. Or ils sont aujourd’hui menacés par une très grave crise budgétaire, financière, climatique et politique :
La dette publique américaine atteint 120 % du PIB, sans tenir compte des garanties données par l’administration fédérale aux divers systèmes de retraites des agents fédéraux ni du financement nécessaire des futures catastrophes climatiques. Or, depuis la mi-janvier 2023 le Trésor américain a atteint la limite de ce qu’il a le droit d’emprunter ($31.4Tr) ; les salaires des fonctionnaires et de l’armée ne sont plus payés que par des expédients (que la Secrétaire au Trésor dit ne pas pouvoir prolonger au-delà de début juillet 2023). Les Républicains, qui contrôlent la Chambre des représentants, se préparent à proposer ce que la Maison Blanche dénonce déjà comme des « coupes dévastatrices qui affaibliraient la sécurité nationale tout en accablant les familles de travailleurs et de la classe moyenne ». Et le projet des Démocrates, qui vise à une réduction du déficit en 10 ans, par une hausse massive des impôts des plus riches, n’a pas plus de chance d’être adopté par le Congrès. Les Américains pourraient une fois de plus s’en tirer par une nouvelle hausse du plafond de la dette, dont personne ne veut. Et qui ne résoudrait rien.
La dette privée n’est pas dans un meilleur état : elle atteint 16 900 milliards de dollars soit 2 750 milliards de plus qu’avant la crise du Covid-19 ; soit 58 000 dollars par adulte américain ; ou encore 89 % du revenu disponible des ménages américains. Une bonne partie ne finance que des dépenses de consommation et l’achat de logements ; en particulier, la dette immobilière atteint 44 % du revenu disponible des ménages américains, soit le plus haut niveau historique, supérieur à celui de 2007, quand elle a déclenché la crise précédente. Et les Américains les plus pauvres continuent d’emprunter, avec la garantie de la Federal Housing Administration, pour acheter des logements avec un apport personnel limité à 5 % mais des mensualités pouvant aller jusqu’à 50 % de leurs revenus ! Système intenable. (…)
À cela s’ajoute un climat révolutionnaire, où plus personne n’exclut une crise constitutionnelle, pouvant même conduire, selon certains, à la sécession de certains États.
[…]
Comment l’éviter ?
Il y a à cela quatre solutions : des économies radicales, dans le même mode de développement, (qui ne feront que créer de la misère et de la violence) ; une relance budgétaire et monétaire (qui ne fera que reporter l’échéance) ; la guerre (qui conduira au pire, avant peut-être d’ouvrir des opportunités pour les très rares survivants).
Lire l’article entier sur attali.com
Publié par Guy de Laferrière le 16 mars 2023
Et, dans la famille "cingleries de foldingues", je demande...
Jacques Attali : "L’Islam est une des dimensions fondatrice et positive du passé et de l’avenir de l’Europe."
Certes, il vaut mieux entendre "ça" que d'être sourd, mais tout de même ! À ce stade dépassé de cinglerie stratosphérique, c'est sûr, "il n'y a plus qu'à tirer l'échelle" !...
Source : lafautearousseau
Publié par Guy de Laferrière le 09 février 2023
Jacques Attali signe ce 8 février 2023 une nouvelle carte blanche pour Tribune Juive. Il y pare Israël de tant de vertus qu’on se demande pourquoi il passe tant de temps en France plutôt que sous le soleil de Tel Aviv et pourquoi il reste dans l’ombre de tous les présidents de la république française plutôt que de conseiller les dirigeants de la plus formidable nation au monde…
Lisez plutôt :
Si Attali, dans cette carte blanche, doit émettre des reproches à Israël, c’est uniquement de s’être doté d’un nouveau gouvernement trop rétrograde à son goût et qu’il considère être sur la voie du suicide du sionisme. Si seulement Jacques Attali pouvait se décider à oublier un peu la France et à mettre de l’ordre dans son si cher Etat d’Israël…
Source : medias-presse.info
Publié par Guy Jovelin le 06 septembre 2022
« Emmanuel Macron ? C’est moi qui l’ai repéré. C’est même moi qui l’ai inventé. Totalement. A partir du moment où je l’ai mis rapporteur, où il y avait Tout-Paris et le monde entier et où je ne l’ai pas éteint, il s’est fait connaître. C’est la réalité objective. » Tiré du livre d’Anne Fulda, « Emmanuel Macron. Un jeune homme si parfait », Plon, Paris, 2017.
Bref, dans l’extrait ci-dessous, Jacques Attali utilise l’antisémitisme pour espérer démanteler internet : « Il faut évidemment contrôler tout ça, il faut casser les réseaux sociaux, il faut démanteler Facebook, Google mais surtout Facebook qui est un acteur extrêmement dangereux par sa nature. » Des propos qui ne plairont pas à Mark Zuckerberg au lendemain d’une panne sans précédent. Nous rappelons à nos lecteurs qu’Emmanuel Macron a installé une commission sur le complotisme et l’antisémitisme. Ça travail en coulisse !
« L’Internet représente une menace pour ceux qui savent et qui décident. Parce qu’il donne accès au savoir autrement que par le cursus hiérarchique. » Jacques Attali, interview Journal Libération par Laurent Mauriac et Nicole Penicaut — 5 mai 2000