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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 555

  • Belgique : un ex-terroriste islamiste de la cellule de Verviers reconverti en entraîneur de foot pour les jeunes dans un club liégeois

    Publié par Guy de Laferrière le 23 janvier 2023

    Celui qui avait dirigé la cellule terroriste de Verviers fait partie d’un programme de réinsertion des détenus par le foot. Il est un des 16 détenus, issus des prisons de Lantin et Leuze, à jouer les entraîneurs auprès de dizaines de gamins.

    (…) Sudinfo.be

    (Merci à sevy)


    A propos de la “cellule de Verviers” :

    15 janvier 2015 : dans une paisible rue de Verviers, c’est une scène de guerre, des explosions, des tirs. Les unités spéciales de la police viennent de démanteler une cellule terroriste. Quelques jours après l’attaque meurtrière de la rédaction de Charlie Hebdo à Paris, l’événement prend une résonance particulière en Belgique, mais aussi au-delà.

    L’enquête avait pourtant commencé bien avant. C’est le retour de Syrie d’un djihadiste belge qui donne en effet l’alerte: on est en novembre 2014. Très vite, on s’aperçoit qu’il garde le contact avec son chef de réseau, qu’il récupère deux autres returnees comme on les appelle et qu’il les conduit dans un appartement loué depuis la mi-novembre rue de la Colline, à Verviers.

    7 janvier, l’attaque à Charlie Hebdo. Des sms sont interceptés par les enquêteurs français. Ils alertent sur des frappes contre des policiers en Belgique.

    12 janvier, les experts truffent de micros l’appartement rue de la Colline.

    La fusillade a fait deux morts et un blessé

    15 janvier, un complice débarque avec un paquet. Les 3 hommes s’extasient sur une kalachnikov. Les forces de l’ordre n’hésitent plus: l’assaut est donné. Il est 17H42. Grenades assourdissantes, échanges de tirs… Sofiane Anghar, 26 ans, et Khalid Ben Larbi, 33 ans, sont abattus. Marouane El Bali est intercepté. Les 3 hommes sont originaires de Molenbeek.

    El Bali écopera de 12 ans de prison.

    Dans l’appartement, on retrouvera notamment des uniformes de policiers, des armes de guerre, des armes de poing, et tout le matériel nécessaire à la fabrication d’explosifs.

    RTBF

  • "France orange mécanique"

    Publié par Guy de Laferrière le 23 janvier 2023

    lafautearousseau

    Triste illustration supplémentaire, banale et quotidienne, de la "France orange mécanique" à cause du Système qui a transformé notre beau pays en une gigantesque poubelle du monde, avec sa politique d'immigration/invasion qu'il impose depuis plus de quatre décennies... : Ferrières-en-Gâtinais. Un gendarme et son chien fauchés volontairement par un chauffard de 26 ans, qui dit avoir agi selon "la volonté de Dieu"... :

    https://policeetrealites.com/2023/01/21/%f0%9f%87%ab%f0%9f%87%b7-ferrieres-en-gatinais-un-gendarme-et-son-chien-fauches-volontairement-par-un-chauffard-de-26-ans-qui-dit-avoir-agi-selon-la-volonte-de-dieu/

    3795001252.807.jpg

     

  • TF1-LCI essaye de discréditer les journalistes indépendants dans le Donbass sous couvert de « fact-checking »

    Publié par Guy de Laferrière le 23 janvier 2023

    lesmoutonsrebelles

    Le 20 janvier 2023, TF1-LCI publiait un article et une vidéo visant à discréditer plusieurs journalistes occidentaux indépendants travaillant dans le Donbass. Sauf que ce pseudo « fact-checking » s’avère au final n’être qu’un ramassis d’informations tronquées voire de fausses informations, quand cela ne vire pas tout simplement à la diffamation.

    Cette tentative de discréditer les journalistes occidentaux indépendants qui travaillent dans le Donbass n’est pas la première et n’est certainement pas la dernière, mais il faut avouer qu’elle est tellement mal faite, qu’elle dévoile toute l’incompétence des journalistes et des pseudos « fact-checkers » français.

    En effet, dans la vidéo, Samira El Gadir, responsable du service de « fact-checking » de TF1-LCI, aligne les mensonges et les demi-vérités sur les quatre journalistes qui y sont visés, à savoir Thomas Röper, Alina Lipp, Graham Philipps, et moi-même.

