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église - Page 9

  • Dimanche, l’Eglise célèbre la Journée mondiale du Migrant : « Osons la rencontre ! Il s’agit de bâtir la Cité de Dieu et de l’homme »

    Publié par Guy Jovelin le 28 septembre 2019

    Ce 29 septembre, l’Église célèbre la 105e journée mondiale du migrant et du réfugié. L’appel insistant du pape en faveur des plus faibles, des exilés, est parfois encore difficile à entendre. La Communauté de Vie Chrétienne (CVX) s’en est saisi, en organisant ses universités d’été autour du thème : “Migrants : osons la rencontre” !

    Il s’agit de bâtir la Cité de Dieu et de l’homme

    […] Quant à l’appel à s’engager plus fortement auprès des plus démunis, les organisateurs assurent qu’il a été entendu. Il prendra forme ici ou là dans une bienveillance renouvelée, dans la prière, le témoignage du vécu et le partage des découvertes, en devenant famille d’accueil pour un jeune migrant ou toute autre action, selon le discernement de chacun. […]

    Eglise catholique en France (édité par la Conférence des évêques de France)

  • Une église vandalisée par les supporteurs algériens

    Publié par Guy Jovelin le 22 jullet 2019

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    Une église vandalisée par les supporteurs algériens

    L’Observatoire de la christianophobie relate le vandalisme dans l’église Saint-Jean-Baptiste-de-Belleville, à Paris, lors de la nuit du 19 au 20 juillet.

    Ce matin [dimanche 21 juillet] à la fin de la messe de 11 h, à Saint-Jean-Baptiste-de-Belleville, dans le XIXe arrondissement de Paris situé (139 de la rue de Belleville), le curé de la paroisse, le Père Stéphane [Esclef], nous apprenait que diverses dégradations s’étaient produites le vendredi soir [19 juillet], et le samedi [20 juillet], dans la foulée de l’euphorie de la victoire sportive de l’Algérie, que des “jeunes” s’étaient introduits dans l’église le vendredi soir en brisant une lucarne et s’étaient livrés à des actes violents, en dispersant sur le sol des livrets de messe, ainsi que divers objets comme des bougies en prenant soin de répandre la cire sur une surface importante du sol. Bref, heureusement le Père Stéphane a porté plainte auprès du commissariat, en étant très ferme sur la question et nous encourageant à être vigilants pendant la période estivale ou hélas peu de bénévoles sont présents pour surveiller la paroisse. [La Mairie de Paris] est au courant de ces informations, gageons que pour une fois la laïcité invoquée toujours contre l’Église catholique, se force un peu à défendre les catholiques comme tous les autres croyants.

     

    Source : lesalonbeige

  • Pour un prêtre, la campagne électorale ne s’arrête jamais

    Publié par Guy Jovelin le 31 mai 2019

    Auteur : Michel Janva

    Pour un prêtre, la campagne électorale ne s’arrête jamais

    Le père Danziec écrit dans Valeurs Actuelles :

    Disons-le tout de suite : pour un prêtre, la campagne électorale ne s’arrête jamais. Il n’en finit pas d’occuper l’espace, de labourer le terrain, de quadriller sa paroisse. Il continue à haranguer ses ouailles dimanche après dimanche. Il tente de distribuer autant de sourires que de conseils, d’images pieuses que de médailles. Il serre des mains sur les places des marchés. Il visite les grands comme les humbles, les écoute et leur parle. Il encourage et fustige. Console tantôt, soutient souvent, dynamise parfois. Surtout il délivre un message. Celui de l’Evangile et de l’Eglise. Inlassablement, il invite à faire un choix. Celui qu’il estime être bon, le choix du Christ. Il rappelle à qui veut l’entendre qu’on ne peut faire ce choix par procuration. Il précise que, dans la vie chrétienne, il ne s’agit pas d’opter pour le moindre mal mais d’embrasser un Bien parfait. Il ajoute enfin que pour cela nous n’avons pas un seul tour mais fort heureusement toute une vie.

    Que les campagnes se terminent ou ne s’arrêtent jamais, qu’il s’agisse des élus de Dieu ou des élus de la République il n’en reste pas moins qu’une vérité forte, issue de la conscience populaire, s’applique imperturbablement : « malheur par qui le scandale arrive ». Au regard de leur fonction, et chacun dans leur domaine propre, prêtres et politiques ont en effet ceci de commun qu’ils sont gravement tenus de servir avec exemplarité leur semblable. Les scandales n’ont pas bonne presse sur les parvis des églises ou parmi les bancs des parlements. Comme il semble loin ces temps de l’Histoire des hommes où, dans une synergie toute gracieuse, les politiques aimaient à s’entourer d’hommes d’Eglise au bénéfice de l’Etat : Clovis avait son évêque Rémi, Charlemagne son moine Alcuin, Louis XIII le Cardinal de Richelieu.

