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duc d'anjou

  • La France terrain de jeux des républicains

    Publié par Guy Jovelin le 24 avril 2022

    Peut être une image de 1 personne et texte qui dit ’Le roi de France ख désigné par les Lois fondamentales du Royaume’
     
    La France terrain de jeux des républicains :
    La République a ce côté obscur qui humilie le peuple de France, avec sa science politique qui a intégrer dans son logiciel les partis politiques de tous bords et qui dans l'incrimination obsessionnelle d'un système bien rodé en tire tout le mal produit par les élites républicaines. La République pourrait avoir comme surnom "la catastrophe". Apparemment nous allons pas encore échapper à l'anathème d'une République qui s'épuise, mais entretenue par le peuple de France (via l'élection présidentielle de 2022) qui refuse le changement politique, de revenir aux fondamentaux. La République cette fossoyeuse d'une France millénaire, responsable d'un état des lieux, la France est un champ de ruine, politique, culturel, social, et religieux. Fondons donc nos espoirs au véritable héritier de ceux qui ont gouverné la France depuis sa naissance en 496 jusqu'à la Révolution de 1789. Et soutenons sans réserve le Duc d'Anjou (Louis XX).
    CLG.
    ⚜ La légitimité c'est Louis XX⤵
  • Message de Mgr le Duc d’Anjou - Déclaration de la Saint-Louis

    Publié par Guy Jovelin le 26 août 2020

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    Chers Amis, chers compatriotes,

    Quelle tristesse de constater que d’année en année, la situation de la France se dégrade. Fort de la responsabilité que m’imposent les huit siècles de royauté capétienne dont je suis l’héritier, la gravité actuelle de l’état de la France, m’amène à m’exprimer, en ce jour où l’Eglise fête Saint Louis, le modèle des gouvernants.

    Force m’est de constater que notre pays s’enfonce vers des jours de plus en plus graves, alors que j’aimerais que mes déclarations puissent saluer le renouveau que tous les Français fidèles et qui croient en la destinée de leur pays, espèrent de tout leur cœur.

    Atteinte depuis plusieurs années par une crise morale qui la fait douter d’elle-même, de sa mission, de son identité, la France doit aussi subir de nombreuses attaques venues de l’extérieur, tellement diffuses et perverses, qu’il est difficile de toujours bien les cerner, et de trouver les bonnes ripostes. La difficulté est d’autant plus grande que la vérité n’est plus regardée en face et que les mots sont travestis par l’idéologie au point de perdre leur sens. Ceux qui résistent vaillamment sans perdre confiance, souvent animés d’une foi profonde, ne suffisent pas à redresser la situation. Pareillement, nos  militaires engagés  sur de nombreux terrains au-delà de nos frontières, constatent que leur sacrifice et leur abnégation  ne suffisent pas isolément à recréer une dynamique de vainqueur. Les combats se gagnent certes sur le terrain, mais c’est d’abord dans les cœurs et les esprits  que se forgent les conditions de la victoire qui doit trouver son expression politique.

    Or, bien souvent,  la France donne l’impression que cette volonté n’est plus là. Pourtant il faudrait peu de choses : lui redonner le goût et le sens de la victoire qu’avait la France sûre d’elle-même et de sa mission ; et lui rappeler les grands moments de son passé qui demeurent des exemples pour demain.

    Cet état d’esprit qui pourrait surgir à nouveau si les Français le veulent,  semble oublié, annihilé.  Les « élites » depuis la Révolution n’ont agi que par intérêt. Quand reviendra-t-on au Bien Commun, à la justice, à la protection des plus faibles ? Quand acceptera-t-on de redonner aux mots leur sens et d’oublier qu’il n’y a ni incivilité, ni jeunes sauvageons mais violences gratuites et  nouveaux barbares sans foi ni loi qu’il s’agit de combattre et de punir. En effet,  chacun de leurs crimes ruine la vie sociale. Or elle est déjà bien difficile pour de nombreux Français déjà confrontés à une situation économique et sociale souvent critique. Pourtant,  la dernière crise sanitaire a montré combien nos compatriotes étaient capables de sursauts et d’initiatives quand l’Etat ne les oppresse pas ; quand il ne les accable pas d’une fiscalité de plus en plus lourde et injuste puisqu’elle n’assure plus les services publics même les plus essentiels ; quand l’Etat ne s’attaque pas aux libertés. Les Français, en nombre toujours plus grand, se rendent compte que les institutions ne répondent plus à leurs attentes légitimes.

    Combien de crises faudra-t-il encore ? combien de sacrifiés pour que les yeux s’ouvrent ?

    Il y a quelques mois, crise sanitaire aidant, des esprits lucides  avaient posé la question de savoir si ces évènements, dûs largement au moins dans leurs conséquences, aux erreurs accumulées qui se traduisent par des centaines de milliers de mort, en France, en Europe et dans le monde entier, n’étaient pas l’occasion de réfléchir aux désordres des dernières décennies.  Le beau symbole du « jour d’après » semblait porteur d’avenir. En réalité quelques mois après, les mauvaises habitudes ont largement triomphé des bonnes résolutions et les jours d’après semblent encore plus catastrophiques que ceux d’avant. Le vote, devant une assemblée quasi déserte de la loi dite bio-éthique en est la plus éclatante manifestation… Elle est à la fois contraire à l’ordre naturel  et à l’éthique.  Elle cumule le déni du système représentatif actuel par la manière dont elle a été élaborée et la rupture avec les fondements de l’humanité. Les manipulations contre nature sont en train de franchir une nouvelle étape vers une société de chimère ou plus aucune limite ne semble retenir les hommes. La société de la peur et des contraintes est aussi, désormais,  celle de la mort planifiée.