    Par exemple, Samira El Gadir raconte dans la vidéo, et cela est repris dans l’article, que Thomas Röper, un journaliste allemand qui vit depuis des années en Russie, serait présenté par les médias russes comme travaillant pour le Spiegel. Or, comme on peut le voir en cherchant son nom en russe, les médias de la fédération de Russie, comme par exemple RIA FAN, mentionnent clairement Thomas comme étant le fondateur du blog Anti-Spiegel, et pas du tout comme étant un journaliste du Spiegel. Donc soit Samira et son équipe sont une bande de bras cassés, incapables de faire une recherche en russe sur un moteur de recherche, soit ils sont de mauvaise foi.

    Ils passent ensuite à Alina Lipp, dont ils sont d’ailleurs incapables d’écrire le nom correctement, oubliant le deuxième « p » à la fin une fois sur deux. Dans la vidéo, Samira nous explique qu’Alina vit désormais en Russie, en oubliant d’expliquer pourquoi ! Si Alina ne peut plus rentrer chez elle, c’est parce qu’elle risque trois ans de prison pour avoir simplement fait son travail de journaliste en disant que la population du Donbass soutient l’opération spéciale russe en Ukraine, et que l’armée ukrainienne bombarde les civils. Il faut dire qu’un tel aveu fissurerait l’image « démocratique » (droits de l’homme, liberté d’expression, tout ça, tout ça) de l’Allemagne, et donc de l’UE.

    Ensuite, ils s’en prennent à Graham Philipps, dont cette chère Samira nie qu’il soit un journaliste, le qualifiant de « blogueur », avant – dans la même phrase (!!!) – de dire qu’il a travaillé pour RT et la chaîne TV du ministère russe de la Défense. Sauf que Graham n’y servait pas le thé, ni le café, il y a travaillé comme journaliste faisant des reportages sur le terrain. Donc Graham Philipps est bien un journaliste et non un blogueur.

    Voir la démystification en vidéo du « fact-checking » de TF1-LCI :

    L’ensemble des personnes attaquées dans ce pseudo « fact-checking » de TF1-LCI sont des journalistes occidentaux indépendants qui travaillent dans le Donbass et en Russie, et non des blogueurs, des influenceurs ou je ne sais quel titre bidon visant à les discréditer. Tous ont des accréditations de journalistes. Je rappelle pour Samira et son équipe de bras cassés qu’un journaliste est (je cite Wikipédia qu’on ne peut pas accuser d’être pro-russe) : « une personne qui recueille ou recherche, vérifie et écrit puis distribue des informations sur tout type de support média (presse écrite, radio, TV et les technologies de l’information et de la communication du Web)». Définition qui correspond à chacun d’entre nous.

    S’il est oublié dans la vidéo, c’est ensuite Adrien Bocquet qui est attaqué dans l’article, dans ce qui n’est ni plus ni moins que de la diffamation pure et simple. Il se trouve que j’ai déjà rencontré Adrien plusieurs fois, et que j’ai pu voir sur son téléphone plusieurs photos et vidéos de lui en Ukraine qui prouvent qu’il y est bien allé, et ce, dans les zones qu’il a indiqué à plusieurs médias français. Je tiens à rappeler à l’équipe de TF1-LCI que la diffamation publique est punie par la loi française d’une amende de 12 000 € !

    Je rappelle aussi que le type d’analyse utilisé pour discréditer une des photos d’Adrien (voir la démystification qu’il a fait personnellement de ce pseudo « fact-checking ») a déjà été utilisée dans le passé par Bellingcat, qui s’est fait taper sur les doigts par le concepteur de l’outil d’analyse pour en avoir fait un usage incorrect et en avoir tiré, par conséquent, des conclusions foireuses. Utiliser cet outil pour évaluer un niveau d’erreur sur une photo de basse qualité qui a été recompressée ensuite par Twitter relève de la lecture dans les feuilles de thé !

    D’ailleurs les concepteurs de l’outil utilisé par France TV disent eux-mêmes qu’il faut «prendre en compte que les filtres forensic mettent en évidence tout type de modifications du signal numérique de l’image et pas seulement des manipulations altérant le sens de l’image (ce qui veut dire qu’il peut y avoir des faux positifs) » et que «certaines textures complexes ou excès de luminance peuvent également modifier le signal sans intention de manipulation ». En clair tirer une conclusion sans équivoque sur base de cet outil est impossible.

