Publié par Guy Jovelin le 02 juillet 2020
Notre pays aurait, en effet, commis la faute et le péché inexcusable aux yeux de la conformité globalisante de "laisser des migrants sans ressources et à la rue". Les Français pauvres et sans domicile peuvent, en revanche crever sans que les membres de la juridiction européiste de Strasbourg ne fronce le moindre sourcil.
Que la CEDH se rassure: quand les Français nous auront portés au pouvoir et que nous aurons instauré l'État national, il n'y aura plus aucune atteinte aux droits des migrants.
Pour la raison très simple qu'ils auront tous été refoulés hors de notre territoire et que, progressivement mais sûrement, nous procéderons à une juste mais ferme rémigration.
Jean-François Touzé
Délégué général du Parti de la France.