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covid 19

  • Les Amish et le Covid 19 : pas de vaccin, pas de mort

    Publié par Guy de Laferrière le 04 octobre 2023

    Publié le  par 

    Voici la vidéo d’une intervention de Steve Kirsch, un entrepreneur de la Sillicon Valley qui avait le vent en poupe dans les médias mainstream jusqu’en 2021, date à partir de laquelle il fut la cible d’une kabbale visant à le dénigrer, un peu comme ce qu’a subi le professeur Didier Raoult en France.

    Dans son intervention, en anglais, sous-titrée, mais dont vous trouverez une traduction en français ci-dessous, il revient sur le cas très particulier des Amish, qui sont aussi peu morts du Covid que vaccinés… ce qui laisse songeur au moment où le Gouvernement essaie de nous refourguer un discours anxiogène sur cette grippe pour écouler de nouvelles doses.

    Voici la vidéo, et en dessous la version française de son exposé.

    « Parlons des Amish.

    Hier, je suis allé en voiture dans le comté de Lancaster (Pennsylvanie).

    J’ai conduit jusqu’au pays Amish. J’ai roulé de maison en maison en maison. En fait, je suis allé chez un parent de Gideon King. C’est la seule personne, la seule personne connue dans la communauté Amish, qui serait morte du COVID, à ma connaissance.

    Maintenant, ils disent qu’il pourrait y avoir jusqu’à cinq personnes dans le comté de Lancaster qui soient mortes du COVID, mais je n’ai pas pu obtenir le nom de ces cinq personnes.

    J’ai offert une récompense de 2 500 $ sur Twitter. « Hey ! Donnez-moi les noms de plus de cinq personnes du comté de Lancaster décédées à cause du COVID. » Pas une seule personne n’a pu nommer plus d’une personne, et ils nommaient à chaque fois Gideon King…

    Je suis donc allé chez Sam King, qui est un parent de Gideon King. Et j’ai parlé à Sam : il ne sait pas si Gideon est réellement mort du COVID ou non. Il est décédé à l’hôpital et ils pensent que c’était le COVID, mais peut-être qu’il est mort à cause des protocoles hospitaliers COVID…

    Alors, vous regardez les Amish. J’ai fait le calcul. Disons qu’il y avait cinq Amish – parce que les gens disent, je pense qu’il y en avait peut-être quelques-uns, ou peut-être qu’il y avait cinq Amish. Et puis je leur ai demandé, d’accord, pouvez-vous les nommer ? Et personne ne peut les nommer. Mais faisons comme si nous pouvions les nommer – et que cinq Amish soient vraiment morts. Hé bien cela signifie que les Amish sont morts à un taux 90 fois inférieur au taux de mortalité par infection des États-Unis d’Amérique. Les Amish sont morts du COVID à un taux 90 fois inférieur à celui de l’Amérique – que du reste de l’Amérique…

    Maintenant, comment est-ce possible ? C’est possible parce que les Amish ne sont pas vaccinés. Et parce que les Amish n’ont suivi aucune directive du CDC (Centers for Disease Control and Prevention). Ils ne se sont pas confinés. Ils ne portaient pas de masque. Ils n’ont pas respecté la distanciation sociale, ils n’ont pas vacciné et il n’y avait aucun mandat dans la communauté Amish pour se faire vacciner. Ils ont fondamentalement ignoré toutes les directives que le CDC nous a données. Ignorer ces directives implique un taux de mortalité 90 fois inférieur à celui du reste de l’Amérique. Alors vous parlez de suivre les conseils de l’OMS ? Pourquoi ne copions-nous pas ce qui fonctionne ? En fait, ne serait-il pas formidable de dire, lors de la prochaine pandémie, que la Pennsylvanie suivra les conseils des Amish plutôt que de l’OMS ? Et vous vous en porterez bien mieux. »

    ***

    Source

    ***

    Voilà un sérieux coup de canif dans le sanitairement correct, surtout si on l’ajoute à la récente déclaration ubuesque de Robert Sebbag… sans compter tous les autres témoignages et toutes les autres recherches dont les résultats sont estampillés « complotistes » car ils blasphèment la religion du Covid…

  • Covid 19, la fin du bal ?

    Publié par Guy Jovelin le 27 janvier 2022


    Le gouvernement a fait adopter le 16 janvier par les parlementaires, le projet de loi de « Renforcement des outils de gestion de la crise sanitaire », qui a fait l’objet de deux saisines auprès du Conseil constitutionnel rejetées, quatre jour plus tard, délai probablement record… On peut raisonnablement penser que ce dispositif légal sera le dernier avatar de l’arsenal répressif du gouvernement, alors même que le variant dit « Omicron » semble signer l’affaiblissement inéluctable de la Covid 19, qui n’est pas autre chose qu’une grippe sévère touchant les plus faibles d’entre nous. Car au fond, on doit s’interroger sur la légitimité de ces mesures de plus en plus coercitives dont l’objectif avoué est en réalité d’éviter d’encombrer les services d’hospitalisation en réanimation.

    L’arsenal législatif et réglementaire

    Selon le dernier texte du 16 janvier, qui a été validé sur l’essentiel par la haute juridiction, toutes les personnes de plus de 18 ans et un mois doivent avoir fait leur injection de rappel dans les temps pour conserver leur certificat de vaccination actif dans le « pass sanitaire », sans quoi leur ancien certificat de vaccination sera considéré comme expiré.

    Il est inutile de rappeler ici les multiples hésitations et changements de pied de la réglementation ; l’inefficacité avérée du confinement, comme du masque porté à l’extérieur, sont autant d’expressions de la versatilité d’un gouvernement adaptant sa politique au gré de l’émotion de l’opinion publique et des avis scientifiques pourtant partagés.

