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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 350

  • Saint-Brévin-les-Pins (44) : malgré le terrorisme gauchiste, les patriotes se sont retrouvés nombreux samedi après-midi pour dire NON au grand remplacement

    Publié par Guy de Laferrière le 01 mai 2023

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    Malgré les tentatives ultra violentes des thuriféraires du grand remplacement de casser le rassemblement des habitants de Saint-Brévin contre la volonté du maire d'installer un centre pour migrants, c'est plus de 300 patriotes, parmi lesquels de nombreux jeunes, qui se sont retrouvés devant l'Hôtel de Ville de ce qui avait, jusqu'à présent, la réputation d'être une paisible station balnéaire.

    Pendant que les Brévinois écoutaient les orateurs, représentant à la fois les associations locales et les mouvements nationaux et identitaires, leur apporter leurs soutiens, les larbins du Système saccageaient le centre de la commune et incendiaient des véhicules stationnés. Plusieurs charges de CRS furent nécessaires pour repousser les casseurs. 

    La remarquable détermination des Brévinoises et des Brévinois à lutter contre ce projet ubuesque imposé par une poignée d'élus immigrationnistes est exemplaire. Elle est à l'image de la résistance du peuple de Callac qui a obtenu le retrait d'un projet similaire dans cette commune des Côte d'Armor l'hiver dernier. 

    Nous reviendrons très bientôt sur ce magnifique acte patriotique.

    S N 

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    Alors que les gauchistes et autres antifas se livrent dans le centre de la station balnéaire à leurs violences coutumières...

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    les Brévinois se rassemblent nombreux, dans le calme et la dignité, devant l'Hotel de Ville

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    pour écouter les représentants des associations locales et ceux des mouvements nationaux et identitaires.

  • À Nantes, les riverains du parc de Broussais excédés par le trafic de drogues : “L’insécurité ambiante entre le trafic, les consommateurs agressifs et les migrants a fait de ce quartier un endroit dangereux”

    Publié par Guy de Laferrière le 01 mai 2023

    REPORTAGE – Dans ce square situé à l’est de la ville, les résidents voient défiler quotidiennement des vendeurs de stupéfiants. Averties de la situation, les autorités travaillent sur le sujet depuis le retour des points de deal.

    «Ta mère la p***» : en cet après-midi de vacances scolaires, les dealers ne sont pas en congé. Dans le parc de Broussais, au cœur du quartier Notre-Dame-de-Toutes-Aides, dans l’est de Nantes, des cris retentissent derrière un bâtiment vacant. Moins d’une minute plus tard, la police municipale intervient avant de se faire insulter, menacer et filmer par un jeune individu, sous les yeux des promeneurs lassés.

    «Vous voyez ce qu’on vit», soupire une assistante maternelle qui, avant que la scène n’éclate, décrivait les nuisances qu’engendrait le trafic de drogue. Avec une collègue, elle a déjà songé à lancer une pétition. «Lui, je ne le connaissais pas», renchérit sa fille à propos du présumé dealer, depuis une aire de jeux où elle surveille trois petiots dont elle a la charge.

    (…) Celle qui a déjà contacté les autorités à de multiples reprises poursuit son récit en montrant le visage dissimulé d’une visiteuse : «Elle, je l’appelle la camée. C’est une SDF qui vient avec son espèce de djellaba. Elle vient en chercher deux à trois fois par jour. Elle gueule quand on ne lui donne pas […] C’est infernal, les échanges n’arrêtent pas», ajoute la propriétaire, excédée, qui croise parfois des marchands dès 6h du matin.

    Elle songe d’ailleurs à déménager car elle ne retrouve plus le quartier tranquille, composé de familles, jeunes enfants et personnes âgées, dans lequel elle s’était installée en 2017. «L’insécurité ambiante entre le trafic de drogue et ses consommateurs agressifs et bruyants, la Maison du Peuple [centre social autogéré qui occupe une partie de l’ancien Creps] et ses visiteurs saouls et les migrants qui y ont pris leurs quartiers depuis plus d’un an, a fait de ce quartier, un endroit infréquentable et dangereux».

