Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

évêques

  • Européennes : des évêques appellent à voter pour ceux « qui soutiennent clairement le projet européen »

    Publié par Guy de Laferrière le 14 mars 2024

    Européennes : des évêques appellent à voter pour ceux « qui soutiennent clairement le projet européen »

    À l’approche des élections européennes, les évêques de la Commission des épiscopats de la Communauté européenne (Comece) ont signé une déclaration commune appelant à « un vote responsable encourageant les valeurs chrétiennes et le projet européen ».

    www.la-croix.com via fdesouche

  • Par pitié pour le peuple, les évêques doivent cesser de remuer la boue!

    Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2021

    Par pitié pour le peuple, les évêques doivent cesser de remuer la boue!

    sauve-230x180.jpeg

    Un lecteur nous adresse cet article:

    La publicité faite autour  du rapport Sauvé sur les abus sexuels qui auraient été commis dans l’Eglise au cours des dernières décennies est un acte contre la charité.

    Ceux qui l’ont décidée semblent ne pas se rendre compte de l’état de population française en cet automne 2021, en partie du fait de l’épidémie : absence de perspectives économiques et politiques, montée des suicides, des dépressions, des avortements, recours accru aux neuroleptiques, explosion des consultations en psychologie et psychiatrie, menace de crise internationale.

    Plongés dans une crise morale sans précédent, les Français attendaient de leurs pasteurs deux choses : des points de repères forts, une parole d’espérance réaliste, pas de « bonnes paroles », pas seulement pour l’au-delà mais pour ce temps.

    Au lieu de cela, ils auront reçu « en pleine gueule » un tombereau d’insanités. La plupart des Français ne se sentent pas personnellement concernés par ces affaires. Nous parlons des Français car le vrai troupeau, aujourd’hui, ce sont eux, pas les seuls abonnés de La Croix.

    Beaucoup pensent, non sans raisons, que le rapport est  exagéré . La seule chose sûre est que 243 victimes d’abus ont été entendues. 2819 auraient écrit une lettre.  Ça parait un gros chiffre en notre temps où personne n’écrit plus : une campagne de lettres, ça s’organise et certains lobbies savent le faire.   Quelle légitimité a l’INSERM pour faire des sondages en la matière ? Passer sur ces bases à 320 000 victimes (dont 219 000 de clercs, soit 3000 clercs en cause pour 110 000 ayant exercé sur la période) se rapportant pour 54 % à des affaires vieilles de plus d’un demi-siècle nous paraît de la  haute voltige.

    La méthode de l’extrapolation rétrospective n’est pas scientifique. Dire : il y a eu tant d’abus dans la période récente pour laquelle nous avons encore des témoins ;    il y avait dix fois plus de prêtres dans les années cinquante et donc dix fois plus d’abus est une manipulation.  Elle ne tient pas compte de l’historicité du phénomène dont le pape Benoît XVI, comme d’autres, pense qu’il est lié à l’explosion libertaire des années soixante-dix (et non au Concile). Elle ne correspond pas aux souvenirs que certains ont gardé des années cinquante. Dans les temps d’anticléricalisme très virulent (années 1880-1914), la question n’est pas évoquée. Elle l‘aurait été sans nul doute s’il y avait eu lieu.

    Que M. Sauvé dont « tout le monde disait du bien » dans la vie civile ait cautionné ce rapport ne suffit pas.  La loi morale interdit de ne pas avouer les fautes que l’on a commises. Mais en avouer que l’on n’a pas commises, surtout pour des pasteurs dont « la lumière doit briller aux yeux des hommes » (Mt 5,7), n’est non plus pas un acte  innocent.

    Le souci d’une purification toujours à recommencer, au prix d’aveux scabreux,  peut être même tenue pour une forme narcissique de recherche de la pureté de type pharisien. Les victimes, qui certes méritent une grande compassion, sont-elles unanimes à le demander ? Certaines n’en sont -elles pas profondément gênées ?

    Les évêques français semblent ignorer les mécanismes de communication subliminale : même si aucun d’entre eux n’a commis les fautes invoquées (nous n’en doutons pas), une opinion mal éclairée va associer désormais évêque à pédomanie, un mécanisme dont fut victime à Lyon le pauvre cardinal Barbarin et que cherchent sans nul doute à nourrir les ennemis de l’Eglise, infiltrés ou pas.

    Quoique le rapport l’exagère, le mal a existé, c’est une chose entendue. Les coupables, s’ils sont encore en vie, et s’ils ont toujours dans l’Eglise,  sont renvoyés à leur conscience et à la justice.

