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Pour commémorer le passage des colonnes infernales en Vendée du 21 janvier 1794 au 13 mai 1794, dont l'objet est l'extermination et l'anéantissement de la Vendée, ainsi que le rappel pour « incompétence » de Louis-Marie Turreau de Lignières, général en chef de l'armée de l'ouest, le 13 mai 1794, par le Comité de salut public, à la suite de l'échec de sa mission en Vendée, l'association Mémoire du Futur de l'Europe a l'honneur de vous convier à la Chapelle Saint Pierre-ès-Liens, le samedi 11 mai 2024.
Cette journée sera dédiée aux victimes des colonnes infernales de l'ensemble de la Vendée militaire et spécialement aux 900 victimes de la Chapelle Basse-Mer, afin de lutter contre le mémoricide.
Samedi 3 février à 16h30, le Parti de la France organise son traditionnel hommage à Roger Holeindre au cimetière de Vaucresson (10 rue de Cazes).
La commémoration sera suivie, à partir de 19h30, d'un repas au restaurant (45 € par personne tout compris) où diverses personnalités de la droite nationale évoqueront, comme chaque année, le souvenir de Roger Holeindre.
Ne tardez pas à réserver pour le dîner, les places sont limitées : 07.66.51.27.24 ou partidelafrancesomme@gmail.com
D'abord interdit par le pouvoir macronien, le rassemblement parisien en mémoire de Thomas a finalement été autorisé suite au recours devant le tribunal administratif déposé par les organisateurs. Bravo à eux, c'est une baffe de plus pour le sinistre Damanin, l'apprenti tyran de la place Beauvau.
Plusieurs centaines de jeunes parisiens se sont donc retrouvés, dans la dignité et sans aucune violence, vendredi soir devant le Pathéon pour sauver l'honneur de la capitale.
Partout en France les initiatives nationales et identitaires se multiplient. La mort de Thomas engendre une prise de conscience sans précédent... Le Système est aux abois.
Le 17 juin dans le district de Tang Kork, dans la province de Kampong Thom (à environ 100 km de Phnom Penh, la capitale), plus de 3 000 catholiques cambodgiens, dont plusieurs évêques et de nombreux prêtres, ont célébré une messe en commémoration des membres du clergé, des religieux et des laïcs morts en martyrs sous le régime de Pol Pot, durant les années 1970.
« Le témoignage des martyrs nous guide sur le chemin », a confié Mgr Olivier Schmitthaeusler (MEP), vicaire apostolique de Phnom Penh.
En 2015, l’Église locale a ouvert la phase diocésaine du processus de béatification de Mgr Joseph Chhmar Salas et de 34 autres martyrs tués sous le régime Khmer Rouge. Mgr Salas et les autres martyrs ont été tués entre 1970 et 1977 durant les persécutions lancées par les Khmers Rouges de Pol Pot contre l’Église catholique.
Les pratiques religieuses ont été suspendues durant le régime de Pol Pot, qui a causé un génocide qui a fait environ 2 millions de morts au Cambodge entre 1975 et 1979, dans sa volonté de détruire tous ceux qui étaient considérés comme des traîtres et des antirévolutionnaires. Ainsi, les Khmers Rouges ont assassiné des laïcs, des catéchistes et des missionnaires cambodgiens, vietnamiens et français, y compris des membres des MEP (Missions Étrangères de Paris).
En s’adressant à l’assemblée, Mgr Schmitthaeusler a souligné combien la situation s’est améliorée depuis la fin des atrocités des Khmers Rouges.
« Aujourd’hui, les choses sont très différentes, l’Église est nouvelle, il y a environ 23 000 croyants et plusieurs communautés qui sont très jeunes, majoritairement fondées par des gens qui ont rejoint la foi chrétienne seulement récemment ». « Le Seigneur nous accompagne, et nous regardons toujours l’avenir avec espoir ».
D’abord, il faut se réjouir qu’Enio (2 ans), Alba (2 ans) Ettie (3 ans), Peter (22 mois), Youssouf (78 ans) et Manuel (62 ans) soient tous tirés d’affaire. Malheureusement, les pauvres petits garderont sans doute des séquelles durables de la fureur assassine du Syrien Abdalmasih H., mais au moins sont-ils en vie.
On dit que la ville en demeurera durablement meurtrie mais pleine d’amour pour son prochain. Et les Français aussi. C’est surtout ce qu’a assuré le maire, François Astorg, lors du « rassemblement citoyen » sur les bords du lac d’Annecy, dimanche matin : « C'est un signe fort d'union et de solidarité. »
L’heure était au recueillement. Si tous les gars du moooonndeu pouvaient se donner la main, on ferait une roooonndeu, etc., et plus si affinités. Alors, monsieur le maire a dit des choses définitives et profondes : c’est « un rassemblement pour bâtir plutôt que haïr », « l’enfance est sacrée, elle représente la vie, et plus que cela, elle représente l’avenir », « l'ensemble de la communauté humaine a été poignardée »… Toute opinion contraire ne serait que récupération malveillante et noirceur d’âme.
À noter que nous avons, cette fois, franchi un grand pas dans l’hommage : pas de marche blanche, pas de bougies ni de nounours, pas non plus de randonnée à roller autour du lac mais un fond musical de circonstance pour accompagner le discours du maire : devant les édiles, les officiels en grande tenue, les gendarmes et les pompiers, une dame s’est avancée avec une boîte à musique puis, tournant la manivelle de son petit crincrin, elle a entonné « Parlez moi d'amour ».
Ne le dites pas à Mme Borne, mais j’ai bien vu, sur la vidéo, que le gendarme derrière la dame se mordait les lèvres pour ne pas exploser de rire. Je sais, nous sommes, en cette circonstance, priés d’attendre le feu vert du Premier ministre pour critiquer, mais bon, six jours après les faits, on est peut-être autorisé à formuler quelques remarques ?
Primo, l’émotion ne justifie pas tout. Pas plus la niaiserie musicale que l‘indigence de la fresque peinte dans la nuit – également à la demande du maire – par le duo d’artistes mexicains Los Calladitos. Ça s’intitule La Lumière du lac et… comment dire… c’est gentil. Question lumière, on n’est pas chez Georges de La Tour, c’est sûr. Jorge Peralta et Ari Galaz, les deux artistes, ont illustré « la diversité » parce que « l’art aide à s’élever en tant que société ».
Vous voulez la vérité ? J’ai honte. Honte de ce pays qui met les problèmes avec la poussière, sous le tapis, et pense pouvoir les occulter par la niaiserie infantilisante. Au point où nous en sommes, et imaginant que la boîte à musique était une allusion à l’âge des petites victimes – sinon quoi ? –, pourquoi ne pas avoir carrément choisi un « doudou musical » comme on met dans les berceaux, ou même une « boîte à meuh » ? Ah non, pas la boîte à meuh, ça fait terroir franchouillard et cul des vaches.
Une fois de plus, on essaie de se rassurer en lisant les commentaires, Twitter étant une des dernières lucarnes pour libertaires dotés de bon sens. Comme un certain Albert Frelon, reprenant la chanson dans son piquant commentaire : « "Votre beau discours, mon cœur est bien las de l’entendre". Avec des gradés de la police et de la gendarmerie en arrière-plan, cette mascarade prend une saveur particulière. »