    La vidéo de TF1-LCI et leur article se termine sur ma personne, avec là encore des mensonges et des erreurs à tour de bras. Contrairement à ce que ces pseudo « vérificateurs » peuvent dire non je n’ai pas « longtemps habité au Luxembourg », puisque je n’y ai même JAMAIS habité ! Travaillé oui, mais habité non. Déjà là on commence mal, très mal même. Samira et son équipe ont en effet oublié de regarder sur une carte la taille du Luxembourg, ce qui leur aurait permis de voir qu’à cause de la petite taille du pays, il est très facile d’y travailler, tout en vivant dans un des trois pays voisins ! Ce que font plusieurs dizaines de milliers de Français, de Belges et d’Allemands !

    Ensuite dans l’article l’équipe de vérificateurs-désinformateurs de TF1-LCI, prétend que dans ma vidéo du 2 juillet 2022 je me serais réjouie de l’effondrement des défenses ukrainiennes et des énormes pertes de Kiev. Sauf que je ne fais qu’énoncer des faits, je ne dis à aucun moment dans la vidéo que je me réjouis de ça. Si juste dire « les défenses ukrainiennes se sont effondrées » et « les pertes de Kiev sont énormes » c’est s’en réjouir pour Samira et son équipe, c’est qu’il faut renvoyer tous les « vérificateurs » de TF1-LCI sur les bancs de l’école pour apprendre le français, et leur rajouter quelques cours sur les devoirs du journaliste, qui se doit d’être factuel et honnête. Or là, soit Samira et son équipe ont un QI de poulpe mort cuit à la vapeur, soit ils m’ont intentionnellement prêté des intentions et des propos que je n’ai pas eus ni tenus !

    Enfin, histoire de finir de nous discréditer, l’article mentionne qu’aucun d’entre nous « n’avait travaillé pour un titre de presse avant de se rendre en Russie ». Sauf que c’est faux me concernant puisque j’ai travaillé pour une maison d’édition publiant un magazine économique pendant deux ans. C’est ça le problème quand on pond un « fact-checking » en moins de 24 h chrono (dixit Samira elle-même), et qu’on prétend tout savoir de la vie de cinq personnes en ayant à peine cherché cinq minutes sur Google : on se vautre lamentablement. Et vouloir cracher sur les journalistes occidentaux indépendants qui travaillent dans le Donbass sous prétexte de manque d’expérience, alors qu’on a soi même pas fait d’école de journalisme, comme Samira El Gadir qui est entrée dans le métier via la Fondation TF1, et qui avant ça n’y connaissait rien du tout, c’est carrément l’hôpital qui se moque de la charité.

    Je rappelle à Samira et son équipe de pseudo-experts, que je suis reporter de guerre dans le Donbass depuis sept ans ! Que contrairement à elle, je suis sur le terrain, je vis en zone de guerre depuis bientôt sept ans, j’ai arpenté la ligne de front du Donbass du nord au sud, j’ai dormi sur le front, sur positions, et j’ai filmé des reportages et mené des missions humanitaires au plus près qu’il était possible d’aller dans les zones où se déroulaient encore les combats.

    Je lui rappelle aussi que les cinq journalistes occidentaux qu’elle et son équipe de pseudo « vérificateurs » de TF1-LCI ont diffamé depuis leurs fauteuils et leurs bureaux confortables, risquent tous leur vie, et ont tous enduré les bombardements de l’armée ukrainienne sur la population civile du Donbass pour pouvoir montrer à leurs concitoyens ce qui se passe réellement sur le terrain.

    Samira, le jour où tu feras le tiers du quart du travail de terrain des cinq journalistes indépendants que tu as diffamés, et que tu prendras ne serait-ce qu’un dixième des risques que nous prenons dans le Donbass pour faire nos reportages, tu pourras commencer à critiquer notre travail. En attendant, tu n’as réussi qu’à prouver que nos reportages et nos articles vous effraient au plus haut point, vous poussant à tout tenter, même la diffamation la plus crasse pour essayer de discréditer notre travail. Malheureusement pour vous, la seule chose que vous avez réussi à faire c’est de « fact-checker » le fait qu’on peut être « journaliste » en France en ayant le QI d’une méduse échouée sur une plage.

    Christelle Néant

    source : Donbass Insider

  • RT France contraint à la fermeture après le gel de ses comptes bancaires par l’État français

    Publié par Guy de Laferrière le 23 janvier 2023

     

    RT France était en sursis ; c’est désormais fini. RT France, branche française de la chaîne russe RT suspendue dans l’Union européenne, a annoncé samedi sa « fermeture » au lendemain du gel de ses comptes bancaires.