    Le gouvernement cherche évidemment à imposer légalement la vaccination. Le pass sanitaire sert en effet à priver les non vaccinés des libertés élémentaires des citoyens. Le non vacciné ne peut plus profiter de droits fondamentaux, puisqu’il est interdit d’accès à de nombreux lieux publics.

    Mais le dispositif est incohérent, ce en quoi il confirme l’existence d’un « absurdistan » typiquement français. Ainsi dans les transports, vaccination obligatoire dans l’Eurostar, la Grande-Bretagne ayant des règles spécifiques (mais encore plus restrictives). Mais il est possible de se déplacer via les TER et les trains de la banlieue parisienne, ainsi qu’avec les petits trains touristiques, autobus, tramways, métros, téléphériques dont les cabines sont des incubateurs, et autres transports locaux.

    Le pass sanitaire n’est pas réclamé pour entrer dans les services publics, tribunaux, impôts, mairies, administrations, Pôle emploi, Sécurité sociale etc… En revanche, il est indispensable pour accéder à une bibliothèque, un conservatoire ou une salle des fêtes…

    Les bibliothèques sont ainsi interdites d’accès sans pass, sauf la B.N.F… , comme les réceptions de mariage et fêtes privées si elles se déroulent dans un établissement, les séminaires de plus de 50 personnes s’ils se déroulent à l’extérieur de l’entreprise. On se demande quelle est la différence entre ces activités en lieu fermé.

    Et pourtant on savait

    On a su très rapidement que les populations à risques constituaient l’essentiel des victimes de la pandémie. Très vite également, on a constaté les limites de l’efficacité de la vaccination à partir de vaccins ARN, dont le seul effet indiscutable est de limiter la gravité de l’affection, mais en aucun cas de l’éviter ni même d’empêcher la propagation exponentielle du virus. 

    Incapables d’obtenir un consensus par la représentation nationale ou par l’opinion, nos autorités n’auront jamais eu le courage de mettre en place une obligation légale de vaccination pour les populations à risques, c’est-à-dire les personnes âgées ou celles présentant des causes de morbidité. Ces populations sont pourtant faciles à déterminer, par l’état-civil et le réseau de soins. Cette vaccination vaccinale aurait pourtant répondu efficacement à l’objectif sanitaire.

    De nombreux scientifiques affirment que la vaccination généralisée réduit les risques d’apparitions des variants. Manque de chance, c’est pourtant dans les pays au taux de vaccination élevé, comme en Europe, que le dernier variant Omicron a le plus flambé. La France et les Pays-Bas additionnent les records de taux de vaccination et d’infection par le dernier variant !

    On sait, mais jamais en France la campagne de communication sur les « gestes barrière » n’aura été aussi massive alors que toutes les mesures coercitives prises jusque là ont démontré leur inefficacité contre la Covid. Certains commentateurs bien informés affirment même que le gouvernement aurait en réalité décidé de laisser la pandémie s’étendre à la totalité de la population. Cette extension, on le sait, est la seule manière de l’affaiblir notamment par l’immunité collective

    Mais le bal est loin d’être terminé

    À n’en pas douter, le pass sanitaire est fait pour devenir un dispositif qui sera peut-être pérennisé, mais certainement conservé en cas de nécessité. C’est un outil formidable de contrôle sur les populations, qui pourra être remis en vigueur à la première occasion. Et il ne fait pas de doute que nous serons confrontés, dans nos sociétés hyper-urbanisées, à d’autres crises sanitaires. Il suffira alors d’obtenir de la représentation nationale godillot chez nous le remise en vigueur du dispositif, sur simple avis médical des médecins affidés qui pullulent dans nos médias.

    Nos autorités auront réussi à « orwelliser » notre société avec une facilité déconcertante. Tous les outils de surveillance sont en place. Et tous les dispositifs de contrôle du citoyen également. Rien n’empêcherait à terme un État de faire évoluer  un modèle de type TousAntiCovid pour contrôler l’accès de citoyens à l’exercice de leurs libertés individuelles. La montée des dangers et les inéluctables troubles sociaux liés aux déficits démocratiques risquent en effet de générer une demande accrue de contrôle et de répression. Les Français pourraient ainsi admettre la mise en place d’une surveillance des délinquants et des citoyens considérés comme dangereux via leur téléphone portable. 

    Il serait naïf de croire que nous sommes à l’abri de telles mesures. Ainsi le bal pourrait prendre fin, mais seulement en apparence.

     

    Source : 24heuresactu

  • Discothèques fermées, clubs échangistes ouverts, les membres du gouvernement révèlent leurs lieux de prédilection

    Publié par Guy Jovelin le 11 décembre 2021

    Lundi 6 décembre, Castex et Véran ont gratifié les Français d’une énième conférence de presse anxiogène pour soi-disant lutter contre la 5e vague de covid-19, à la suite d’un conseil de défense dont les échanges sont couverts par le secret pendant de nombreuses années.

    Les échanges, secrets de préférence, le gouvernement Castex les privilégie sous toutes les latitudes et les attitudes.

    Ainsi, si les discothèques « ne peuvent accueillir du public jusqu’au 6 janvier inclus » ​selon le décret qui précise que cette interdiction s’applique jusqu’à la même date aux activités de danse ​des bars et restaurants, ce que l’on nomme les « clubs libertins » ou clubs échangistes, eux resteront ouverts. Le covid, par on ne sait quelles influence et raison scientifique, s’arrête au seuil des maisons closes.

    A se demander si ce ne sont pas des lieux privilégiés, mais où l’on va en secret et qui doivent donc être exempts de toute descente de police inopinée, par les petits ministricules de « l’adolescent attardé » qu’est Macron…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info