    Plutôt que de multiplier les résipiscences importunes, ceux qui, en connaissance de cause,  n’ont pas cherché à les neutraliser  devraient à notre sens, réviser leur doctrine sur deux sujets :

    • La solidarité de corps, épiscopal, clérical ou ecclésial, n’est pas le dernier mot de la charité.  Elle n’interdit pas par exemple qu’un prêtre dangereux, par ses mœurs ou par sa doctrine,  soit expulsé de l’Eglise.
    • Encore moins la crainte du scandale est-elle l’expression de la prudence ou de la sagesse. Nous ne parlons pas seulement de scandale qui  éclabousserait l’Eglise, mais tout simplement de celui qui ferait des remous. Le remous n’est pas un mal en soi. Et empêcher des remous peut l’être. J’ai entendu un homme d’Eglise critiqué parce qu’il était « clivant » et donc source de problèmes : mais Notre Seigneur Jésus Christ ne l’était-il pas, lui, clivant ?

    Le bruit fait autour du rapport Sauvé  a suscité découragement et colère chez beaucoup de fidèles – non contre les faits supposés mais leur exagération et leur publicité.  Il est notoire que beaucoup de pratiquants n’ont nullement envie de payer son coût exorbitant (3 millions d‘euros).

    Le premier acte pastoral que l’on attend des évêques est de tourner la page.

     

    Source : lesalonbeige

  • Macron entend interdire aux Français la messe jusqu’à « mi-juin » ! Les évêques se couchent, Bergoglio s’en fiche

    Publié par Guy Jovelin le 24 avril 2020

    Deux militants politiques au service d’un même projet

    Quel insupportable abus de pouvoir contre les droits des Chrétiens et les devoirs envers Dieu ! Du jamais vu en… 1500 ans !
    Il n’y a même pas de discussion sur les solutions possibles pour que les cérémonies aient lieu de façon prudente !

    « Mardi, à sa demande, Emmanuel Macron s’est entretenu pendant trois quarts d’heure avec le pape François. Il était 16 heures. Le chef de l’Église catholique s’est exprimé en espagnol, le président en français.

    Un peu plus tard, à 17 heures, toujours depuis l’Élysée, le chef de l’État – cette fois aux côtés du ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner – a «réuni» par visioconférence les six responsables des religions en France ainsi que les responsables des grandes obédiences maçonniques, comme il l’avait fait, le 23 mars dernier. » (Le Figaro)

    Macron donne une place beaucoup plus visible aux sectes maçonniques que ses prédécesseurs… Mais après tout, ce n’est pas plus mal…

    Cependant, faut-il rappeler à la France ignorante d’aujourd’hui que le culte catholique n’a rien à voir avec les réunions de prières qui ont lieu dans les édifices protestants, juifs ou mahométans, ni avec les réunions bavardeuses ou les cérémonies grotesques et infernales qui se déroulent dans les temples maçonniques ?!
    Les catholiques considèrent la sainte Messe comme ce qu’il y a de plus important, de plus précieux au monde : non pas une simple réunion d’hommes mais Jésus-Christ qui se rend présent et renouvelle son sacrifice. Leur participation à la messe est un devoir grave.

    Évidemment, pour réagir, il ne faut pas compter sur les évêques français, acquis eux-mêmes au laïcisme et au mondialisme et couchés devant le régime. Ils ont même parfois devancé les mesures de ce dernier ces semaines-ci.

    Il ne faut pas non plus compter sur Bergoglio :

    « Quant à l’entretien avec le pape François, il n’a pas fait l’objet de communication, comme il est d’usage de la part du Saint-Siège. Mais selon des sources élyséennes, il a porté sur les questions internationales. On se félicite ainsi de «convergences» entre la diplomatie vaticane et française sur quatre sujets clés: la préservation de l’unité et de la solidarité européenne, le soutien du continent africain, sur le plan médical notamment, l’abolition de la dette des pays les plus pauvres, la demande d’un arrêt total des conflits guerriers en cours. » (Le Figaro)

    C’est fabuleux, il tient un discours purement horizontal, le président laïc d’une association mondialiste ne s’exprimerait pas autrement, alors que l’Eglise, piétinée par les gouvernements, vit un évènement parmi les plus extraordinaires et dramatiques de son histoire.
    Mais le pape a ses priorités, ses lubies, ses obsessions (euro-mondialisme, submersion et tonte des Européens…).

     

    Source : contre-info

  • Homohérésie en Allemagne : les évêques écrivent la préface d’un livre en faveur des unions des invertis

    Publié par Guy Jovelin le 30 août 2019

    Le vice-président de la Conférence épiscopale allemande et évêque d’Osnabrück, Mgr Franz-Josef Bode, et l’archevêque de Hambourg, Mgr Stefan Hesse, ont écrit la préface du livre Mit dem Segen der Kirche? (Avec la bénédiction de l’Église ?), texte qui préconise la bénédiction des unions homosexuelles dans l’Église conciliaire post-moderniste.