    « Après 5 années d’acharnement, les autorités au pouvoir sont donc parvenues à leurs fins : la fermeture de RT France […] La Direction générale du trésor a décidé de geler les comptes bancaires de RT France rendant impossible la poursuite de notre activité », a annoncé sur Twitter Xenia Fedorova, présidente et directrice de la chaîne.

    Dénonçant une « mesure arbitraire », elle affirme que 123 salariés français, dont 77 titulaires de la carte de presse, « risquent aujourd’hui de ne pas être payés de leur salaire du mois de janvier et vont perdre leur emploi par le fait du prince ».

    100 salariés possiblement au chômage

    Vendredi 19 janvier, les syndicats de RT France avaient dénoncé le gel des comptes de la chaîne en France. Interrogé par l’AFP, le ministère français de l’Économie avait précisé que les avoirs de la chaîne avaient été gelés en application des sanctions européennes les plus récentes et non à l’initiative de l’État français.

    Lire l’intégralité de l’article sur ouest-france.fr

  • Des robots armés pour la police ? On en discute jusqu’à Davos…

    Publié par Guy de Laferrière le 23 janvier 2023

    Auteur : 

    L’édition 2023 du Forum économique mondial de Davos s’achève ce vendredi. Parmi les nombreux thèmes abordés, il a beaucoup été question de l’intelligence artificielle et de la place des nouvelles technologies connectées dans le monde de demain. Le Forum économique mondial, qui compte en ses rangs de nombreux patrons de sociétés de ce secteur, se montre naturellement très favorable à l’essor de l’intelligence artificielle, du tout connecté et du transhumanisme qui en est un aboutissement. Pour faire bonne figure, les débats et discours du Forum économique mondial sur le sujet s’accompagnent de quelques mots sur les aspects éthiques liés au développement de l’intelligence artificielle. Ainsi, il a rapidement été rappelé qu’en novembre 2022 la police de San Francisco se préparait à incorporer des robots maniant des armes potentiellement mortelles. Devant le tollé suscité parmi la population, la ville de San Francisco a renoncé à ses robots policiers armés s’est-on contenté de noter à Davos.

    Le projet de la ville de San Francisco et le débat qu’il a suscité sont très révélateurs et méritent qu’on s’y attarde. La question posée est la suivante : peut-on laisser à des robots travaillant aux côtés des forces de l’ordre le soin de décider sur base d’algorithmes d’une intelligence artificielle l’utilisation d’une arme à feu ?

    L’idée que les robots soient légalement autorisés à tuer a entraîné une importante controverse il y a quelques semaines qu’il faut résumer aux lecteurs de Médias Presse Info.

    C’est en 2016 qu’un robot a été utilisé pour la première fois par les forces de l’ordre en tant que force meurtrière aux États-Unis. Le département de police de Dallas a utilisé un robot de déminage armé d’un engin explosif pour tuer un suspect qui avait tué cinq policiers.

    Paul Scharre, auteur du livre Army Of None: Autonomous Weapons And The Future Of War, a souligné la différence entre l’utilisation de robots armés par les forces militaires ou par les forces de police.  « Pour les militaires, ils sont utilisés au combat contre un ennemi et le but est de tuer l’ennemi. Ce n’est pas et ne devrait pas être le but des forces de police. Ils sont là pour protéger les citoyens, et il peut y avoir des situations où ils doivent utiliser une force mortelle, mais cela devrait être absolument un dernier recours. »

    « Une fois que vous avez autorisé ce type d’utilisation, il sera très difficile de revenir en arrière. »,  dit-il.

    Ryan Calo, spécialiste de la robotique, considère que l’idée de « robots tueurs » est une rampe de lancement pour une discussion plus large sur notre relation à la technologie et à l’Intelligence Artificielle. Et il se demande ce qui se passera si la technologie commet un « bug » et qu’un robot tue ou blesse accidentellement une personne. « Il deviendra très difficile de démêler qui est responsable. Est-ce que ce sont les personnes qui utilisent la technologie ? Est-ce que ce sont les personnes qui conçoivent la technologie ?« 

    Ryan Calo soulève une question supplémentaire : « Nous devons nous demander si nous voulons une société où la police tue des gens avec des robots ? C’est profondément déshumanisant. »

     

    Source : medias-presse.info