    (…) Depuis qu’il a écrit à Nantes Métropole pour se plaindre, «ça fonctionne, il y a plusieurs rondes de policiers. Mais il faudrait carrément un mirador !», plaisante cet homme, qui réside ici depuis 15 ans et n’envisage pas d’emménager ailleurs. «Ça sera le même problème pour le prochain. C’est le système qui est en faute.» Selon lui, le trafic serait encouragé par des groupes scolaires situés dans le voisinage. «Au niveau de la loi, un gamin de 10 ans qui achète, on ne lui reproche rien», relate-t-il après avoir observé de jeunes enfants rôdant dans le coin.

    (…) Le Figaro via fdesouche

  • Danemark : les demandeurs de la nationalité devront désormais rester dans le pays jusqu’à une cérémonie de poignée de main scellant la naturalisation avant de s’installer à l’étranger

    Publié par Guy de Laferrière le 27 avril 2023

    Le Danemark est déjà l’un des pays d’Europe les plus restrictifs en la matière. Mais ce jeudi, le gouvernement a annoncé qu’il imposera des conditions encore plus strictes pour l’obtention de la nationalité. Pour devenir Danois, les demandeurs devront désormais rester dans le pays jusqu’à une cérémonie de poignée de main scellant la naturalisation, a annoncé le ministre de l’Intégration Kaare Dybvad Bek.

    « L’obtention de la nationalité danoise est un événement important, qui signifie que si vous voulez faire partie du Danemark […] vous devez vivre dans ce pays lorsque vous devenez danois », a-t-il affirmé dans un communiqué. « Vous devez vivre au Danemark tant que vous n’avez pas serré la main lors de la cérémonie » qui rend effective la naturalisation, a-t-il dit.

    Jusqu’à présent, les naturalisés pouvaient s’installer à l’étranger dès le vote d’une loi annonçant les naturalisations, deux fois par an. Le délai risque de s’allonger car le temps entre l’adoption de ce texte et la cérémonie peut atteindre deux ans. Les critères d’acquisition de la nationalité danoise sont déjà très restrictifs.

    Devenir danois nécessite en outre de s’acquitter d’un test de langue et d’un autre de citoyenneté, censés valider les connaissances sur le pays d’adoption. Près d’un prétendant à la nationalité danoise sur deux est recalé. En 2021, un rapport de l’Institut des Droits humains avait relevé que le nombre de naturalisation était le plus faible en quarante ans.

    20 minutes via fdesouche

  • Fort de Joux (25) :  Emmanuel Macron célèbre le “héros” franco-haïtien Toussaint Louverture

    Publié par Guy de Laferrière le 27 avril 2023

    Le président Emmanuel Macron s’est rendu jeudi au château de Joux, dans le Doubs, pour un hommage au général et ex-esclave affranchi Toussaint Louverture (1743-1803), héros de l’indépendance de Haïti, à l’occasion du 175ème anniversaire de l’abolition de l’esclavage en France.

    À la mi-journée au château de Joux, dans le Doubs, où le héros de l’indépendance de Haïti fut emprisonné jusqu’à sa mort, le chef de l’État devait déposer une gerbe devant le buste de l’ex-esclave affranchi avant de prononcer un discours.

    Cette année, comme en 2018, le président a choisi de célébrer la date du 27 avril 1848 qui correspond au décret de Victor Schoelcher abolissant l’esclavage en France. L’exécutif devait donc être représenté par la Première ministre Élisabeth Borne lors de la traditionnelle cérémonie dans les Jardins du Luxembourg le 10 mai, qui commémore l’anniversaire de la loi Taubira de 2001 ayant reconnu l’esclavage comme crime contre l’humanité.