    Cette œuvre de propagande arc-en-ciel a été publiée en Allemagne par l’éditeur Herder Verlag, et a comme auteurs Stephan Loos, Michael Reitemeyer et Georg Trettin. Ce dernier est un théologien qui « s’est marié » civilement avec un autre homme et est l’organisateur des “Queer Church Services” en Allemagne. Loos et Reitemeyer, en revanche, sont responsables des Académies diocésaines pour l’éducation respectivement des diocèses d’Osnabrück et de l’archidiocèse de Hambourg.

    Le livre a comme sous-titre « Se concentrer sur le travail pastoral concernant les unions homosexuelles » et inclut de nombreux articles sur la question avec la bénédiction ecclésiastique. Parmi ceux-ci se distingue particulièrement le texte écrit pas le professeur Thomas Schüller, théologien et expert de droit canonique à l’Université de Münster, dans lequel est affirmé que bien que la loi canonique lie clairement le sacrement de mariage avec la procréation, il serait « possible » pour un évêque diocésain « d’établir des normes dans la sphère liturgique pour l’Église qui lui est confiée » et de proposer « une bénédiction liturgique pour les couples homosexuels ».

    Dans leur préface à ce livre homohérétique, les évêques écrivent, avec ambiguïté, qu’ils prennent position « dans ces débats ». Mgr Hesse ajoute, en particulier, que comme Eglise il ne se sent pas d’influencer avec crédibilité « cette société quand nous affrontons la réalité de la vie des personnes ». Les deux évêques ont proposé une forme de respect réciproque envers les homosexuels et ont ajouté que « c’est réellement impressionnant de voir qu’il existe des hommes homosexuels et des femmes lesbiennes qui se confessent comme des chrétiens croyants, nonobstant les expériences de refus qu’ils reçoivent, et qui demandent une attention pastorale dans leur style de vie, ce qui est un défi pour développer ensemble des prospectives d’attention ». Enfin, les prélats ont mentionné le « désir d’une bénédiction pour les couples de même sexe comme expression d’une efficace confiance dans l’amour et la fidélité de Dieu ».

    L’Église conciliaire se colore à outrance des slogans Lgbt et s’éloigne, encore et toujours, dans la forme comme dans le fond, de la saine et sainte doctrine catholique !

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Migrants et Sea Watch : Évêques et pop-stars pro-Carole

    Publié par Guy Jovelin le 03 juillet 2019

    Des Mgrs mitrés et crossés aux pop-stars à paillettes, l’intelligentzia de la bien-pensance choisit Carole Rackete, le capitaine du Sea Watch, propulsée nouvelle star médiatique de l’altruisme humanitariste et mondialiste : elle est devenue l’idole, non des jeunes, mais de vieux soixante-huitards ou immigrationnistes assumés, qui sont des combats progressistes laïcs ou religieux.

    Chanteurs, partis, intellectuels de gauche radicaux-chics, prélats modernistes, « ils sont avec Carole », et tant pis si elle a violé la loi, ce n’est qu’un point de détail sans importance, et tant pis si elle collabore à la destruction des nations européennes et du peu de civilisation chrétienne qui y survit, c’est un autre point de détail négligeable…

    Mgr Gian Carlo Perego, l’évêque de Ferrara-Comacchio, pense que la jeune Allemande est comme Garibaldi. Ex-directeur de Migrantes, la fondation de la Conférence épiscopale italienne, en première ligne dans la propagande pour l’accueil inconditionnel des clandestins, il est convaincu que Carole est une héroïne du « nouveau » monde multi-culturel en marche :

    « Le port de Lampedusa peut lui être dédié, propose-t-il. Garibaldi, assassin et brigand contre l’État, aujourd’hui est un héros (révolutionnaire italien duRisorgimento italien). Nous laisserons l’histoire jugée qui est le vrai héros : celui qui ferme un port et chasse ou celui qui sauve des vies. »

    L’Église d’Allemagne est en première ligne également dans la défense de la jeune femme. Hier l’archevêque de Hambourg, Stefan Hesse, au nom de la Conférence épiscopale allemande, a jugé « inacceptable » le comportement italien envers Carole Rackete. Les jours précédents, c’était le président de l’Église évangélique, Heinrich Bedford-Strohm, qui s’était insurgé contre le gouvernement de la botte. Ensemble avec le cardinal Reinhard Marx, ils financent et parrainent la collecte de fonds des talibans de l’accueil à bord du Sea Watch.

    Présentateurs télé et chanteurs italiens sont aussi du côté de la bonne conscience morale universelle qui dicte que le Bien consiste à recevoir toute la misère du monde s’engouffrant illégalement dans le Vieux Continent et le mal d’y résister.

    La collecte de fonds en Allemagne et en Italie destinée à payer les frais légaux du capitaine du Sea Watch, Carole Rackete, les sanctions et le bateau séquestré a déjà dépassé le million d’euros. Le business de l’humanitarisme a encore de beaux jours devant lui…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info