Publié par Guy de Laferrière le 27 avril 2023
Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 352
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José Antonio enterré pour la 5e fois, mais qu'importe... L'idéal phalangiste est toujours bien vivant
Cette semaine, en vertu de la loi sur la mémoire démocratique (20/2022), José Antonio Primo de Rivera a été exhumé de là où il reposait depuis 1959, à la basilique de la Vallée de Los Caïdos proche de Madrid.Les premières lignes de cette loi se lisent comme suit : « Depuis la fin des guerres civiles et des conflits mondiaux qui ont dévasté l'Europe au XXe siècle, et surtout depuis l'Holocauste, la promotion de politiques de mémoire démocratique est devenue un devoir moral ». En fait, il s'agit d'un complément à la misérable "loi de mémoire historique" (52/2007) du socialiste José Luis Rodríguez Zapatero. Loi que d'ailleurs que son éphémère successeur, le Premier ministre "de droite" Mariano Rajoy, avec son écrasante majorité parlementaire, pouvait, alors qu'il était aux affaires, abroger... Mais il ne l'a pas fait.Après la référence obligatoire à l'Holocauste (« surtout » dit le législateur, comme si Cracovie était une province d'Albacete), la troisième ligne parle de « devoir moral… »À propos de la morale, il est bon de rappeler les faits suivants :• Largo Caballero (1869-1946), leader de l'UGT, avait affirmé dans tous ses meetings de campagne de 1936, à la presse, et partout où un micro lui était tendu que "si la droite gagne les élections, elle devra aller à la guerre civile".• Le Front populaire (coalition regroupant la majorité des partis de gauche et dirigée par le PSOE) remporte ces élections (16/02/1936) sur fond de crimes, de mensonges et de fraudes.• Parmi ses premières mesures, les suivantes se distinguent : l'amnistie des putschistes de la Révolution des Asturies (ainsi que ceux du soulèvement de la Catalogne), et l'interdiction de la Phalange espagnol et de las JONS.• Le 14 mars 1936, José Antonio est arrêté avec tous les chefs les plus connus de la Phalange sous de fausses accusations, et leurs locaux sont fermés.• Tous les jugements de Première Instance ont été remportés par les Phalangistes devant la Cour Suprême "en considérant que les statuts fondateurs et les 27 Points de Phalange étaient légaux" (30/04/1936).• Malgré cela, José Antonio n'est pas libéré, et cette fois il est accusé par le procureur de possession illégale d'armes, et condamné à 5 mois de prison.• Le leader falangiste - avocat en exercice - indigné par tant d'arbitraire défie la Cour et secoue même quelques personnalités, une affaire qui lui coûte un nouveau procès, celui-ci pour outrage, pour lequel il est condamné en juin à 5 ans de prison et transféré à la prison d'Alicante, d'où il ne sortirait plus vivant.• Il est assassiné le 20 novembre 1936. Son corps a été jeté dans une fosse commune aux premières heures du jour.• Étant donné qu'il a été impossible d'établir un lien documenté entre José Antonio Primo de Rivera et le soulèvement militaire du 17 juillet, et encore moins d'être considéré comme un "franquiste" (puisqu'il était emprisonné depuis mars), nous nous retrouvons devant une véritable imposture historique.• Son exhumation au début de la semaine (bien qu'effectuée avec la connivence nécessaire de ses descendants) ne peut être considérée que comme un acte immoral de l'État, d'autant plus que sa dépouille se trouvait dans des dépendances de l'Église.• José Antonio Primo de Rivera avait fondé et donc enregistré à l'époque le parti FALANGE ESPAÑOLA Y DE LAS JONS en compagnie de Julio Ruíz de Alda, Onésimo Redondo et Ramiro Ledesma Ramos ; chacun d'eux assassiné entre août et novembre 1936 par les milices communistes et anarchistes.Avant d'être enterré dans la basilique de Los Caïdos, le corps de José Antonio avait déjà été déplacé à trois reprises. 86 ans après sa mort, il s'agit donc de son cinquième enterrement. Cette nouvelle manoeuvre nous laisse un tel parfum putride de vendetta de la part des héritiers de ses exécuteurs, que, loin d'énerver les phalangistes que nous sommes, nous confirme plus encore de la justesse de notre combat. Elle nous amène à nous poser la question : "Mais de quoi ont-ils donc si peur pour s'acharner ainsi sur les restes d'un hommes décédé il y a près d'un siècle ?"Pour nous, José Antonio vit toujours dans notre coeur et cela nous importe peu de savoir où sa dépouille repose... Ce qui compte, c'est que l'idéal phalangiste, lui, est toujours bel et bien vivant.(1) Notre Ami Juan Antonio Lopez Larrea est l'une des figures emblématiques du mouvement phalangiste espagnol. En 2018, il participait à nos Journées annuelles de Synthèse nationale à Rungis.Source : synthesenationale -
« C’est de la dictature intellectuelle » : Patrick Sébastien dézingue Yann Barthès et « Quotidien »
Publié par Guy de Laferrière le 26 avril 2023
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Sondage : 82% des Français favorables à une loi sur l’immigration facilitant les expulsions, 39% des sympathisants LFI
Publié par Guy de Laferrière le 26 avril 2023
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Immigration : L’exécutif reporte le projet de loi faute de majorité et souligne que « ce n’est pas le moment de lancer un débat qui pourrait diviser le pays »
Publié par Guy de Laferrière le 26 avril 2023
Elisabeth Borne fait de la « lutte contre l’immigration » une « priorité du gouvernement ». La première ministre a toutefois concédé ne pas pouvoir présenter le projet de loi en l’état, faute d’un soutien assuré des parlementaires Les Républicains. « Ils doivent encore dégager une ligne commune entre le Sénat et l’Assemblée, en tenant compte de la nécessité de trouver une majorité dans chaque assemblée autour d’un texte nécessairement équilibré, a-t-elle expliqué. Aujourd’hui, ils n’y sont manifestement pas [arrivés]. »
Préférant par ailleurs ne pas lancer dès maintenant « un débat sur un sujet qui pourrait diviser le pays », Elisabeth Borne confirme le report de cette réforme sur l’immigration : « Nous présenterons en tout état de cause un texte à l’automne avec comme seule boussole l’efficacité. »
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Italie : un réseau de passeurs de migrants vers la France démantelé ; dix-sept personnes arrêtées, la plupart issues de l’Afrique francophone
Publié par Guy de Laferrière le 23 avril 2023
La police italienne a annoncé mercredi le démantèlement d’un réseau de passeurs de migrants, essentiellement vers la France, avec l’arrestation de 17 personnes, pour la plupart originaires de l’Afrique francophone.
Ce groupe de passeurs démantelé a fait arriver « des centaines de personnes » depuis l’Afrique vers le pays européen de leur choix, « surtout la France », a affirmé devant la presse Francesco Messina, haut responsable de la police italienne.
« La police (…) a arrêté onze citoyens de la Côte d’Ivoire, un du Mali, quatre de Guinée et un du Burkina Faso (…) soupçonnés d’association de malfaiteurs visant à favoriser l’immigration clandestine », précise pour sa part un communiqué de la police.