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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 402

  • Dans L'actu des bonnes nouvelles :

    Publié par Guy de Laferrière le 23 mars 2023

    Dans L'actu des bonnes nouvelles :

    "La société des Forges de Tarbes voit son activité repartir et veut recruter de nouveaux forgerons. Objectif 2026 : produire 160.000 grands corps creux par an destinés aux obus de 155mm. Un projet français d'envergure : en 2020, les États-Unis en produisaient 160.000/an sur leur territoire."

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    Occasion de répéter pour la énième fois, ce qu'il faudra répéter jusqu'à ce que ce soit devenu réalité :

    UN BUDGET MILITAIRE À 4% DU P.I.B :

    1% POUR CHACUNE DES TROIS ARMES (AIR, TERRE, MER),

    ET 1% POUR LE NUCLÉAIRE, TOUTES ARMES CONFONDUES !

     

    Source : lafautearousseau

  • VIVE LE NUCLÉAIRE !

    Publié par Guy de Laferrière le 23 mars 2023

    Les Voix du Nucléaire communique :

    "Le vote solennel à l'@AssembleeNat de la loi sur l’accélération des procédures liées aux nouvelles constructions nucléaires et le fonctionnement des installations existantes a eu lieu 402 voix pour 130 voix contre  adopté !"

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    VIVE LE NUCLÉAIRE !

     

    Source : lafautearousseau

  • Semaine de propagande LGBT au collège Alice Guy à Lyon

    Publié par Guy de Laferrière le 23 mars 2023

    Le collège Alice Guy, à Lyon, impose la propagande LGBT
    Le collège Alice Guy, à Lyon, impose la propagande LGBT

    Au collège Alice Guy à Lyon, tout le mois de mars est consacré à de la propagande en tout genre.  Les élèves doivent notamment subir ces jours-ci un grand lavage de cerveau LGBTQIA+ (la liste des épithètes LGBT ne cessant de s’allonger).

     

    Source : medias-presse.info

  • Sera-t-il bientôt interdit d’annoncer l’Evangile en Israël ?

    Publié par Guy de Laferrière le 23 mars 2023

    Moshe Gafni et Yaakov Asher
    Moshe Gafni et Yaakov Asher

    En Israël, deux membres de la Knesset (le parlement israélien) proposent une législation pour interdire l’annonce de l’Évangile en Israël et envoyer les contrevenants en prison. Cela pourrait-il devenir une loi ?

    Un projet de loi déposé à la Knesset qui interdit d’annoncer l‘Evangile non seulement en public mais aussi via les réseaux sociaux, par courriel et en privé

    Moshe Gafni et Yaakov Asher, députés de la Knesset et membres de United Torah Judaism (UTJ), un parti politique haredi (hautement religieux) détenant un total de sept sièges sur 120 à la Knesset actuelle, ont présenté la semaine dernière un projet de loi qui interdit de parler de Jésus-Christ non seulement en public mais aussi via les réseaux sociaux et par courriel. Annoncer l’Evangile même via les réseaux sociaux, dire que Jésus-Christ est le Messie de Dieu, équivaudrait à un crime. Dans le projet de loi, les contrevenants seront punis de 1 an de prison et si on s’adresse à un mineur, la peine passera à 2 ans. La conversation privée est également considérée comme un crime.

    Moshe Gafni et Yaakov Asher, juifs orthodoxes hostiles au christianisme, sont des voix influentes au sein de la coalition gouvernementale de 64 sièges dirigée par Netanyahu. Ils pourraient donc obtenir de nombreux soutiens à leur projet de loi. Si ce dernier était adopté, il pourrait cependant créer un problème majeur pour le gouvernement de Netanyahu en déclenchant un affrontement sérieux avec les chrétiens évangéliques aux États-Unis et dans le monde, qui sont parmi les plus grands partisans de l’État d’Israël.

    « L’ancien ambassadeur américain pour la liberté religieuse internationale Sam Brownback – qui a servi sous l’administration Trump-Pence – est le premier dirigeant américain, peut-on lire dans le quotidien All Israël News, à avertir publiquement que ce nouveau projet de loi constitue une menace massive pour la liberté d’expression, les droits de l’homme et la liberté religieuse.

    Que dit le projet de loi

    All Israel News a analysé le projet de loi :

    « La législation proposée interdirait tous les efforts des personnes d’une même religion qui, de quelque manière que ce soit, veulent discuter ou tenter de persuader des personnes d’autres confessions d’envisager de changer leurs croyances religieuses actuelles. La punition pour cela serait « un an d’emprisonnement ».