    Certains se rassureront en constatant que l’abstention aux dernières élections européennes n’a pas encore atteint la proportion de ceux qui désertent les églises le dimanche, et que c’est déjà là un bon point. Mais il est sûr que le spectacle peu reluisant des fins de campagnes, avec leurs lots de professions de mauvaise foi, de petites phrases vengeresses ou de punchlines assassines, ne fait probablement pas regretter grand-chose aux déserteurs des isoloirs. Les lendemains d’élection pour une famille politique sont à l’image des rendez-vous chez le notaire pour des frères et sœurs. Ils témoignent du même drame : lorsque l’heure des comptes sonne, l’unité montre son vrai visage. Réelle, de façade ou de circonstance.

    Pour assurer la cohérence de ses perpétuelles campagnes, le prêtre doit offrir à son auditoire la garantie d’une certaine loyauté aux idées maîtresses qu’il défend. La pertinence de l’apôtre réside dans sa capacité à être convaincu de l’intérêt du message qu’il délivre. Convictions qui vont bien au-delà de la personne éphémère qui les porte. Plus que la main du semeur, ce qui importe c’est ce qui est jeté en terre.

    Au séminaire, un vieux professeur nous rappelait l’importance vitale de l’examen de conscience à chaque fin de journée. Il s’agissait de circonscrire durant cinq minutes silencieuses, à l’aune du jour qui s’échappe, ce qui mériterait d’être corrigé, amendé ou poursuivi le lendemain. Il conseillait en somme de « se remettre en cause » chaque soir. « Y compris quand tout va bien ? » lui demandais-je l’air taquin. « Surtout quand tout va bien » me répondit-il, comme pour mieux insister.

    Pour plagier Alfred de Vigny, les grandeurs et servitudes de l’état ecclésiastique résident dans cet équilibre fragile : la fidélité au message et la capacité à se remettre en cause. Fidélité, que les victoires soient ou non au rendez-vous, capacité à se remettre en cause, y compris lorsque tout nous sourit.

    Depuis bientôt deux mille ans, c’est sans doute pour cela que l’institution ecclésiale survit. Charles de Foucauld disait que l’Eglise est une apparente défaite dans une perpétuelle victoire. A faire pâlir d’envie les partis politiques, quels qu’ils soient.

     

    Source : lesalonbeige

  • Diptyque 1969 – 2019 : la Banque a désormais remplacé l’Eglise au cœur du village

    Publié par Guy Jovelin le 21 mai 2019

    En 1969, l’Eglise était encore au cœur du village.
    En 2019… la comparaison est cruelle !

    On reconnaitra la montagne et quelques maisons (mal) rénovées mais surtout les méfaits de la Banque et ses conséquences:
    le consumérisme,
    la désintégration de la Famille traditionnelle,
    les relations sociales perdues,
    la biodiversité perdue,
    la déforestation,
    les ravages de l’agriculture intensive,
    l’architecture appauvrie,
    les travaux publiques inutiles,
    les ouvriers en VRD systématiquement “de couleur” (immigrés exploités)
    les embouteillages et radars stressants,
    les autoroutes qui saignent nos vallées,
    les mystérieux chemtrails,
    le scandale des éoliennes, des antennes relais et des panneaux publicitaires qui défigurent nos campagnes,
    l’art contemporain vulgaire,

    et autres détails “progressistes”…

    bref, tout va bien…

    REVEILLONS NOUS !

     

    Source : medias-presse.info

  • Eyguières (13) : un incendie d’origine inconnue se déclare dans l’église Notre-Dame-de-Grâce, le confessionnal détruit (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 22 avril 2019

    Par  le 22/04/2019

    22/04/19

    Un incendie a détruit le confessionnal de l’église d’Eyguières dimanche en fin de journée. Le pire a été évité grâce à l’intervention d’un habitant qui vit en face de l’édifice et des sapeurs-pompiers des Bouches-du-Rhône.

    (…) « Des flammes de plusieurs mètres de haut s’échappaient de l’église« , selon le maire d’Eyguières, Henri Pons, encore choqué et dans le contexte de l’incendie de Notre-Dame de Paris. Une surface comprise entre 10 et 20 mètres carrés a été détruite.

    (…) « Si un habitant courageux, ancien sportif de haut niveau, n’était pas intervenu, l’église aurait probablement brûlé complètement. On était un dimanche de Pâques et il n’y avait personne dans le village« , a précisé le maire d’Eyguières.

    (…) France Bleu


    21/04/19

    Vers 16h30, ce dimanche, un incendie s’est déclaré dans une église au centre du village d’Eyguières, dans le nord des Bouches-du-Rhône nous a confirmé une source au service départemental d’incendie et de secours des Bouches-du-Rhône.
    Le feu a endommagé du mobilier sans faire de blessé. Environ 25 pompiers ont été engagés. La gendarmerie est aussi intervenue.

    Pour l’instant, d’après une source à la gendarmerie, l’origine du feu n’est pas établie.

    Le Dauphiné

     

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