    Quel monde avons-nous devant nous ? Quel monde laisserons-nous à nos enfants ?

    Je parle ici comme héritier et successeur des Rois de France mais aussi comme père et époux. Je sais combien de jeunes couples sont inquiets pour l’avenir de la société ; l’avenir de leurs enfants ;  de nos enfants.

    Heureusement les siècles d’histoire nous apprennent que les situations les plus terribles ne sont pas irréversibles. La France s’est sortie d’autres périls et cela même quand elle a failli perdre sa souveraineté comme au temps de Charles VII. La mission de Jeanne d’Arc l’a sauvé d’un péril d’autant plus éminent que l’ennemi était déjà installé sur notre sol. Celle qui est devenue en 1920 la patronne du Patriotisme a sauvé le pays et a restauré la monarchie légitime.

    De tels exemples doivent nous redonner espoir et susciter de nouvelles initiatives pour reconstruire la France.

    Puisse Saint Louis, modèle des souverains et des gouvernants, protéger la France et l’aider à retrouver le sens de sa mission.

    Louis,
    Duc d’Anjou

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    Source : synthesenationale

     
  • Le duc d’Anjou souhaite une consécration solennelle de la France effectuée par l’ensemble de son épiscopat

    Publié par Guy Jovelin le 12 avril 2020

    Auteur : Michel Janva

    Le duc d’Anjou souhaite une consécration solennelle de la France effectuée par l’ensemble de son épiscopat

    Message de Monseigneur le Duc d’Anjou pour Pâques :

    Chers compatriotes,
    Chers Français,

    Rappelons-nous : Pâques 2019 et la France pétrifiée par l’incendie qui venait de ravager la cathédrale Notre-Dame de Paris.

    Pâques 2020, une épreuve d’une toute autre nature dans un domaine où l’on ne l’attendait pas, atteint la France qui, avec l’Italie et l’Espagne, se partage le record des décès en Europe.  Tous les continents sont frappés. Une mondialisation du risque !

    Hier c’était l’âme du pays qui était touchée, et aujourd’hui ce sont les hommes et les femmes ; les enfants et les vieillards. Selon les mots forts prononcés par le  Saint-Père dans son homélie du 27 mars, « nous avons été pris au dépourvu par une tempête inattendue et furieuse ».  Devant le danger saurons-nous réagir et à l’ombre de cette cruelle épreuve, refonder nos actions sur plus de bon sens et redonner du sens à nos vies ?

    Réagir,  au-delà de la compassion que l’on a vis-à-vis des milliers de victimes et de leurs familles affrontant la mort souvent en grande solitude et sans secours spirituel; au-delà de l’admiration vis-à-vis des soignants aux moyens parfois si dérisoires et de tous ceux qui se dévouent souvent en prenant des risques pour que le pays continue à vivre ; au-delà des encouragements adressés à ceux qui, confinés, doivent assumer une vie familiale bouleversée et exercer leurs activités dans des conditions précaires ;  au-delà de l’angoisse face aux situations désespérées que nombre d’artisans, de commerçants, d’entrepreneurs auront à affronter après le brusque arrêt de la vie économique.

    Les Français courageux et fidèles à l’image de l’idée qu’ils ont de leur pays –celui du baptême de Clovis, celui de la justice de Saint-Louis, celui des quinze siècles de gloire et d’honneur-, doivent faire front animés d’une énergie à toute épreuve. Ils doivent résister pour sauver leur pays, retrouver l’esprit de Bouvines. Si l’oriflamme de saint Denis n’est plus élevée pour précéder les combattants, son esprit doit être là. Vivant.

    L’actuelle situation dramatique doit ouvrir sur une période de sursaut qui soignera après les corps, les âmes et l’esprit public. En effet, au-delà de la crise sanitaire n’est-ce pas toute notre société qui est malade depuis des années et qui a besoin de se retrouver à travers un grand dessein partagé par tous et des valeurs essentielles.

    En France, déjà, plus de vingt-cinq évêques ont placé leur diocèse sous la protection divine par l’intercession du Sacré-Cœur, de la Vierge Marie, de Saint-Joseph ou encore de saints locaux ayant déjà été invoqués lors d‘épidémies plus anciennes.  Je me plais à songer au poids qu’aurait une consécration solennelle de la France effectuée par l’ensemble de son épiscopat à laquelle s’associerait le maximum de fidèles.  Pâques, la fête de la résurrection, pourrait en être l’occasion. En tant que successeur légitime des rois de France qui ont toujours compris leur fonction dans sa double dimension terrestre et divine, ce serait de mon devoir de m’y associer et je le ferais en mon âme et conscience.

    Demandons, en cette fête de la Résurrection, le secours de Saint Louis, de Sainte Geneviève et de Sainte Jeanne d’Arc et leur protection sur la France.

    Louis,
    Duc d’Anjou

     

    Source : lesalonbeige

  • Mgr le duc d’Anjou : Il n’est pas imaginable dans une société civilisée que soit mis un terme à l’hydratation et l’alimentation

    Publié par Guy Jovelin le 21 mai 2019

    Auteur : Michel Janva

    Mgr le duc d’Anjou : Il n’est pas imaginable dans une société civilisée que soit mis un terme à l’hydratation et l’alimentation

     

    Source : lesalonbeige