Publié par Guy de Laferrière le 12 juillet 2013
Thomas Joly

GJN1
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Publié par Guy de Laferrière le 12 juillet 2013
Publié par Guy de Laferrière le 11 juillet 2023
Le coût des dégâts indemnisables par les compagnies d’assurance est déjà trois fois plus élevé que pour les violences urbaines de 2005. Et toutes les déclarations de sinistre ne leur sont pas encore parvenues.
Elles ont duré trois fois moins longtemps mais vont coûter trois fois plus cher. Selon le bilan provisoire publié ce mardi matin par France assureurs, les émeutes consécutives à la mort de Nahel représentent 650 millions d’euros de dégâts indemnisables pour un total de 11 300 sinistres. En moins d’une semaine. « Pour 90 % de cette somme, il s’agit de sinistres qui ont touché les professionnels et les collectivités locales », nous précise la fédération des assureurs.
En 2005, les violences urbaines avaient donné lieu à l’indemnisation de 10 000 sinistres mais sur trois semaines. Surtout, 82 % concernaient des véhicules – assurés tous risques ou avec une garantie incendie pour pouvoir être pris en charge – ce qui n’avait porté la facture pour les compagnies d’assurance qu’à 204 millions d’euros au total.
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Le Parisien via fdesouche
Publié par Guy de Laferrière le 10 juillet 2023
Ce week-end, le monument aux morts de 14-18 d’une commune de la Creuse a été profané.
La liste des Français morts pour la Patrie, gravée dans la pierre, a été recouverte par le tag des prénoms « Nahel », « Adama », « Zyed » et « Bouna ».
Cette profanation en dit long sur l’idéologie et le ressentiment qui animent les pillards (abusivement appelés « émeutiers »).
Tout d’abord, il y a le fait que les morts dont les soutiens des pillards veulent honorer la mémoire, soient inscrits en REMPLACEMENT des morts pour la France, ce qui démontre une volonté de rupture d’avec la communauté nationale, une haine de l’Histoire de la France et des Français.
Ensuite, le fait que les « héros » que les allogènes et leurs alliés ont à mettre en avant soient tous les quatre des délinquants, démontre l’amalgame que la gauche fait constamment, depuis la création de SOS Racisme dans les années 80, entre les délinquants et les immigrés. Un délinquant noir ou arabe neutralisé par les forces de l’ordre serait une victime du racisme, comme s’il devait systématiquement y avoir une solidarité ethnique qui soit moralement supérieure à tout délit ou tout crime. Si on ajoute à cela l’absence systématique de cette « diversité » aux marches que les Français organisent pour leurs VRAIES victimes (qui sont, pour le coup, des innocents), on obtient une belle photographie de la réalité des choses, qui colle avec cette profanation : solidarité ethnique antiblanche et haine de la France et des Français.
Disons les termes : ces gens ne seront jamais nos compatriotes, ils ne le veulent pas et nous non plus, sauf que nous, nous sommes sur la terre de nos ancêtres. Il est grand temps d’organiser la remigration de ces agents de l’anti-France sur la terre de LEURS ancêtres.
Publié par Guy de Laferrière le 10 juillet 2023
Pour la neuvième fois, en dix ans de pontificat, le pape François a annoncé dimanche une nouvelle promotion de cardinaux. Ils seront 21 à être « créés », selon l’expression, le 30 septembre 2023 au Vatican. Dont deux Français : le nonce apostolique aux États-Unis, Mgr Christophe Pierre, 77 ans, et Mgr François-Xavier Bustillo, 54 ans, un religieux franciscain, évêque d’Ajaccio. La France compte désormais six cardinaux électeurs puisqu’il faut être âgé de moins de 80 ans pour avoir le droit d’élire le pape.
Surtout, la majorité des deux tiers nécessaire pour élire son successeur en cas de conclave aura été choisie par ce pape qui a toujours sélectionné ces hommes parmi des évêques plutôt proches de ses orientations pastorales, même si le choix de Mgr Bustillo, un prélat assez classique, contredit cette tendance lourde. Aucun pontife romain avant François ne s’était jamais permis d’aller aussi vite dans la création de nouveaux cardinaux – presque une promotion par an – pour assurer la pérennité de ses réformes. D’autant qu’il n’y avait aucune nécessité à en créer de nouveaux cette année, puisque le collège des cardinaux compte désormais 137 cardinaux électeurs de moins de 80 ans alors que le quorum minimum fixé par le règlement est de 120 prélats. Pour mémoire, Jean-Paul II convoqua neuf consistoires – c’est le nom donné à cette cérémonie de création de nouveaux cardinaux – en… 25 ans.
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Pour François, nommer des cardinaux proches de sa ligne est une dimension décisive de sa politique de réforme de l’Église puisqu’elle détermine le choix de la ligne de son successeur. Il récuse ainsi toute personnalité divergente, ce que ne faisaient pas ses prédécesseurs qui intégraient toujours des cardinaux qui leur étaient opposés pour tenir compte de la diversité des opinions dans l’Église.
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