    « Ce projet de loi s’appliquerait aux personnes ayant des conversations spirituelles avec des Israéliens de toute religion.

    « Cependant, dans leur explication officielle du projet de loi, les deux législateurs israéliens ont spécifiquement mis l’accent sur l’avertissement d’arrêter en particulier les chrétiens. L’objectif principal du projet de loi semble donc être de rendre illégal pour les disciples de Jésus (« Yeshua » en hébreu) d’expliquer pourquoi ils croient que Jésus est à la fois le Messie et Dieu, dans l’espoir que les Israéliens pourraient envisager de le suivre.

    « Le projet de loi ne fait pas seulement d’une simple conversation personnelle au sujet de Jésus avec une autre personne un crime. Cela rendrait également illégal « quelqu’un qui sollicite une personne – directement, numériquement, par courrier ou en ligne – afin de convertir sa religion ».

    « Ainsi, produire et publier des vidéos en ligne expliquant l’Evangile aux personnes juives ou musulmanes en Israël – et à ceux de toute autre confession religieuse – deviendrait soudainement illégal.

    « La publication de livres, d’autres publications imprimées, d’articles en ligne, de podcasts ou d’autres formes de médias expliquant la vie et le ministère de Jésus et son message trouvé dans le Nouveau Testament deviendrait également illégale.

    « Il en serait de même pour discuter du message de l’Evangile par e-mail, SMS, lettres écrites et/ou sur les réseaux sociaux, y compris en répondant aux questions posées par des personnes qui ne suivent pas Jésus.

    « C’est déjà un crime en Israël d’essayer de faire du prosélytisme avec des mineurs ou de soudoyer des personnes de tout âge avec de l’argent ou des biens matériels pour changer leurs opinions religieuses. »

    Cette nouvelle législation est avant tout anti-chrétienne

    « Parfois, ces tentatives n’impliquent pas de promesses monétaires ou de gains matériels et ne sont donc pas illégales selon la loi en vigueur », note le projet de loi, « mais les nombreuses répercussions négatives, y compris les dommages psychologiques, justifient l’intervention du législateur ».

    « Par conséquent, il est proposé que, parallèlement à l’interdiction d’accorder des faveurs comme incitation à se convertir à la religion, soit également interdit l’acte de sollicitation à se convertir à la religion, lorsqu’il est fait directement à une personne », que ce soit face à face ou par tout autre moyen de communication.

    Les dirigeants juifs évangéliques et messianiques qui ont parlé à All Israel News ces derniers jours « se disent préoccupés par le fait que dans l’environnement politique actuel, la législation introduite par Gafni et Asher pourrait en fait devenir loi. Ils notent que sur les 120 sièges de la Knesset, la coalition gouvernementale actuelle est composée d’un grand nombre de membres orthodoxes et ultra-orthodoxes. »

    Ces derniers pensent que Netanyahu ne peut pas se permettre de perdre leurs voix s’il espère rester Premier ministre et faire avancer ses autres priorités politiques importantes, notamment empêcher le régime iranien de fabriquer des armes nucléaires, faire la paix avec le Royaume d’Arabie saoudite, le renforcement et l’expansion de l’économie israélienne (surtout alors que l’économie américaine ralentit) et l’adoption de réformes judiciaires radicales.

    Ces juifs orthodoxes et ultra-orthodoxes sont « plus agressifs que jamais dans cette session législative » afin de faire pression pour que des législations soient adoptées qui font avancer leur vision théologique du monde : l‘avènement messianique d’un Grand Israël.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • La Macronie, cet « autre monde »…

    Publié par Guy de Laferrière le 23 mars 2023

    synthesenationale

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    Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés.

    (Propos recueillis par Guirec Sèvres)

    Les jeux sont-ils faits concernant la réforme des retraites imposée de force ?

    L’utilisation du 49.3 permet certes le passage en force de la loi, mais ensuite ? La Macronie a-t-elle conscience de la colère, des frustrations et de plus en plus du dégoût, sinon de la haine que ressentent des millions de Français à l’encontre d’Emmanuel Macron, de ses Ministres et de leurs soutiens ? Je crains que non. Son logiciel interne – soit leur naissance, leur éducation, leur formation, leurs motivations, leurs valeurs – n’est pas conçu pour prendre en compte une telle donnée.