    Emmanuel Macron entendait combiner ce rappel historique cette année avec le 280e anniversaire de la naissance et le 220e anniversaire de la disparition de Toussaint Louverture, mort dans la forteresse en avril 1803.

    À travers ce rendez-vous, ce sont “trois mémoires de l’esclavage que nous commémorons“, a dit mercredi un conseiller du président : “la mémoire des victimes“, puisque Toussaint Louverture était né esclave, “la mémoire des abolitionnistes” et “la mémoire des héros“.

    Cette “figure universelle“, qui a accédé “au savoir” et qui “toute sa vie défendra” les idéaux des Lumières, a été “un militaire et un général révolutionnaire” qui mènera tous ses combats “au nom de la révolution française“, a souligné un autre conseiller. “Même quand la France s’éloignera de ces idéaux“, a-t-il ajouté, puisqu’il fut emprisonné en 1802 au château de Joux, sans procès, accusé de haute trahison et rébellion, sous les ordres du consul Napoléon Bonaparte.

    Comme à chaque déplacement du président de la République et de ses ministres depuis la promulgation de sa réforme très contestée des retraites, une manifestation était prévue à proximité, même si l’accès au château, qui surplombe la région dans le massif du Jura, devait être barré aux protestataires.

    La CGT du Doubs avait annoncé que l’intersyndicale de Pontarlier donnerait “un concert de casserole au pied du château de Joux”. “Prévoyez de quoi faire du bruit pour faire entendre que 64 ans, c’est toujours non!”, avait dit le syndicat dans un appel à ses adhérents et sympathisants.

    France 24 via fdesouche

  • Pau (64) : excédé par les “deals” sous sa fenêtre, il était descendu de son immeuble avec un bâton et avait été roué de coups par Younès et Magomed

    Publié par Guy de Laferrière le 27 avril 2023

    À la barre du tribunal ce mardi, la victime, un homme de 37 ans à l’époque des faits, rejoue la scène de l’agression subie le 9 novembre 2020 au pied de son immeuble dans le quartier Saragosse, à Pau. Excédé par les « deals » sous sa fenêtre, il était descendu avec un bâton, face à deux jeunes d’à peine plus de 18 ans. Il avait été roué de coups.

    Dans le box des prévenus, il n’y a plus que Younès Mahi, 19 ans à l’époque. Son « collègue » Magomed Alkhanov a refusé d’être extrait du centre pénitentiaire de Mont-de-Marsan où il purge une peine de 6 ans pour violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner. C’était aussi une rixe avec « effet de groupe », déjà dans le quartier Saragosse, près de deux ans plus tôt. Il a été condamné en fin d’année 2022 par la cour d’assises des mineurs.

    Younès reconnaît qu’il dealait au pied de cet immeuble. « J’ai été condamné pour ça à un an de prison. » Une altercation a éclaté avec le riverain depuis sa fenêtre. « J’en avais marre des dealers, j’étais excédé. » Des insultes volent. En train de faire son ménage, le résident balance un seau d’eau en direction des deux jeunes. « Descends si t’es un homme. »

    (…) Elle évoque le nez cassé, la mâchoire abîmée et le genou « en vrac » de son client, mais surtout les suites de cette agression. « Il a vendu son logement et quitté la région ». Lui-même raconte qu’il a encore des angoisses. « Je ne peux plus vivre seul. »

    Pour le ministère public, le « déferlement de violences » est attesté par les constatations médicales pour un riverain excédé par les deals « qui a laissé s’exprimer sa lassitude de manière maladroite ».

    (…) 18 mois dont six mois avec sursis probatoire pour Younès Mahi, 24 mois dont 6 mois de sursis pour Magomed Alkhanov. Ils ont interdiction de contact avec la victime qu’ils devront indemniser à hauteur de 1800 € pour son préjudice moral. Ils ont aussi interdiction de paraître au quartier Saragosse.

    La République des Pyrénées via fdesouche