    Cette oligarchie des actuels dominants politiques et économiques, quasi tous sortis des mêmes écoles – dont la seule raison d’être est d’acquérir non de réelles compétences, mais un précieux carnet d’adresses – s’estimant être « d’essence privilégiée », tout comme ceux qui se considèrent ou se sont considérés comme « supérieurs » ou « élus » en arguant de considérations raciales ou religieuses… En Macronie, nulle référence raciale ou religieuse, on fonde sa supériorité sur l’entre-soi de l’origine sociale et des écoles fréquentées. Cette caste était déjà présente sans y avoir été majoritaire dans les précédents quinquennats ou septennats ; elle est désormais en situation de quasi-monopole depuis l’entrée d’Emmanuel Macron à l’Élysée : pour le dire plus simplement, les dirigeants actuels de la France ne sont pas du « même monde » que les dirigeants précédents : jamais un Jacques Chirac, un Nicolas Sarkozy et même un François Hollande n’ont agi avec une telle morgue, un tel déni de la réalité de la « France d’en bas » (encore moins un François Mitterrand).

    Tout de même, on n’avait pas vu autant de monde depuis bien longtemps dans les manifestations contre la réforme des retraites ?

    Mais pas autant qu’espéré, insuffisamment en tout cas pour gêner plus que cela le gouvernement. On a même eu l’idée de proposer aux manifestants de venir clamer leur courroux le week-end plutôt que durant la semaine, afin de ne pas perdre d’argent sur leur salaire ; on allait donc voir ce qu’on allait voir… et on a vu ce qu’on pouvait facilement prévoir : beaucoup ont eu d’autres obligations ludiques ou familiales et n’ont guère préféré déambuler sous le mauvais temps, au milieu des odeurs de merguez grillées… Manifester, c’est désormais non seulement ringard, mais fatigant ; d’où la facilité de se contenter de s’exprimer dans les réseaux sociaux : c’est tellement moderne, moins fatigant… et plus efficace, vraiment ?

    Restent les actuels troubles dans la rue ; pensez-vous qu’ils puissent dégénérer ?

    Si cela devait être le cas, on a vu avec quelle brutalité la Macronie a agi avec les gilets jaunes, alors que ces derniers étaient dans l’ensemble pacifiques, bien que ce soit surtout l’entrée en jeu des Blacks Blocs, antifas et autres milices d’extrême gauche qui a « vidé » les ronds-points à l’époque et clairsemé les manifestations de rue pour la plus grande satisfaction du gouvernement. Aujourd’hui, si les émeutiers sont prêts à en découdre, ce sera peut-être une autre paire de manches… à moins, bien sûr, que ne survienne à point nommé le danger d’un quelconque délire sanitaire, mais l’escroquerie serait tout de même difficile à resservir : rappelons-le, c’est l’enfermement des Français qui avait sauvé le gouvernement d’Édouard Philippe alors déjà aux prises début 2020 avec les grèves et manifestations sur la réforme des retraites… Quant à la menace du très-vilain-méchant Vladimir Poutine, je ne suis pas certain que cela interpelle vraiment nos compatriotes au-delà du petit millier de spectateurs qui se sont déplacés pour le film Gloire à l’Ukraine de Bernard-Henri Lévy… à moins que pour beaucoup d’entre eux, on ne les y reprenne même plus ! 

    Au-delà des troubles dans la rue, il reste l’image écornée de la démocratie dans notre pays ?

    Pas celle de la démocratie qui en a vu d’autres, mais celles de nos institutions et de la crédibilité, pour ce qu’il en restait, de la Macronie. Nombre de nos compatriotes se posent aujourd’hui la question : à quoi sert la représentation parlementaire après le triste spectacle donné à l’Assemblée : non seulement les quelque 20 000 amendements déposés à l’occasion de cette réforme des retraites, dans l’intention parfaitement revendiquée de bloquer les débats, mais aussi les tractations de marchands de tapis entre gouvernement et le groupe Les Républicains qui n’ont même pas abouti à un vote, mais encore les fausses annonces des ministres (les 1 200 euros de retraite minimum par exemple) faisant découvrir qu’ils ne maîtrisaient même pas les méandres de cette réforme, mais également les beuglements et insultes des députés LFI et le « silence assourdissant » du groupe Rassemblement national, tétanisé par son obsession de respectabilité, au risque que certains puissent se poser la question de son utilité ! On peut craindre que la pantalonnade parlementaire à laquelle on a assisté ne fasse encore augmenter l’abstention lors des prochaines échéances électorales.

    Quant à Emmanuel Macron et au gouvernement quelque peu branquignolesque d’Élisabeth Borne, il aura montré tout comme dans la gestion délirante du covid, une incompétence frôlant la perfection… Bien qu’une fois de plus et au risque de me répéter, je l’explique par la nature même de cette caste victime tout autant de consanguinité que d’avoir trop abusé d’un vilain cocktail composé de morgue, d’autisme et d’inculture avalé dès le berceau dans des cuillères en or… même pas fin !

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